L'IAAF veut être plus dur
Amateurs mardi, 28 sept. 2004. 13:41 jeudi, 12 déc. 2024. 00:52
SINGAPOUR (AP) - La fédération internationale d'athlétisme (IAAF) envisage de durcir ses règlements afin que les athlètes soient désormais considérés comme dopés après deux absences à des contrôles au lieu de trois.
Le président de l'IAAF, Lamine Diack, a déclaré mardi que son organisation examinerait le sujet lors de son prochain congrès, en août 2005.
A l'heure actuelle, un athlète qui ne se présente pas à trois contrôles au cours d'une période de 18 mois, est jugé coupable d'avoir enfreint la réglementation antidopage.
Diack, présent à Singapour pour assister aux championnats All Stars asiatiques, a ajouté que les enquêtes visant les sprinters grecs Kostas Kenteris et Katerina Thanou, qui s'étaient retirés des Jeux olympiques d'Athènes après avoir manqué un contrôle au village olympique, se poursuivaient.
L'IAAF dépense environ 1,63 million d'euros chaque année dans la lutte contre le dopage, a précisé Diack. L'an passé, la fédération a testé 3.000 athlètes. 83 d'entre eux ont été positifs.
Le président de l'IAAF, Lamine Diack, a déclaré mardi que son organisation examinerait le sujet lors de son prochain congrès, en août 2005.
A l'heure actuelle, un athlète qui ne se présente pas à trois contrôles au cours d'une période de 18 mois, est jugé coupable d'avoir enfreint la réglementation antidopage.
Diack, présent à Singapour pour assister aux championnats All Stars asiatiques, a ajouté que les enquêtes visant les sprinters grecs Kostas Kenteris et Katerina Thanou, qui s'étaient retirés des Jeux olympiques d'Athènes après avoir manqué un contrôle au village olympique, se poursuivaient.
L'IAAF dépense environ 1,63 million d'euros chaque année dans la lutte contre le dopage, a précisé Diack. L'an passé, la fédération a testé 3.000 athlètes. 83 d'entre eux ont été positifs.