Un judoka réprimandé pour cannabis
Amateurs mercredi, 18 août 2010. 13:14 dimanche, 15 déc. 2024. 03:30
Le Centre canadien pour l'éthique dans le sport (CCES) vient d'annoncer qu'un athlète de judo a commis une violation des règles antidopage. La violation a été constatée à la suite d'un contrôle antidopage en compétition le 4 juillet 2010. L'échantillon d'urine a révélé un résultat d'analyse anormal pour le cannabis.
Les cannabinoïdes sont classés au titre de « substances spécifiques » sur la Liste des interdictions de l'Agence mondiale antidopage (AMA), interdites en compétition. En vertu des règlements du Programme canadien antidopage (PCA), un athlète qui commet une première violation pour usage d'une substance spécifique, peut demander que sa sanction soit réduite de deux ans de suspension au plus bas niveau possible, soit une réprimande sans période de suspension, sous réserve de satisfaire à trois conditions. L'athlète doit d'abord établir de quelle manière la substance s'est retrouvée dans son organisme et établir ensuite que cette substance ne visait pas à améliorer sa performance ni à masquer l'usage d'une substance améliorant la performance. Troisièmement, l'athlète doit produire des preuves à l'appui de ses dires par le témoignage d'une tierce personne. Après quoi, le CCES analyse la gravité de la faute afin de déterminer quelle sera la nature de la période d'inadmissibilité au sport imposée au fautif.
En réponse à l'avis du CCES concernant ce résultat d'analyse anormal, l'athlète a renoncé à son droit d'audition, a reconnu avoir commis une violation des règles antidopage et a satisfait aux trois conditions justifiant l'allégement de la sanction. Le CCES a ensuite analysé la gravité de la faute. La sanction imposée à cet athlète a par conséquent été une réprimande sans période de suspension.
Le Règlement 7.15 du Programme canadien antidopage oblige le CCES à diffuser publiquement la nature des violations des règles antidopage. Conformément à la Politique du CCES sur la divulgation publique de violation aux règlements antidopage, puisque aucune période de suspension n'a été imposée, le CCES omettra de divulguer publiquement le nom de l'athlète en cause.
Le CCES est un organisme indépendant, national et à but non lucratif. Notre mission - promouvoir l'éthique dans le sport au Canada - se réalise grâce à la recherche, la promotion, l'éducation, la détection et la dissuasion ainsi que par divers programmes et partenariats avec d'autres organismes.
Les cannabinoïdes sont classés au titre de « substances spécifiques » sur la Liste des interdictions de l'Agence mondiale antidopage (AMA), interdites en compétition. En vertu des règlements du Programme canadien antidopage (PCA), un athlète qui commet une première violation pour usage d'une substance spécifique, peut demander que sa sanction soit réduite de deux ans de suspension au plus bas niveau possible, soit une réprimande sans période de suspension, sous réserve de satisfaire à trois conditions. L'athlète doit d'abord établir de quelle manière la substance s'est retrouvée dans son organisme et établir ensuite que cette substance ne visait pas à améliorer sa performance ni à masquer l'usage d'une substance améliorant la performance. Troisièmement, l'athlète doit produire des preuves à l'appui de ses dires par le témoignage d'une tierce personne. Après quoi, le CCES analyse la gravité de la faute afin de déterminer quelle sera la nature de la période d'inadmissibilité au sport imposée au fautif.
En réponse à l'avis du CCES concernant ce résultat d'analyse anormal, l'athlète a renoncé à son droit d'audition, a reconnu avoir commis une violation des règles antidopage et a satisfait aux trois conditions justifiant l'allégement de la sanction. Le CCES a ensuite analysé la gravité de la faute. La sanction imposée à cet athlète a par conséquent été une réprimande sans période de suspension.
Le Règlement 7.15 du Programme canadien antidopage oblige le CCES à diffuser publiquement la nature des violations des règles antidopage. Conformément à la Politique du CCES sur la divulgation publique de violation aux règlements antidopage, puisque aucune période de suspension n'a été imposée, le CCES omettra de divulguer publiquement le nom de l'athlète en cause.
Le CCES est un organisme indépendant, national et à but non lucratif. Notre mission - promouvoir l'éthique dans le sport au Canada - se réalise grâce à la recherche, la promotion, l'éducation, la détection et la dissuasion ainsi que par divers programmes et partenariats avec d'autres organismes.