Un retour satisfaisant pour K. Savard
Amateurs mercredi, 12 déc. 2012. 15:32 dimanche, 15 déc. 2024. 15:35
Montréal - Katerine Savard a participé, mercredi, à une première compétition internationale depuis son expérience olympique à Londres. L'athlète de Pont-Rouge a terminé sixième en finale du 200 m papillon aux Championnats du monde de natation en petit bassin, à Istanbul, en Turquie.
Cinquième des préliminaires en un temps de 2 min 05,54 s, Savard a obtenu un chrono de 2 min 06,56 s en soirée. Elle a conclu à 4,36 secondes de la gagnante, la Hongroise Katinka Hosszu (2 min 02,20 s).
La Chinoise Liuyang Jiao (2 min 02,28 s) et la Britannique Jemma Lowe (2 min 03,19 s) ont accompagné Hosszu sur le podium.
« Je suis vraiment contente de mon temps de ce matin, même de celui de ce soir, a précisé la Québécoise en conférence téléphonique. (Ce matin), c'est quand même mon deuxième meilleur temps à vie. C'est vraiment mieux que ce que j'avais prévu à ce temps-ci de l'année. »
Savard a aussi nagé la première portion du relais 4x200 libre en matinée, où le Canada s'est classé 10e.
« Je ne suis pas vraiment habituée de faire trois 200 mètres dans la même journée en compétition. Mais ce sont des journées comme ça qui vont me rendre plus endurante. En plus, j'ai fait mon meilleur temps au 200 m crawl d'un relais. »
Retrouver sa confiance
La jeune nageuse de 19 ans n'a pas obtenu les résultats qu'elle espérait aux Jeux olympiques de Londres, finissant 16e au 100 m papillon et 19e au 200 m papillon, et elle s'est accordé un repos de cinq semaines.
« Après les déceptions que j'ai eues aux Jeux olympiques, ç'a été dur de recommencer à s'entraîner fort dès le départ, mais ça va de mieux en mieux », a-t-elle admis.
Savard a confié que l'expérience acquise au prestigieux rendez-vous l'aidera à mieux gérer les différentes situations auxquelles elle a à faire face en compétition.
« On ne peut pas contrôler tout, il peut y avoir des imprévus. Il ne faut pas regarder ce qui est derrière, mais être capable de se concentrer sur le présent. »
Sa présence aux mondiaux en petit bassin est du coup une belle occasion de se remettre dans le bain.
« Je veux retrouver la confiance que j'avais et le goût de courser. C'est juste ça dont j'ai besoin. C'est une de mes plus grandes qualités d'être combattante. C'est ce qui me manquait un peu ces derniers temps. »
« Chaque occasion de courser est importante pour moi, peu importe la compétition et l'endroit », a conclu Savard, qui participera au 50 m papillon jeudi et au 100 m papillon samedi.
Cinquième des préliminaires en un temps de 2 min 05,54 s, Savard a obtenu un chrono de 2 min 06,56 s en soirée. Elle a conclu à 4,36 secondes de la gagnante, la Hongroise Katinka Hosszu (2 min 02,20 s).
La Chinoise Liuyang Jiao (2 min 02,28 s) et la Britannique Jemma Lowe (2 min 03,19 s) ont accompagné Hosszu sur le podium.
« Je suis vraiment contente de mon temps de ce matin, même de celui de ce soir, a précisé la Québécoise en conférence téléphonique. (Ce matin), c'est quand même mon deuxième meilleur temps à vie. C'est vraiment mieux que ce que j'avais prévu à ce temps-ci de l'année. »
Savard a aussi nagé la première portion du relais 4x200 libre en matinée, où le Canada s'est classé 10e.
« Je ne suis pas vraiment habituée de faire trois 200 mètres dans la même journée en compétition. Mais ce sont des journées comme ça qui vont me rendre plus endurante. En plus, j'ai fait mon meilleur temps au 200 m crawl d'un relais. »
Retrouver sa confiance
La jeune nageuse de 19 ans n'a pas obtenu les résultats qu'elle espérait aux Jeux olympiques de Londres, finissant 16e au 100 m papillon et 19e au 200 m papillon, et elle s'est accordé un repos de cinq semaines.
« Après les déceptions que j'ai eues aux Jeux olympiques, ç'a été dur de recommencer à s'entraîner fort dès le départ, mais ça va de mieux en mieux », a-t-elle admis.
Savard a confié que l'expérience acquise au prestigieux rendez-vous l'aidera à mieux gérer les différentes situations auxquelles elle a à faire face en compétition.
« On ne peut pas contrôler tout, il peut y avoir des imprévus. Il ne faut pas regarder ce qui est derrière, mais être capable de se concentrer sur le présent. »
Sa présence aux mondiaux en petit bassin est du coup une belle occasion de se remettre dans le bain.
« Je veux retrouver la confiance que j'avais et le goût de courser. C'est juste ça dont j'ai besoin. C'est une de mes plus grandes qualités d'être combattante. C'est ce qui me manquait un peu ces derniers temps. »
« Chaque occasion de courser est importante pour moi, peu importe la compétition et l'endroit », a conclu Savard, qui participera au 50 m papillon jeudi et au 100 m papillon samedi.