Un ancien champion de culturisme arrêté
Amateurs mardi, 29 août 2006. 13:37 mercredi, 11 déc. 2024. 19:49
VARSOVIE (AFP) - Boris K., un ancien champion allemand de culturisme, a été arrêté mardi matin dans le village polonais de Kielpin (nord-ouest) pour trafic d'anabolisants, a déclaré à l'AFP Pawel Biedziak, porte parole de la police.
"Nous avons étroitement collaboré avec les autorités allemandes, avec lesquelles nous avons planifié l'interpellation de Boris K." a affirmé le porte parole.
Selon la police polonaise, l'ancien champion était à la tête d'un trafic d'anabolisants, organisé par internet depuis la Pologne. Il avait fui l'Allemagne pour s'installer à Kielpin après que quelques-uns de ses colis contenant des produits dopants pour une valeur de 100.000 euros eurent été interceptés.
"En arrivant en Pologne, Boris K. a transformé un vieux magasin en une salle de musculation. Il se servait de son site internet personnel pour faire passer des messages à tout son réseau", a précisé Pawel Biedziak.
Selon la police, les autorités polonaises et allemandes recherchaient des preuves contre Boris K. depuis deux mois et se sont décidées dimanche à l'arrêter.
La police allemande a annoncé pour sa part avoir opéré mardi une série de perquisitions à Berlin et dans d'autres régions du pays dans le cadre d'une enquête sur un trafic international d'anabolisants.
En tout, 47 locaux ont été perquisitionnés à Berlin, dans le Brandebourg (est) et en Basse-Saxe (nord), ainsi qu'en Pologne.
L'extradition de Boris K., interpellé en vertu d'un mandat d'arrêt européen, devrait être décidée mercredi, a informé le porte parole du procureur de Gdansk, Grazyna Wawryniuk, citée par l'agence PAP.
"Nous avons étroitement collaboré avec les autorités allemandes, avec lesquelles nous avons planifié l'interpellation de Boris K." a affirmé le porte parole.
Selon la police polonaise, l'ancien champion était à la tête d'un trafic d'anabolisants, organisé par internet depuis la Pologne. Il avait fui l'Allemagne pour s'installer à Kielpin après que quelques-uns de ses colis contenant des produits dopants pour une valeur de 100.000 euros eurent été interceptés.
"En arrivant en Pologne, Boris K. a transformé un vieux magasin en une salle de musculation. Il se servait de son site internet personnel pour faire passer des messages à tout son réseau", a précisé Pawel Biedziak.
Selon la police, les autorités polonaises et allemandes recherchaient des preuves contre Boris K. depuis deux mois et se sont décidées dimanche à l'arrêter.
La police allemande a annoncé pour sa part avoir opéré mardi une série de perquisitions à Berlin et dans d'autres régions du pays dans le cadre d'une enquête sur un trafic international d'anabolisants.
En tout, 47 locaux ont été perquisitionnés à Berlin, dans le Brandebourg (est) et en Basse-Saxe (nord), ainsi qu'en Pologne.
L'extradition de Boris K., interpellé en vertu d'un mandat d'arrêt européen, devrait être décidée mercredi, a informé le porte parole du procureur de Gdansk, Grazyna Wawryniuk, citée par l'agence PAP.