La réunion de la dernière chance pour valider scientifiquement un test de dépistage de l'EPO opérationnel lors des jeux Olympiques de Sydney a débuté lundi à Lausanne et se poursuivra jusqu'à mardi où on devrait connaitre, en début d'après-midi l'avis des experts scientifiques.

Cette réunion qui groupe six membres de la commission "dopage et biochimie" du Comité international olympique (CIO), sept experts externes, tous d'éminents scientifiques n'ayant rien à voir avec le sport, a en effet pour but de donner le feu vert scientifique aux méthodes de détection de l'érithropoiëtine exogène (introduite dans l'organisme), définies par les équipes française à partir de l'urine et australienne à partir du sang.

"Mais a précisé Patrick Schamasch, directeur de la commission médicale du CIO, la ou les méthodes choisies devront être acceptables à la fois du point de vue scientifique et juridique".

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