Les Canadiennes s'inclinent
Amateurs samedi, 7 juil. 2007. 21:58 samedi, 14 déc. 2024. 16:08
Montréal (Sportcom) - L'équipe féminine canadienne de water-polo s'est inclinée 11-8 contre l'Australie, samedi soir au Parc Jean-Drapeau de Montréal, dans le cadre de Super finale de la Ligue mondiale. La marque était égale 4-4 à la mi-rencontre, mais les Australiennes ont pris l'avance 7-6 après trois quarts et ont pu la conserver jusqu'à la fin du match qui a été marqué par de nombreuses expulsions.
Marina Radu, de Dollard-Des-Ormeaux, a été la meilleure marqueuse canadienne avec quatre buts. Tara Campbell a marqué deux buts, tandis que Allison Braden et Emily Csikos ont complété le pointage.
Dimanche, les Canadiennes affronteront la Grèce dans le match pour la troisième place. Plus tôt, en ronde préliminaire, la troupe de Pat Oaten avait défait les Grecques par la marque serrée de 12-11.
« Nous étions prêtes mentalement, mais nous n'avons pas fini le match en force », a indiqué la joueuse de centre montréalaise Krystina Alogbo. « L'arbitrage n'a pas été en notre faveur non plus. Nos matchs ont toujours été serrés contre cette équipe et nous aurions pu l'emporter. Les Australiennes sont imposantes et fortes et nous nous faisions pousser. Nous avons essayé de jouer différemment, mais nous ne nous sommes pas adaptées à l'arbitrage. Nous avons gardé la tête haute, mais les arbitres ont vraiment perdu le contrôle de la partie. Ce n'est pas normal qu'il y ait autant d'expulsions dans un match. »
De son côté, l'entraîneur Pat Oaten était visiblement ulcéré par le travail des arbitres.
« Dans toute ma carrière, je n'ai jamais vu ça : 19 expulsions. C'est ridicule! La défensive australienne n'est pas meilleure que la nôtre. Nous jouons une défensive de zone justement pour éviter les expulsions et la pression qu'exercent les Australiennes fait en sorte qu'il est difficile pour nous de se faire expulser. Alors, d'en avoir 19, c'est complètement ridicule! »
Malgré ce sentiment de s'être fait avoir, l'entraîneur s'est dit tout de même satisfait du travail de ses joueuses.
« L'équipe joue bien et elle travaille fort, sauf que c'est triste de perdre de cette façon. C'est ce qui arrive lorsque la politique se mêle au sport », a conclu l'entraîneur qui a déjà fait part de ses doléances auprès des responsables de la FINA.
Marina Radu, de Dollard-Des-Ormeaux, a été la meilleure marqueuse canadienne avec quatre buts. Tara Campbell a marqué deux buts, tandis que Allison Braden et Emily Csikos ont complété le pointage.
Dimanche, les Canadiennes affronteront la Grèce dans le match pour la troisième place. Plus tôt, en ronde préliminaire, la troupe de Pat Oaten avait défait les Grecques par la marque serrée de 12-11.
« Nous étions prêtes mentalement, mais nous n'avons pas fini le match en force », a indiqué la joueuse de centre montréalaise Krystina Alogbo. « L'arbitrage n'a pas été en notre faveur non plus. Nos matchs ont toujours été serrés contre cette équipe et nous aurions pu l'emporter. Les Australiennes sont imposantes et fortes et nous nous faisions pousser. Nous avons essayé de jouer différemment, mais nous ne nous sommes pas adaptées à l'arbitrage. Nous avons gardé la tête haute, mais les arbitres ont vraiment perdu le contrôle de la partie. Ce n'est pas normal qu'il y ait autant d'expulsions dans un match. »
De son côté, l'entraîneur Pat Oaten était visiblement ulcéré par le travail des arbitres.
« Dans toute ma carrière, je n'ai jamais vu ça : 19 expulsions. C'est ridicule! La défensive australienne n'est pas meilleure que la nôtre. Nous jouons une défensive de zone justement pour éviter les expulsions et la pression qu'exercent les Australiennes fait en sorte qu'il est difficile pour nous de se faire expulser. Alors, d'en avoir 19, c'est complètement ridicule! »
Malgré ce sentiment de s'être fait avoir, l'entraîneur s'est dit tout de même satisfait du travail de ses joueuses.
« L'équipe joue bien et elle travaille fort, sauf que c'est triste de perdre de cette façon. C'est ce qui arrive lorsque la politique se mêle au sport », a conclu l'entraîneur qui a déjà fait part de ses doléances auprès des responsables de la FINA.