JP Compaore suspendu pour dopage
Amateurs mardi, 20 sept. 2011. 14:43 vendredi, 13 déc. 2024. 20:54
OTTAWA - Le Centre canadien pour l'éthique dans le sport (CCES) vient d'annoncer que Jean-Paul Compaore, un athlète en athlétisme, s'est vu imposer une suspension de deux mois pour avoir contrevenu aux règles antidopage. La violation a été constatée à la suite d'un contrôle antidopage hors compétition le 13 juillet 2011. L'échantillon d'urine a révélé un résultat d'analyse anormal pour l'hydrochlorothiazide, un diurétique.
Les diurétiques sont classés au titre de « substances spécifiques » sur la Liste des interdictions de l'Agence mondiale antidopage. En vertu des règlements du Programme canadien antidopage (PCA), un athlète qui commet une première violation pour usage d'une substance spécifique, peut demander que sa sanction soit réduite de deux ans de suspension à une réprimande. Après avoir analysé la gravité de la faute commise par cet athlète en faisant usage d'hydrochlorothiazide, le CCES a proposé qu'une suspension de deux mois soit imposée, lui interdisant toute participation au sport.
En réponse à l'avis du CCES concernant ce résultat d'analyse anormal, M. Compaore a renoncé à son droit d'audition, a reconnu avoir commis une violation aux règles antidopage et a accepté deux mois de suspension qui prendront fin le 30 septembre 2011. Durant cette période, il sera interdit à cet athlète de participer, peu importe à quel titre, à tout sport organisé signataire du PCA, y compris de s'entraîner avec ses coéquipiers.
Les diurétiques sont classés au titre de « substances spécifiques » sur la Liste des interdictions de l'Agence mondiale antidopage. En vertu des règlements du Programme canadien antidopage (PCA), un athlète qui commet une première violation pour usage d'une substance spécifique, peut demander que sa sanction soit réduite de deux ans de suspension à une réprimande. Après avoir analysé la gravité de la faute commise par cet athlète en faisant usage d'hydrochlorothiazide, le CCES a proposé qu'une suspension de deux mois soit imposée, lui interdisant toute participation au sport.
En réponse à l'avis du CCES concernant ce résultat d'analyse anormal, M. Compaore a renoncé à son droit d'audition, a reconnu avoir commis une violation aux règles antidopage et a accepté deux mois de suspension qui prendront fin le 30 septembre 2011. Durant cette période, il sera interdit à cet athlète de participer, peu importe à quel titre, à tout sport organisé signataire du PCA, y compris de s'entraîner avec ses coéquipiers.