Le nageur canadien Morgan Knabe bat deux records
Amateurs mercredi, 20 mars 2002. 22:32 dimanche, 15 déc. 2024. 01:37
WINNIPEG (PC et Sportcom) - Morgan Knabe a brisé les records du Canada et du Commonwealth du 100 mètres papillon masculin mercredi lors de la compétition de sélection en vue des Jeux du Commonwealth, qui seront présentés cet été à Manchester, en Angleterre.
En demi-finale de l'épreuve, Knabe a inscrit un temps de 1:01,22, battant son ancienne marque par trois centièmes de seconde.
Le nageur âgé de 20 ans espère faire encore mieux en finale, jeudi.
"C'est un peu frustrant car je sais que j'ai les aptitudes pour m'approcher davantage du record du monde. Tout se passe dans la tête. Le défi est grand, mais c'est ce que j'aime", a affirmé Knabe, qui est originaire d'Edmonton.
Le record mondial de 59,94 appartient au Russe Roman Sloudnov.
Par ailleurs, Alexandre Pichette, du club CAMO, Stephen Preston, du Rouge et Or de l'Université Laval, et Rémi Lachapelle, aussi du club CAMO, ont respectivement pris les sixième, septième et huitième rangs du 50 m dos, qui a été remportée par l'Ontarien Tobias Oriwol.
Toujours du côté masculin, Rick Say, de Calgary, et Mark Johnston, de Vancouver, ont assuré leur place aux Jeux du Commonwealth, nageant le 200m libre sous le temps requis de 1:49,60 minute. Say, qui a remporté l'or, a inscrit un chrono de 1:48,88 minute, alors que Johnston a franchi la distance en 1:48,96 minute. C'était la première fois que deux Canadiens nageaient le 200 m libre en moins de 1:49,00 minute. Yannick Lupien, du club Rouge et Or de l'Université Laval, a terminé neuvième, grâce à sa première place lors de la finale B. Lupien a réussi un chrono de 1:52,78 minute.
Chez les femmes, la Montréalaise Nadine Rolland a remporté le 50 mètres papillon grâce à un chrono de 27,87.
Elle a devancé les Ontariennes Darci Armstrong (28,49) et Jen Porenta (28,53).
Quelques minutes avant sa course, Rolland s'est coupée sous le pied aux abords de la piscine en marchant sur un rivet qui sert au déplacement d'une caméra. « Ce morceau ne devait pas dépasser du sol, c'est une erreur », a confié sa coéquipière, Jennifer Carroll. « Par la suite, ils (les organisateurs) ont placé un cône par-dessus pour éviter que d'autres nageurs se blessent. »
Rolland en a été quitte pour une visite dans un hôpital de Winnipeg en fin de soirée. Mais, il n'en était pas question avant d'avoir nagé la finale du 50 m papillon. « C'est pas ça qui l'aurait empêché de prendre le départ », a lancé Carroll. « Par contre, elle m'a dit que cela lui avait causé des ennuis au départ, parce que ça lui enlevait un point d'appui. » Cela n'a pas paru du tout puisque Rolland a devancé sa plus proche rivale de plus de six dixièmes de seconde, grâce à un chrono de 27,87 secondes.
Pour ce qui est de sa visite à l'hôpital, celle-ci devait y recevoir une injection antitétanique et, possiblement, quelques points de suture.
Une autre Québécoise prenait part à cette finale. Il s'agit de Marielle Ménard, de Bromont, qui a causé une surprise en prenant la quatrième place. La nageuse de 22 ans a terminé l'épreuve en 28,68 secondes.
En demi-finale de l'épreuve, Knabe a inscrit un temps de 1:01,22, battant son ancienne marque par trois centièmes de seconde.
Le nageur âgé de 20 ans espère faire encore mieux en finale, jeudi.
"C'est un peu frustrant car je sais que j'ai les aptitudes pour m'approcher davantage du record du monde. Tout se passe dans la tête. Le défi est grand, mais c'est ce que j'aime", a affirmé Knabe, qui est originaire d'Edmonton.
Le record mondial de 59,94 appartient au Russe Roman Sloudnov.
Par ailleurs, Alexandre Pichette, du club CAMO, Stephen Preston, du Rouge et Or de l'Université Laval, et Rémi Lachapelle, aussi du club CAMO, ont respectivement pris les sixième, septième et huitième rangs du 50 m dos, qui a été remportée par l'Ontarien Tobias Oriwol.
Toujours du côté masculin, Rick Say, de Calgary, et Mark Johnston, de Vancouver, ont assuré leur place aux Jeux du Commonwealth, nageant le 200m libre sous le temps requis de 1:49,60 minute. Say, qui a remporté l'or, a inscrit un chrono de 1:48,88 minute, alors que Johnston a franchi la distance en 1:48,96 minute. C'était la première fois que deux Canadiens nageaient le 200 m libre en moins de 1:49,00 minute. Yannick Lupien, du club Rouge et Or de l'Université Laval, a terminé neuvième, grâce à sa première place lors de la finale B. Lupien a réussi un chrono de 1:52,78 minute.
Chez les femmes, la Montréalaise Nadine Rolland a remporté le 50 mètres papillon grâce à un chrono de 27,87.
Elle a devancé les Ontariennes Darci Armstrong (28,49) et Jen Porenta (28,53).
Quelques minutes avant sa course, Rolland s'est coupée sous le pied aux abords de la piscine en marchant sur un rivet qui sert au déplacement d'une caméra. « Ce morceau ne devait pas dépasser du sol, c'est une erreur », a confié sa coéquipière, Jennifer Carroll. « Par la suite, ils (les organisateurs) ont placé un cône par-dessus pour éviter que d'autres nageurs se blessent. »
Rolland en a été quitte pour une visite dans un hôpital de Winnipeg en fin de soirée. Mais, il n'en était pas question avant d'avoir nagé la finale du 50 m papillon. « C'est pas ça qui l'aurait empêché de prendre le départ », a lancé Carroll. « Par contre, elle m'a dit que cela lui avait causé des ennuis au départ, parce que ça lui enlevait un point d'appui. » Cela n'a pas paru du tout puisque Rolland a devancé sa plus proche rivale de plus de six dixièmes de seconde, grâce à un chrono de 27,87 secondes.
Pour ce qui est de sa visite à l'hôpital, celle-ci devait y recevoir une injection antitétanique et, possiblement, quelques points de suture.
Une autre Québécoise prenait part à cette finale. Il s'agit de Marielle Ménard, de Bromont, qui a causé une surprise en prenant la quatrième place. La nageuse de 22 ans a terminé l'épreuve en 28,68 secondes.