"Nous pouvons gagner la guerre contre le dopage"
Amateurs vendredi, 18 janv. 2002. 15:29 samedi, 14 déc. 2024. 20:59
(RDS) - L'avocat montréalais, Richard Pound, occupe un nouveau poste important au sein du Comité international olympique: soit la direction de la Commission chargée de réduire les coûts et la taille des Jeux. Également président de l'Agence mondiale antidopage, Pound a fait le point à l'approche des Jeux de Salt Lake City.
À une vingtaine de jours avant le début des Jeux Olympiques, l'Agence Mondiale antidopage a déjà procédé à plus de 3500 tests auprès d'athlètes. Pas moins de 1200 ont été effectués au cours des deux derniers mois. Tous ces tests ont été réalisés sans préavis. Le président de l'AMA, Dick Pound, sait que la bataille sera longue.
"Nous pouvons gagner la guerre, mais il restera toujours de petites batailles", a indiqué Pound.
Des 3500 tests, 24 ont indiqué une présence trop élevée d'une substance interdite. On retrouve des tests positifs dans tous les sports sauf le curling et le patinage artistique.
"La question est, est-ce qu'il y a vraiment des risques de dopage en curling?", a souligné Pound.
Parmi les hockeyeurs professionnels, un athlète a échoué le test. Il n'est pas canadien, mais évolue dans la Ligue nationale.
"Au départ, j'ai eu peur qu'il y ait des difficultés, mais du moment que nous avons établi que tous les tests allaient être effectués par l'Agence mondiale antidopage, il n'y a eu aucun problème", a soutenu Pound.
Dans le cas des joueurs de hockey professionnel, le problème est un peu plus complexe. S'ils devaient être testés positifs aux Jeux olympiques, ils pourraient continuer à évoluer dans la Ligue nationale, ce qui n'est pas le cas pour les athlètes amateurs.
"Pour le moment... Peut-être que l'on pourra influencer les sports professionnels", a avancé Pound.
L'AMA aura été toutefois échoué le test à sa première sortie publique à Montréal. Les documents remis aux médias étaient seulement disponibles en anglais. Faute de temps nous a-t-on expliqué.
À une vingtaine de jours avant le début des Jeux Olympiques, l'Agence Mondiale antidopage a déjà procédé à plus de 3500 tests auprès d'athlètes. Pas moins de 1200 ont été effectués au cours des deux derniers mois. Tous ces tests ont été réalisés sans préavis. Le président de l'AMA, Dick Pound, sait que la bataille sera longue.
"Nous pouvons gagner la guerre, mais il restera toujours de petites batailles", a indiqué Pound.
Des 3500 tests, 24 ont indiqué une présence trop élevée d'une substance interdite. On retrouve des tests positifs dans tous les sports sauf le curling et le patinage artistique.
"La question est, est-ce qu'il y a vraiment des risques de dopage en curling?", a souligné Pound.
Parmi les hockeyeurs professionnels, un athlète a échoué le test. Il n'est pas canadien, mais évolue dans la Ligue nationale.
"Au départ, j'ai eu peur qu'il y ait des difficultés, mais du moment que nous avons établi que tous les tests allaient être effectués par l'Agence mondiale antidopage, il n'y a eu aucun problème", a soutenu Pound.
Dans le cas des joueurs de hockey professionnel, le problème est un peu plus complexe. S'ils devaient être testés positifs aux Jeux olympiques, ils pourraient continuer à évoluer dans la Ligue nationale, ce qui n'est pas le cas pour les athlètes amateurs.
"Pour le moment... Peut-être que l'on pourra influencer les sports professionnels", a avancé Pound.
L'AMA aura été toutefois échoué le test à sa première sortie publique à Montréal. Les documents remis aux médias étaient seulement disponibles en anglais. Faute de temps nous a-t-on expliqué.