Jones peut s'inscrire aux finales
Amateurs jeudi, 7 sept. 2006. 13:37 jeudi, 12 déc. 2024. 03:49
STUGGART (AP) - Marion Jones pourra s'inscrire aux finales de la saison d'athlétisme en fin de semaine à Stuggart en Allemagne.
"Si elle demande à la IAAF de participer elle pourra le faire, selon nos règlements", a déclaré jeudi Helmut Digel, un vice-président de la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF).
Estimant que les résultats du premier test n'auraient pas dû être dévoilés avant qu'on prenne connaissance de l'échantillon B, qui s'est avéré négatif, a-t-on appris mercredi soir, Nigel a estimé que "Marion Jones était en droit d'être fâchée".
Le président de l'Agence mondiale antidopage, le Montréalais Dick Pound, a déclaré de son côté que "l'EPO est sujet à interprétation.
"Peut-être que le premier test a-t-il fait trop vite, a-t-il admis. On ne s'attend pas à voir une différence entre les échantillons A et B. Je suis certain qu'on va avoir droit à des explications du laboratoire (de l'université UCLA) ou de la USADA (l'Agence antidopage américaine).
"Je crois que le test est valable, il s'agit seulement de savoir comment le lire."
La fiabilité des tests portant sur l'EPO a soulevé des questionnements dans le passé, et cet échantillon B négatif relancera le débat.
"Je crois qu'il y a des questions à se poser par rapport à ce test, a dit Howard Jacobs, un des avocats de Jones qui a déjà défendu plusieurs athlètes accusés de dopage. C'est un test difficile. De ce que j'ai vu à propos du premier test, c'était un échantillon discutable à savoir s'il aurait dû être déclaré positif ou non. En me basant là-dessus, je ne suis pas vraiment surpris que l'échantillon B se soit révélé négatif."
Comme il l'a fait dans le cas du vainqueur du Tour de France Floyd Landis, Jacobs a critiqué la publication de tests positifs. Les cas de dopage ne devraient pas être connus du public avant leur conclusion, mais la plupart le deviennent dès qu'un premier échantillon A est confirmé positif.
"Ceci est l'exemple parfait que cette nouvelle mode de révéler des premiers tests positifs est quelque chose d'horrible, a affirmé Jacobs. Toute cette histoire aurait dû se dérouler dans l'anonymat. Marion aurait dû pouvoir continuer de prendre part aux compétitions et personne n'aurait dû en être informé."
Comme l'échantillon B s'est avéré négatif, la quintuple championne olympique a été blanchie des allégations de dopage qui planaient sur elle depuis un mois, a indiqué sonn avocat tard mercredi soir.
"Je suis absolument ravie, a dit Jones dans un communiqué. J'ai toujours maintenu que je n'ai jamais pris de substances visant à améliorer la performance, et je suis ravie qu'un processus scientifique ait maintenant démontré ce fait."
Jones avait échoué un test antidopage pour la substance interdite augmentant l'endurance EPO, le 23 juin. Ce résultat positif avait été révélé peu après son retrait d'une compétition en Suisse, le mois dernier.
Elle était passible d'être bannie pendant un minimum de deux ans.
"Si elle demande à la IAAF de participer elle pourra le faire, selon nos règlements", a déclaré jeudi Helmut Digel, un vice-président de la Fédération internationale d'athlétisme (IAAF).
Estimant que les résultats du premier test n'auraient pas dû être dévoilés avant qu'on prenne connaissance de l'échantillon B, qui s'est avéré négatif, a-t-on appris mercredi soir, Nigel a estimé que "Marion Jones était en droit d'être fâchée".
Le président de l'Agence mondiale antidopage, le Montréalais Dick Pound, a déclaré de son côté que "l'EPO est sujet à interprétation.
"Peut-être que le premier test a-t-il fait trop vite, a-t-il admis. On ne s'attend pas à voir une différence entre les échantillons A et B. Je suis certain qu'on va avoir droit à des explications du laboratoire (de l'université UCLA) ou de la USADA (l'Agence antidopage américaine).
"Je crois que le test est valable, il s'agit seulement de savoir comment le lire."
La fiabilité des tests portant sur l'EPO a soulevé des questionnements dans le passé, et cet échantillon B négatif relancera le débat.
"Je crois qu'il y a des questions à se poser par rapport à ce test, a dit Howard Jacobs, un des avocats de Jones qui a déjà défendu plusieurs athlètes accusés de dopage. C'est un test difficile. De ce que j'ai vu à propos du premier test, c'était un échantillon discutable à savoir s'il aurait dû être déclaré positif ou non. En me basant là-dessus, je ne suis pas vraiment surpris que l'échantillon B se soit révélé négatif."
Comme il l'a fait dans le cas du vainqueur du Tour de France Floyd Landis, Jacobs a critiqué la publication de tests positifs. Les cas de dopage ne devraient pas être connus du public avant leur conclusion, mais la plupart le deviennent dès qu'un premier échantillon A est confirmé positif.
"Ceci est l'exemple parfait que cette nouvelle mode de révéler des premiers tests positifs est quelque chose d'horrible, a affirmé Jacobs. Toute cette histoire aurait dû se dérouler dans l'anonymat. Marion aurait dû pouvoir continuer de prendre part aux compétitions et personne n'aurait dû en être informé."
Comme l'échantillon B s'est avéré négatif, la quintuple championne olympique a été blanchie des allégations de dopage qui planaient sur elle depuis un mois, a indiqué sonn avocat tard mercredi soir.
"Je suis absolument ravie, a dit Jones dans un communiqué. J'ai toujours maintenu que je n'ai jamais pris de substances visant à améliorer la performance, et je suis ravie qu'un processus scientifique ait maintenant démontré ce fait."
Jones avait échoué un test antidopage pour la substance interdite augmentant l'endurance EPO, le 23 juin. Ce résultat positif avait été révélé peu après son retrait d'une compétition en Suisse, le mois dernier.
Elle était passible d'être bannie pendant un minimum de deux ans.