Sur les traces de ses parents
Amateurs lundi, 2 août 2010. 20:29 samedi, 14 déc. 2024. 22:01
GATINEAU - Son père et sa mère avaient couru sur la même piste, il y a 29 ans, lorsque les Jeux du Québec avaient débarqué pour la première fois en Outaouais.
Paul Carrier et Josée Laforte n'avaient toutefois pas remporté de médailles en 1981. Leur fille Sophie, elle, a monté trois fois sur le podium des épreuves d'athlétisme présentées lors des quatre derniers jours au complexe Mont-Bleu.
En route vers son doublé d'or, l'adolescente d'Aylmer a fracassé deux records des Jeux, dont un qui remontait à 1997 au 800m chez les cadets féminins. Son chrono de 2:18:55 était une seconde plus rapide que la marque précédente.
"Je suis surtout contente d'avoir battu de quatre secondes mon meilleur temps en carrière", a dit l'athlète âgée de 15 ans. Son premier de deux records provinciaux, elle l'a obtenu devant ses parents et sa soeur aînée Maude, tous trois bénévoles aux Jeux.
Papa était coureur de demi-fond et représentait la Gaspésie comme elle. Il n'avait jamais pu compléter sa première course, aboutissant à l'hôpital en raison d'une crise d'asthme. De son côté, maman excellait dans les épreuves de sprint pour la région de Québec.
En 1981, ils se connaissaient un peu, mais ne se fréquentaient pas encore. Le coup de foudre est survenu quelques années plus tard à l'université Laval.
"C'est spécial de se retrouver au même endroit avec sa fille et de retrouver la même ambiance qu'à l'époque. Ça te rajeunit pour quelques jours, surtout que j'avais le même âge que Sophie en 1981", a mentionné Josée Laforte.
"Il n'y a pas grand-chose qui a changé ici. La piste est la même, sauf la surface qui est nouvelle."
Sa fille faisait partie de ces athlètes de l'Outaouais qui allégeaient l'atmosphère entre les épreuves. Elle pouvait être vue un peu partout portant de grosses lunettes fumées roses le long de la piste Mont-Bleu.
"C'est bien elle", a confirmé Mme Laforte, qui portait aussi un peu de rose.
"Les Jeux, c'est le 'fun'. Oui, il y a côté compétitif, mais moi, j'aime surtout le côté social", a fait remarquer Sophie Carrier-Laforte.
Paul Carrier et Josée Laforte n'avaient toutefois pas remporté de médailles en 1981. Leur fille Sophie, elle, a monté trois fois sur le podium des épreuves d'athlétisme présentées lors des quatre derniers jours au complexe Mont-Bleu.
En route vers son doublé d'or, l'adolescente d'Aylmer a fracassé deux records des Jeux, dont un qui remontait à 1997 au 800m chez les cadets féminins. Son chrono de 2:18:55 était une seconde plus rapide que la marque précédente.
"Je suis surtout contente d'avoir battu de quatre secondes mon meilleur temps en carrière", a dit l'athlète âgée de 15 ans. Son premier de deux records provinciaux, elle l'a obtenu devant ses parents et sa soeur aînée Maude, tous trois bénévoles aux Jeux.
Papa était coureur de demi-fond et représentait la Gaspésie comme elle. Il n'avait jamais pu compléter sa première course, aboutissant à l'hôpital en raison d'une crise d'asthme. De son côté, maman excellait dans les épreuves de sprint pour la région de Québec.
En 1981, ils se connaissaient un peu, mais ne se fréquentaient pas encore. Le coup de foudre est survenu quelques années plus tard à l'université Laval.
"C'est spécial de se retrouver au même endroit avec sa fille et de retrouver la même ambiance qu'à l'époque. Ça te rajeunit pour quelques jours, surtout que j'avais le même âge que Sophie en 1981", a mentionné Josée Laforte.
"Il n'y a pas grand-chose qui a changé ici. La piste est la même, sauf la surface qui est nouvelle."
Sa fille faisait partie de ces athlètes de l'Outaouais qui allégeaient l'atmosphère entre les épreuves. Elle pouvait être vue un peu partout portant de grosses lunettes fumées roses le long de la piste Mont-Bleu.
"C'est bien elle", a confirmé Mme Laforte, qui portait aussi un peu de rose.
"Les Jeux, c'est le 'fun'. Oui, il y a côté compétitif, mais moi, j'aime surtout le côté social", a fait remarquer Sophie Carrier-Laforte.