Laberge tient à son poste
Amateurs jeudi, 17 janv. 2008. 21:03 jeudi, 12 déc. 2024. 00:25
MONTREAL - Kalyna Roberge est plus nerveuse à la veille des essais d'équipe en vue de la formation de l'équipe canadienne de patinage de vitesse courte piste ce week-end qu'elle l'est habituellement avant les rencontres de la Coupe du Monde.
La patineuse de Québec, une des étoiles de l'équipe canadienne, veut absolument conserver son poste au sein de la formation pour prendre part à l'épreuve de la Coupe du Monde qui aura lieu à Québec du 1er au 3 février et bien sûr aux championnats mondiaux en mars.
"C'est notre classement canadien qui est l'enjeu et c'est pourquoi c'est si important," a dit la patineuse de 21 ans jeudi à l'entraînement à l'aréna Maurice-Richard.
"Je crois que c'est encore plus stressant que les épreuves de la Coupe du Monde parce qu'ici, nous avons quelque chose à perdre. Certes on peut perdre une course en Coupe du Monde, mais si on ne fait pas bien lors des essais, on perd notre place au classement."
L'épreuve de deux jours porte le nom d'Omnium canadien et réunit les 32 meilleurs patineurs du pays.
Les classements du week-end seront jumelés aux résultats obtenus lors des essais de Calgary en septembre. On choisira alors les six patineurs et six patineuses qui formeront l'équipe nationale lors des épreuves de la Coupe du Monde.
L'équipe ne pourra cependant aligner plus de cinq patineurs et cinq patineuses pour les championnats mondiaux de Gangneung en Corée du Sud du 7 au 9 mars.
Roberge, championne mondiale sur 500 mètres, est le leader de l'équipe féminine et ne devrait pas s'inquiéter vraiment.
"Je suis confiante, a-t-elle dit Je suis stressé parce qu'il y a beaucoup à perdre.
"Mais je n'ai pas à gagner. Je n'ai qu'à connaître de bonnes courses pour conserver mon poste."
Martin Gagné, entraîneur de l'équipe féminine, dit que Roberge a récupéré complètement d'une blessure au dos, qui l'avait ralenti lors des premières épreuves de la Coupe du Monde l'an dernier.
Gagné s'attend à ce que Roberge, Anne Maltais, de Montréal, et Tania Vicent, de Laval, conservent leurs postes et il a souligné les progrès réalisés par Amanda Overland, de Kitchener en Ontario.
Alanna Kraus, de Calgary, Nita Avrith, de Montréal, Annik Plamondon, de Longueuil, et Ivanie Blondin, d'Ottawa, se bagarreront pour les derniers postes.
Charles Hamelin, de Ste-Julie, domine la formation chez les hommes, qui comprend également son frère François, Jonathan Guilmette et François-Louis Tremblay, de Montréal, et Mathieu Turcotte, de Sherbrooke.
La patineuse de Québec, une des étoiles de l'équipe canadienne, veut absolument conserver son poste au sein de la formation pour prendre part à l'épreuve de la Coupe du Monde qui aura lieu à Québec du 1er au 3 février et bien sûr aux championnats mondiaux en mars.
"C'est notre classement canadien qui est l'enjeu et c'est pourquoi c'est si important," a dit la patineuse de 21 ans jeudi à l'entraînement à l'aréna Maurice-Richard.
"Je crois que c'est encore plus stressant que les épreuves de la Coupe du Monde parce qu'ici, nous avons quelque chose à perdre. Certes on peut perdre une course en Coupe du Monde, mais si on ne fait pas bien lors des essais, on perd notre place au classement."
L'épreuve de deux jours porte le nom d'Omnium canadien et réunit les 32 meilleurs patineurs du pays.
Les classements du week-end seront jumelés aux résultats obtenus lors des essais de Calgary en septembre. On choisira alors les six patineurs et six patineuses qui formeront l'équipe nationale lors des épreuves de la Coupe du Monde.
L'équipe ne pourra cependant aligner plus de cinq patineurs et cinq patineuses pour les championnats mondiaux de Gangneung en Corée du Sud du 7 au 9 mars.
Roberge, championne mondiale sur 500 mètres, est le leader de l'équipe féminine et ne devrait pas s'inquiéter vraiment.
"Je suis confiante, a-t-elle dit Je suis stressé parce qu'il y a beaucoup à perdre.
"Mais je n'ai pas à gagner. Je n'ai qu'à connaître de bonnes courses pour conserver mon poste."
Martin Gagné, entraîneur de l'équipe féminine, dit que Roberge a récupéré complètement d'une blessure au dos, qui l'avait ralenti lors des premières épreuves de la Coupe du Monde l'an dernier.
Gagné s'attend à ce que Roberge, Anne Maltais, de Montréal, et Tania Vicent, de Laval, conservent leurs postes et il a souligné les progrès réalisés par Amanda Overland, de Kitchener en Ontario.
Alanna Kraus, de Calgary, Nita Avrith, de Montréal, Annik Plamondon, de Longueuil, et Ivanie Blondin, d'Ottawa, se bagarreront pour les derniers postes.
Charles Hamelin, de Ste-Julie, domine la formation chez les hommes, qui comprend également son frère François, Jonathan Guilmette et François-Louis Tremblay, de Montréal, et Mathieu Turcotte, de Sherbrooke.