La France réaffirme qu'elle "n'envisage pas de ne pas acquitter sa contribution à l'Agence mondiale antidopage" (AMA) en 2002, dans un communiqué publié lundi par le ministère de la Jeunesse et des Sports.

"Une réunion de concertation interministérielle s'est déroulée à ce propos ce lundi", ajoute le ministère pour qui "les solutions techniques -subventionnement direct, financement de programmes, financement d'un fonds spécial du Conseil de l'Europe, etc- font actuellement l'objet d'une étude" par ses services juridiques.

Le ministère rappelle par ailleurs qu'il déplore que la réunion du Conseil de fondation de l'AMA, tenue à Lausanne (Suisse) le 3 décembre, n'ait pas abouti à un accord qui aurait rendu compatibles les statuts de l'AMA avec les règlements budgétaires de l'Union Européenne. "Un grave préjudice est ainsi porté à l'action et aux missions de l'AMA, que rien ne peut justifier".

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