La tête des Jeux d'hiver de 2010 explique que chaque élément concernant la planification de l'événement fait l'objet d'un examen puisque les organisateurs tentent de trouver des façons de diminu



La tête des Jeux d'hiver de 2010 explique que chaque élément concernant la planification de l'événement fait l'objet d'un examen puisque les organisateurs tentent de trouver des façons de diminuer les dépenses.

Dans une entrevue accordée à La Presse Canadienne pour entamer le décompte de six mois avant le début des prochains Jeux, John Furlong révèle que l'étau se resserre pour trouver une façon de présenter les Jeux alors que le COVAN commence à manquer de fonds.

Il indique que les organisateurs perçoivent les plans comme une partie d'échec pour déterminer quels morceaux peuvent être pris en charge par d'autres partis.

Cela veut dire qu'ils demanderont aux compagnies de prendre la responsabilité pour payer les frais d'impression des livres, ou pour les différents tournages vidéo. De plus, ils essaient de trouver 1 200 employés externes pour travailler aux Olympiques, ce que le Comité organisateur avait déjà fait savoir la semaine dernière.

Furlong espère que le public perçoit cet appel à l'aide des organisateurs aux entreprises comme non seulement un appui pour les Olympiques, mais également pour donner un coup de pouce au pays.

Le COVAN n'a pas voulu aller en détails au sujet des possibles répercussions envers les Jeux si leur plan ambitieux ne fonctionne pas. Par contre, les organisateurs mentionnent qu'ils restent dévoués à garder leur budget de 1,75 milliards $ équilibré.