Les Danoises étaient trop fortes
Amateurs mardi, 15 août 2006. 12:56 jeudi, 12 déc. 2024. 02:40
(Collaboration spéciale, David Vanier) - Malgré une défaite de 53-13, les représentantes canadiennes ont donné un brin d'espoir aux spectateurs présent lors de leur partie contre les Danoises, au Championnat mondial de handball de la jeunesse féminine présenté à Sherbrooke.
Audrey Delage-Royle inscrivait deux buts dans les quatre premières minutes de jeu et Claudine Bergeron arrêtait deux tirs à bout portant du pivot titulaire danois, Stina Erikson. «J'ai fait ma job. Il fallait que je fasse les premiers gros arrêts pour mettre les filles en confiance», affirme la gardienne canadienne.
Au bout de sept minutes, le score était encore égal à deux filets de chaque côté. C'est à ce moment que la machine danoise s'est mise en marche. Les filles ont mis en pratique une circulation trop rapide pour le Canada. De plus, elles ont utilisé leur force physique, encore une fois supérieure à celle canadienne pour ainsi profiter de leur expérience internationale pour montrer à la foule réunie, une belle leçon de handball. « Elles ont peut-être joué 150 matchs internationaux, tandis que nous, nous en sommes à nos premières expériences», explique l'entraîneur de l'équipe canadienne Nathalie Brochu.
Du côté des Danoises, l'attaque est venue de tout bord tout côté. Sept joueuses se sont inscrites au moins cinq fois au pointage : Lærke W. Møller (5), Stina Eriksen (5), Ditte E. Kelsä (5), Mie Augustesen (6), Christina Aaling (6), Kristina Kristiansen (6) et Susan Thorsgaard (7).
Pour les Canadiennes, seule Audrey Delage Royle a semblé être capable de percer la muraille défensive danoise. Elle a complété la partie avec quatre réalisations. «C'était intense, personne était capable de passer le mur. Elles sont trop fortes», conclue l'attaquante Canadienne.
Après la première défaite du Canada contre la Corée 46-22, l'équipe pouvait se motiver en se rappelant que l'attaque avait bien fonctionné contre une des bonnes équipes mondiales. Hier, seul le caractère des filles qui n'ont jamais lâché de se battre peut servir de source d'inspiration. «Les Canadiennes se sont battues tout au long de la rencontre, et ça c'était bien. Pour elle, c'était difficile, car nous avons été si rapides», avoue l'entraîneur danois Heine Eriksen.
Les prochaines parties pour le Canada devraient donner un peu plus d'espoir aux spectateurs qui voudront bien se déplacer au Palais des sports Léopold-Drolet. Tout d'abord, jeudi elles affronteront l'Argentine qui est toujours sans victoire, tout comme les Thaïlandaises, adversaires de vendredi. Les parties seront disputées à 19h. Advenant deux victoires des Canadiennes, elles devraient se battre pour la 5e position lors de la fin de semaine.
Le Danemark, pour sa part, profite d'une journée de congé avant de se frotter à la Thaïlande jeudi et à la Corée qui n'a toujours pas subi la défaite vendredi soir.
Audrey Delage-Royle inscrivait deux buts dans les quatre premières minutes de jeu et Claudine Bergeron arrêtait deux tirs à bout portant du pivot titulaire danois, Stina Erikson. «J'ai fait ma job. Il fallait que je fasse les premiers gros arrêts pour mettre les filles en confiance», affirme la gardienne canadienne.
Au bout de sept minutes, le score était encore égal à deux filets de chaque côté. C'est à ce moment que la machine danoise s'est mise en marche. Les filles ont mis en pratique une circulation trop rapide pour le Canada. De plus, elles ont utilisé leur force physique, encore une fois supérieure à celle canadienne pour ainsi profiter de leur expérience internationale pour montrer à la foule réunie, une belle leçon de handball. « Elles ont peut-être joué 150 matchs internationaux, tandis que nous, nous en sommes à nos premières expériences», explique l'entraîneur de l'équipe canadienne Nathalie Brochu.
Du côté des Danoises, l'attaque est venue de tout bord tout côté. Sept joueuses se sont inscrites au moins cinq fois au pointage : Lærke W. Møller (5), Stina Eriksen (5), Ditte E. Kelsä (5), Mie Augustesen (6), Christina Aaling (6), Kristina Kristiansen (6) et Susan Thorsgaard (7).
Pour les Canadiennes, seule Audrey Delage Royle a semblé être capable de percer la muraille défensive danoise. Elle a complété la partie avec quatre réalisations. «C'était intense, personne était capable de passer le mur. Elles sont trop fortes», conclue l'attaquante Canadienne.
Après la première défaite du Canada contre la Corée 46-22, l'équipe pouvait se motiver en se rappelant que l'attaque avait bien fonctionné contre une des bonnes équipes mondiales. Hier, seul le caractère des filles qui n'ont jamais lâché de se battre peut servir de source d'inspiration. «Les Canadiennes se sont battues tout au long de la rencontre, et ça c'était bien. Pour elle, c'était difficile, car nous avons été si rapides», avoue l'entraîneur danois Heine Eriksen.
Les prochaines parties pour le Canada devraient donner un peu plus d'espoir aux spectateurs qui voudront bien se déplacer au Palais des sports Léopold-Drolet. Tout d'abord, jeudi elles affronteront l'Argentine qui est toujours sans victoire, tout comme les Thaïlandaises, adversaires de vendredi. Les parties seront disputées à 19h. Advenant deux victoires des Canadiennes, elles devraient se battre pour la 5e position lors de la fin de semaine.
Le Danemark, pour sa part, profite d'une journée de congé avant de se frotter à la Thaïlande jeudi et à la Corée qui n'a toujours pas subi la défaite vendredi soir.