L'IAAF monte le ton
Amateurs lundi, 26 mars 2007. 13:19 jeudi, 12 déc. 2024. 05:36
MOMBASA - La Fédération internationale d'athlétisme (IAAF), qui réunit son Conseil à Mombasa, a réaffirmé lundi son souhait que le Code mondial antidopage, lors de sa révision en novembre à Madrid, fixe la sanction à quatre ans de suspension, dans certains cas.
Dans sa recommandation au Congrès, qui se réunira fin août à Osaka (Japon) avant les Mondiaux, le Conseil de l'IAAF souhaite qu'une sanction de quatre ans de suspension, et non plus de deux, soit appliquée dans les cas suivants: "présence/usage/détention de stéroïdes anabolisants, hormones (EPO inclus) et amphétamines", "présence/usage/détention de toute méthode interdite", "refus ou défaut de présentation à un contrôle antidopage ou fuite lors du contrôle", "tricherie ou tentative de tricherie lors de la procédure de contrôle".
L'IAAF souhaite toutefois que cette sanction de quatre ans puisse être réduite en cas de réelles "circonstances exceptionnelles".
Si la recommandation du Conseil est adoptée par le Congrès, l'IAAF présentera cette position lors de la conférence antidopage de Madrid en novembre. "Nous savons déjà que nous ne serons pas nombreux à pousser dans ce sens (à Madrid)", a indiqué le secrétaire général de l'IAAF Pierre Weis.
En août 2005 à Helsinki (Finlande), le Congrès de l'IAAF avait déjà appelé à un durcissement à quatre ans des sanctions dans certains cas (dopage aux anabolisants notamment).
Dans sa recommandation au Congrès, qui se réunira fin août à Osaka (Japon) avant les Mondiaux, le Conseil de l'IAAF souhaite qu'une sanction de quatre ans de suspension, et non plus de deux, soit appliquée dans les cas suivants: "présence/usage/détention de stéroïdes anabolisants, hormones (EPO inclus) et amphétamines", "présence/usage/détention de toute méthode interdite", "refus ou défaut de présentation à un contrôle antidopage ou fuite lors du contrôle", "tricherie ou tentative de tricherie lors de la procédure de contrôle".
L'IAAF souhaite toutefois que cette sanction de quatre ans puisse être réduite en cas de réelles "circonstances exceptionnelles".
Si la recommandation du Conseil est adoptée par le Congrès, l'IAAF présentera cette position lors de la conférence antidopage de Madrid en novembre. "Nous savons déjà que nous ne serons pas nombreux à pousser dans ce sens (à Madrid)", a indiqué le secrétaire général de l'IAAF Pierre Weis.
En août 2005 à Helsinki (Finlande), le Congrès de l'IAAF avait déjà appelé à un durcissement à quatre ans des sanctions dans certains cas (dopage aux anabolisants notamment).