Sotomayor nie s'être encore dopé
Amateurs samedi, 8 déc. 2001. 13:43 vendredi, 13 déc. 2024. 20:34
LA HAVANE, (AFP) - Le Cubain Javier Sotomayor a catégoriquement nié s'être dopé à la nandrolone le 14 juillet lors d'une réunion d'athlétisme à Tenerife (îles Canaries, Espagne), samedi, dans l'hebdomadaire cubain Granma Internacional, affirmant être victime "d'une campagne de presse."
"La première chose que je peux dire c'est que c'est un mensonge, à aucun moment, je n'ai pris cette substance", affirme le détenteur du record du monde (2,45 m) du saut en hauteur, qui s'exprime pour la première fois sur le sujet.
Reconnaissant que "chaque fois qu'un athlète est accusé de dopage, il affirme qu'il est innocent", Sotomayor souligne que "cette substance n'a pas pu être retrouvé dans mon organisme."
En juillet dernier, Sotomayor avait été contrôlé positif à la nandrolone, et le 26 novembre, la Fédération internationale IAAF avait indiqué que son cas était "en cours d'étude". "Il y a un problème entre les deux échantillons et nous avons demandé au laboratoire de Madrid, qui a fait les analyses, de nous expliquer pourquoi l'échantillon A révèle un taux de 8,6 nanogrammes par litre (NDLR: le taux limite est de 2) et l'échantillon B exactement la moitié, soit 4,3", avait alors expliqué Arne Ljungqvist, premier vice-président de l'IAAF.
En 1999, le Cubain avait déjà été contrôlé positif à la cocaïne aux Jeux panaméricains de Winnipeg (Canada). Bénéficiant d'une réduction de peine (un an de suspension au lieu de deux), il avait décroché la médaille d'argent aux JO de Sydney, huit ans après son titre olympique à Barcelone.
A 34 ans, le champion, avait pris sa retraite le 12 octobre.
Pour le sauteur, qui ne veut pas "revivre le cauchemar" de Winnipeg, cette nouvelle accusation de dopage est "une campagne de presse contre moi."
"Je suis surpris de ce contrôle (antidopage) à Tenerife, parce que la Fédération internationale avait procédé à des contrôles inopinés quelques jours avant, à Guadalajara (Mexique) et à La Havane", affirme l'athlète.
Sotomayor souligne avoir été contrôlé 18 fois la saison dernière, "soit un et demi par mois. Et le dernier, c'était sur la plage de Varadero (une célèbre station balnéaire cubaine, ndlr) où j'étais en vacances avec ma famille", explique-t-il.
"La première chose que je peux dire c'est que c'est un mensonge, à aucun moment, je n'ai pris cette substance", affirme le détenteur du record du monde (2,45 m) du saut en hauteur, qui s'exprime pour la première fois sur le sujet.
Reconnaissant que "chaque fois qu'un athlète est accusé de dopage, il affirme qu'il est innocent", Sotomayor souligne que "cette substance n'a pas pu être retrouvé dans mon organisme."
En juillet dernier, Sotomayor avait été contrôlé positif à la nandrolone, et le 26 novembre, la Fédération internationale IAAF avait indiqué que son cas était "en cours d'étude". "Il y a un problème entre les deux échantillons et nous avons demandé au laboratoire de Madrid, qui a fait les analyses, de nous expliquer pourquoi l'échantillon A révèle un taux de 8,6 nanogrammes par litre (NDLR: le taux limite est de 2) et l'échantillon B exactement la moitié, soit 4,3", avait alors expliqué Arne Ljungqvist, premier vice-président de l'IAAF.
En 1999, le Cubain avait déjà été contrôlé positif à la cocaïne aux Jeux panaméricains de Winnipeg (Canada). Bénéficiant d'une réduction de peine (un an de suspension au lieu de deux), il avait décroché la médaille d'argent aux JO de Sydney, huit ans après son titre olympique à Barcelone.
A 34 ans, le champion, avait pris sa retraite le 12 octobre.
Pour le sauteur, qui ne veut pas "revivre le cauchemar" de Winnipeg, cette nouvelle accusation de dopage est "une campagne de presse contre moi."
"Je suis surpris de ce contrôle (antidopage) à Tenerife, parce que la Fédération internationale avait procédé à des contrôles inopinés quelques jours avant, à Guadalajara (Mexique) et à La Havane", affirme l'athlète.
Sotomayor souligne avoir été contrôlé 18 fois la saison dernière, "soit un et demi par mois. Et le dernier, c'était sur la plage de Varadero (une célèbre station balnéaire cubaine, ndlr) où j'étais en vacances avec ma famille", explique-t-il.