Pas de Québécoises au tableau principal
Amateurs mercredi, 21 mai 2008. 11:56 samedi, 14 déc. 2024. 22:05
Les volleyeuses de plage québécoises ont raté une belle occasion d'accéder au tableau principal de l'Omnium d'Osaka mercredi, au Japon.
Même si elles ont bénéficié d'un laissez-passer en première ronde des qualifications, les paires formées d'Annie Martin et Dana Cooke ainsi que de Marie-Andrée Lessard et Sarah Maxwell n'ont pas réussi à gagner le seul autre affrontement qui les séparait du tableau principal. Elles ont du coup fini au 33e rang.
Anouk Boileau, de Montréal, et Marie-Christine Mondor, de Mascouche, ont de leur côté été éliminées dès la première des deux rondes qualificatives du tournoi, obtenant par le fait même une 41e place.
Les Japonaises Hiromi Suzuki et Satoko Urata ont notamment fait mal aux joueuses de la Belle Province. Les 14es têtes de série des qualifications ont écarté Boileau et Mondor, classées 19es, 22-20 et 21-19 ainsi que les Lavalloises Lessard et Maxwell, classées 3es, 21-13, 16-21 et 15-9.
Martin et Cooke, 2es têtes de série, ont pour leur part été défaites par les Suédoises Angelica Ljungquist et Karin Lundquist, classées 18es, qui l'ont emporté 21-14, 19-21 et 15-10.
À la défense de Martin et Maxwell, elles sont toujours ennuyées par des blessures. Le cou de la première l'incommode un peu alors que le dos de la seconde n'est pas à son mieux.
« Je ne me sentais pas encore à 100 % physiquement, mais ce n'était pas du tout comparable à la semaine passée », a cependant précisé Martin.
« Nous avons démarré le match lentement et les Suédoises ont pris rapidement l'avance, a-t-elle analysé. Au deuxième set, nous avons stabilisé notre jeu et fait quelques blocs ce qui nous a permis de gagner. Nous n'avons ensuite pas été assez agressives pour remporter le troisième set. »
« Les Suédoises ont très bien joué tandis que nous n'avons pas joué notre meilleur volleyball », a résumé la Sherbrookoise.
Quant à Maxwell, après une semaine d'inactivité pour permettre à son articulation sacro-iliaque de guérir, elle ne savait tout simplement pas jusqu'où exactement elle pouvait pousser la machine.
« J'ai eu beaucoup de misère à jouer, mais pas vraiment en raison de ma blessure. Je ne me sentais pas à l'aise physiquement. J'ai eu de la difficulté à l'attaque », a-t-elle mentionné.
« La bonne nouvelle, c'est que nous avons été très créatives (en deuxième manche). Nous avons exécuté plusieurs jeux que nous ne faisons pas habituellement », a souligné la joueuse de 31 ans en expliquant qu'elles ont réussi à la soustraire des réceptions de service pour permettre à Lessard d'être l'attaquante.
« Nous ne savions pas ce dont j'étais vraiment capable physiquement. Nous sommes donc fières de la façon dont nous avons essayé de nous en sortir », a conclu Maxwell.
Les Québécoises pourront se reprendre la semaine prochaine, à l'Omnium de Barcelone, en Espagne.
Même si elles ont bénéficié d'un laissez-passer en première ronde des qualifications, les paires formées d'Annie Martin et Dana Cooke ainsi que de Marie-Andrée Lessard et Sarah Maxwell n'ont pas réussi à gagner le seul autre affrontement qui les séparait du tableau principal. Elles ont du coup fini au 33e rang.
Anouk Boileau, de Montréal, et Marie-Christine Mondor, de Mascouche, ont de leur côté été éliminées dès la première des deux rondes qualificatives du tournoi, obtenant par le fait même une 41e place.
Les Japonaises Hiromi Suzuki et Satoko Urata ont notamment fait mal aux joueuses de la Belle Province. Les 14es têtes de série des qualifications ont écarté Boileau et Mondor, classées 19es, 22-20 et 21-19 ainsi que les Lavalloises Lessard et Maxwell, classées 3es, 21-13, 16-21 et 15-9.
Martin et Cooke, 2es têtes de série, ont pour leur part été défaites par les Suédoises Angelica Ljungquist et Karin Lundquist, classées 18es, qui l'ont emporté 21-14, 19-21 et 15-10.
À la défense de Martin et Maxwell, elles sont toujours ennuyées par des blessures. Le cou de la première l'incommode un peu alors que le dos de la seconde n'est pas à son mieux.
« Je ne me sentais pas encore à 100 % physiquement, mais ce n'était pas du tout comparable à la semaine passée », a cependant précisé Martin.
« Nous avons démarré le match lentement et les Suédoises ont pris rapidement l'avance, a-t-elle analysé. Au deuxième set, nous avons stabilisé notre jeu et fait quelques blocs ce qui nous a permis de gagner. Nous n'avons ensuite pas été assez agressives pour remporter le troisième set. »
« Les Suédoises ont très bien joué tandis que nous n'avons pas joué notre meilleur volleyball », a résumé la Sherbrookoise.
Quant à Maxwell, après une semaine d'inactivité pour permettre à son articulation sacro-iliaque de guérir, elle ne savait tout simplement pas jusqu'où exactement elle pouvait pousser la machine.
« J'ai eu beaucoup de misère à jouer, mais pas vraiment en raison de ma blessure. Je ne me sentais pas à l'aise physiquement. J'ai eu de la difficulté à l'attaque », a-t-elle mentionné.
« La bonne nouvelle, c'est que nous avons été très créatives (en deuxième manche). Nous avons exécuté plusieurs jeux que nous ne faisons pas habituellement », a souligné la joueuse de 31 ans en expliquant qu'elles ont réussi à la soustraire des réceptions de service pour permettre à Lessard d'être l'attaquante.
« Nous ne savions pas ce dont j'étais vraiment capable physiquement. Nous sommes donc fières de la façon dont nous avons essayé de nous en sortir », a conclu Maxwell.
Les Québécoises pourront se reprendre la semaine prochaine, à l'Omnium de Barcelone, en Espagne.