Un joueur de rugby épinglé pour dopage
Amateurs mardi, 15 mai 2012. 13:25 vendredi, 13 déc. 2024. 23:30
Le Centre canadien pour l'éthique dans le sport (CCES) vient d'annoncer qu'un athlète en rugby s'est vu imposer une réprimande pour une violation des règles antidopage.
Cette violation a été découverte à la suite de l'analyse d'un échantillon d'urine recueilli durant un contrôle antidopage hors compétition réalisé le 6 mars 2012 qui a révélé la présence de hydrochlorothiazide, un diurétique interdit.
Le hydrochlorothiazide est classé au titre de « substance spécifique » sur la Liste des interdictions de l'Agence mondiale antidopage (AMA). En vertu des règlements du Programme canadien antidopage (PCA), un athlète qui commet une première violation pour usage d'une substance spécifique, peut demander que sa sanction soit réduite de deux ans de suspension à une réprimande.
Après avoir analysé la gravité de la faute commise par cet athlète en faisant usage de hydrochlorothiazide, le CCES a proposé qu'une réprimande soit imposée, sans période d'inéligibilité.
En réponse à l'avis du CCES concernant ce résultat d'analyse anormal, l'athlète a renoncé à son droit d'audition, a reconnu avoir commis une violation des règles antidopage et a accepté la réprimande.
Cette violation a été découverte à la suite de l'analyse d'un échantillon d'urine recueilli durant un contrôle antidopage hors compétition réalisé le 6 mars 2012 qui a révélé la présence de hydrochlorothiazide, un diurétique interdit.
Le hydrochlorothiazide est classé au titre de « substance spécifique » sur la Liste des interdictions de l'Agence mondiale antidopage (AMA). En vertu des règlements du Programme canadien antidopage (PCA), un athlète qui commet une première violation pour usage d'une substance spécifique, peut demander que sa sanction soit réduite de deux ans de suspension à une réprimande.
Après avoir analysé la gravité de la faute commise par cet athlète en faisant usage de hydrochlorothiazide, le CCES a proposé qu'une réprimande soit imposée, sans période d'inéligibilité.
En réponse à l'avis du CCES concernant ce résultat d'analyse anormal, l'athlète a renoncé à son droit d'audition, a reconnu avoir commis une violation des règles antidopage et a accepté la réprimande.