Grande déception à Saint-Domingue
Amateurs vendredi, 1 juin 2007. 21:54 vendredi, 13 déc. 2024. 20:41
(Sportcom) - Plusieurs Québécoises ont subi une grande déception vendredi soir à Saint-Domingue, en République dominicaine, où l'équipe canadienne de handball s'est inclinée par 23-17 devant le Paraguay, dans le cadre du Championnat panaméricain. Une victoire leur aurait procuré une qualification au Championnat du monde.
« C'est le match que nous devions gagner, c'est décevant. L'équipe du Paraguay était à notre portée », a commenté Caroline Pilon, l'une des 12 Québécoises au sein de la formation nationale. « C'était 8-8 après la première demie mais nous nous sommes heurtées à une gardienne solide devant le but adverse. C'est vrai que nous ne sommes pas habituées à jouer avec une chaleur aussi intense. Ça nous a donné des difficultés et on n'a pas été capables de composer avec ça. Dans des conditions différentes, le pointage aurait pu être différent, bien qu'elles ont mieux joué que nous ».
Pour l'entraîneur-adjoint Alain Racine, la déception n'était pas moins apparente. « C'est extrêmement décevant quand on sait que ça fait un an et demi que le groupe s'entraîne ensemble pour cette compétition-là. Nous avions gagné le match de jeudi mais il nous fallait absolument gagner celui-là pour aller au Championnat du monde.
« La chaleur a fait en sorte qu'on avait une mauvaise prise de ballon. On dira que la chaleur était la même pour l'autre équipe mais les Paraguayennes y sont habituées. Le ballon était mouillé et on a eu des mauvaises réceptions, des mauvaises passes et des tirs moins puissants et moins précis surtout. Si on avait eu plus d'argent, nous serions arrivés cinq jours plus tôt et on aurait pu s'entraîner dans ces conditions-là. Ç'aurait pu faire une différence », a expliqué Alain Racine.
Autre facteur qui, selon lui, peut expliquer la défaite canadienne, c'est le nombre de fois que l'arbitre a remis le ballon à l'adversaire parce que des joueuses ont marché avec le ballon. « Nous avons été pris en défaut 13 fois pour avoir marché avec le ballon. D'habitude, ça nous arrive deux ou trois fois dans un match. L'arbitrage est un peu différent à ce niveau ».
La formation canadienne, composée des Québécoises Kim Barrette-St-Martin, Kim Bélisle, Anne-Marie Cloutier, Kate Dillallo, Fabienne Raphael, Émilie Sauriol-Joly, Marie-Élaine Taupier, Audrey Touchette et Karine Trudel-Crête, Emmanuelle Girard, Martine Gagnon et Pilon, affrontera samedi le Brésil, une puissante équipe.
Le Canada n'est pas mathématiquement écarté d'une qualification au Championnat du monde mais, à toutes fins utiles, le jeu des combinaisons dans les points pour et les points contre fait en sorte que l'espoir de participer aux Mondiaux, pour la première depuis 10 ans, est quasiment nul. Prochain tournoi : les Jeux panaméricains en juillet.
« C'est le match que nous devions gagner, c'est décevant. L'équipe du Paraguay était à notre portée », a commenté Caroline Pilon, l'une des 12 Québécoises au sein de la formation nationale. « C'était 8-8 après la première demie mais nous nous sommes heurtées à une gardienne solide devant le but adverse. C'est vrai que nous ne sommes pas habituées à jouer avec une chaleur aussi intense. Ça nous a donné des difficultés et on n'a pas été capables de composer avec ça. Dans des conditions différentes, le pointage aurait pu être différent, bien qu'elles ont mieux joué que nous ».
Pour l'entraîneur-adjoint Alain Racine, la déception n'était pas moins apparente. « C'est extrêmement décevant quand on sait que ça fait un an et demi que le groupe s'entraîne ensemble pour cette compétition-là. Nous avions gagné le match de jeudi mais il nous fallait absolument gagner celui-là pour aller au Championnat du monde.
« La chaleur a fait en sorte qu'on avait une mauvaise prise de ballon. On dira que la chaleur était la même pour l'autre équipe mais les Paraguayennes y sont habituées. Le ballon était mouillé et on a eu des mauvaises réceptions, des mauvaises passes et des tirs moins puissants et moins précis surtout. Si on avait eu plus d'argent, nous serions arrivés cinq jours plus tôt et on aurait pu s'entraîner dans ces conditions-là. Ç'aurait pu faire une différence », a expliqué Alain Racine.
Autre facteur qui, selon lui, peut expliquer la défaite canadienne, c'est le nombre de fois que l'arbitre a remis le ballon à l'adversaire parce que des joueuses ont marché avec le ballon. « Nous avons été pris en défaut 13 fois pour avoir marché avec le ballon. D'habitude, ça nous arrive deux ou trois fois dans un match. L'arbitrage est un peu différent à ce niveau ».
La formation canadienne, composée des Québécoises Kim Barrette-St-Martin, Kim Bélisle, Anne-Marie Cloutier, Kate Dillallo, Fabienne Raphael, Émilie Sauriol-Joly, Marie-Élaine Taupier, Audrey Touchette et Karine Trudel-Crête, Emmanuelle Girard, Martine Gagnon et Pilon, affrontera samedi le Brésil, une puissante équipe.
Le Canada n'est pas mathématiquement écarté d'une qualification au Championnat du monde mais, à toutes fins utiles, le jeu des combinaisons dans les points pour et les points contre fait en sorte que l'espoir de participer aux Mondiaux, pour la première depuis 10 ans, est quasiment nul. Prochain tournoi : les Jeux panaméricains en juillet.