Menaces de la CIO: L'Institut national de recherche scientifique réplique
Amateurs mercredi, 13 déc. 2000. 21:56 vendredi, 13 déc. 2024. 22:53
MONTREAL (PC) - La directrice du laboratoire de contrôle du dopage de l'Institut national de recherche scientifique (INRS) s'est indignée, mercredi, de l'initiative du Comité international olympique (CIO) qui a menacé 11 laboratoires, dont celui de Montréal, de leur retirer leur accréditation pour un détail technique.
Le docteur Christiane Ayotte affirme que son laboratoire est conforme avec les plus hauts standards scientifiques et respecte les principes de qualité reconnus mondialement. "J'espère que le communiqué du CIO n'a pas eu pour effet de semer le doute sur la qualité des analyses effectuées au laboratoire de contrôle du dopage de l'INRS, a précisé Ayotte. Tout le monde sait que Montréal est sur les rangs pour l'obtention de l'Agence mondiale antidopage (AMA) et ce communiqué vient ternir notre réputation."
L'accréditation selon les normes ISO 17025 est dorénavant requise pour qu'un laboratoire de contrôle du dopage soit reconnu par le CIO. Le laboratoire de Montréal, comme tous les autres laboratoires visés, est en voie d'obtenir cette accréditation et prévoit respecter le délai fixé.
"Tout ce qui nous manque pour rencontrer les normes exigées par le CIO est un bout de papier du bureau de normalisation du Québec, a poursuivi Ayotte. C'est un processus long et coûteux, mais qui est déjà enclenché. Le gouvernement canadien est au courant du problème et il va faire tout en son pouvoir pour nous venir en aide."
Le directeur du Centre canadien pour l'éthique dans le sport (CCES), Victor Lachance, a tenu à témoigner de la qualité du laboratoire de l'INRS.
"Le CCES est grandement satisfait de la qualité des services dispensés par l'INRS. Ses standards répondent aux exigences du programme canadien de contrôle du dopage."
Les dix autres laboratoires qui ont reçu l'avertissement du CIO sont: Bangkok (Thaïlande), Gand (Belgique), Lausanne (Suisse), Lisbonne (Portugal), Madrid (Espagne), Moscou (Russie), Châtenay-Malabry (France), Penang (Malaisie), Prague (République tchèque) et Rome (Italie). Les laboratoires ont jusqu'au 1er mai 2001 pour rencontrer les exigences du CIO.
Le docteur Christiane Ayotte affirme que son laboratoire est conforme avec les plus hauts standards scientifiques et respecte les principes de qualité reconnus mondialement. "J'espère que le communiqué du CIO n'a pas eu pour effet de semer le doute sur la qualité des analyses effectuées au laboratoire de contrôle du dopage de l'INRS, a précisé Ayotte. Tout le monde sait que Montréal est sur les rangs pour l'obtention de l'Agence mondiale antidopage (AMA) et ce communiqué vient ternir notre réputation."
L'accréditation selon les normes ISO 17025 est dorénavant requise pour qu'un laboratoire de contrôle du dopage soit reconnu par le CIO. Le laboratoire de Montréal, comme tous les autres laboratoires visés, est en voie d'obtenir cette accréditation et prévoit respecter le délai fixé.
"Tout ce qui nous manque pour rencontrer les normes exigées par le CIO est un bout de papier du bureau de normalisation du Québec, a poursuivi Ayotte. C'est un processus long et coûteux, mais qui est déjà enclenché. Le gouvernement canadien est au courant du problème et il va faire tout en son pouvoir pour nous venir en aide."
Le directeur du Centre canadien pour l'éthique dans le sport (CCES), Victor Lachance, a tenu à témoigner de la qualité du laboratoire de l'INRS.
"Le CCES est grandement satisfait de la qualité des services dispensés par l'INRS. Ses standards répondent aux exigences du programme canadien de contrôle du dopage."
Les dix autres laboratoires qui ont reçu l'avertissement du CIO sont: Bangkok (Thaïlande), Gand (Belgique), Lausanne (Suisse), Lisbonne (Portugal), Madrid (Espagne), Moscou (Russie), Châtenay-Malabry (France), Penang (Malaisie), Prague (République tchèque) et Rome (Italie). Les laboratoires ont jusqu'au 1er mai 2001 pour rencontrer les exigences du CIO.