Une dernière défaite amère pour le Canada au volleyball
Amateurs samedi, 26 juil. 2003. 17:54 jeudi, 12 déc. 2024. 01:41
Montréal (Sportcom) Des cinq rencontres disputées au Grand prix féminin de volleyball par la formation canadienne, la cinquième était la plus accessible. Après avoir perdu contre la puissante équipe russe, première au classement mondial, après avoir soutiré une manche à la Corée, septième au monde, après des défaites contre la Chine, deuxième au monde et le Brésil, quatrième au monde, le Canada voulait goûter à tout prix à la victoire.
Et c'était possible contre la Thaïlande. Classée 14e à l'échelle mondiale, cette équipe n'est pas plus imposante physiquement que les joueuses canadiennes. « Il n'y avait aucune joueuse qui nous faisait mal », de dire le numéro six canadien, Anne-Marie Lemieux. Et pourtant, les Thaïlandaises l'ont emporté en quatre manches.
« C'est ce qui fait le plus mal », a poursuivi la capitaine de l'équipe canadienne. « Lorsque tu perds contre la Russie, tu peux toujours te dire que c'est la meilleure équipe au monde, mais lorsque tu t'inclines contre la Thaïlande, il n'y a rien pour amoindrir la défaite, » expliquait-elle lorsque joint à Matera, en Italie.
La troupe de Lorne Sawula s'est pourtant bien battue. Les volleyeuses canadiennes ont perdu à l'arraché la première manche 28-26, puis le deuxième set en 25-18 avant de rebondir en troisième manche pour s'imposer 25-20. L'ultime partie s'est décidée à la faveur des Thaïlandaises par le compte de 25-22. Des résultats serrés qui ont fait dire à Anne-Marie Lemieux que l'équipe n'a jamais su capitaliser lorsque les possibilités se sont présentées à elle. « Lorsque nous avons analysé notre jeu après le match, certaines filles ont fait remarquer qu'au moment où il nous était possible de compter, notre jeu perdait de sa fluidité. On faisait des actions inattendues qui sortaient du plan de match. J'ajouterais que, lorsque les occasions de marquer se présentent, il faut tout donner, s'arracher l'épaule s'il le faut pour finir le jeu, et nous ne l'avons pas fait », a reconnu la passeuse.
Malgré tout, c'est un bagage d'expérience inestimable qu'a acquis le Canada lors de ce Grand prix maintenant que commence la course vers le tournoi de qualification olympique. Avant de rentrer au pays, les Canadiennes disputeront une série de matchs amicaux en France. Puis, de petites vacances attendent les joueuses afin de mieux repartir. Le programme sera chargé à l'automne : un tournoi à Hong Kong en septembre, le tournoi NORSECA (Amérique centrale et du nord) à la fin septembre, ensuite, peut-être, une tournée au Québec en octobre, entraînement intense en novembre et tournoi de qualification olympique en décembre. « Nous sommes affamées de victoire », a conclu Lemieux.
Et c'était possible contre la Thaïlande. Classée 14e à l'échelle mondiale, cette équipe n'est pas plus imposante physiquement que les joueuses canadiennes. « Il n'y avait aucune joueuse qui nous faisait mal », de dire le numéro six canadien, Anne-Marie Lemieux. Et pourtant, les Thaïlandaises l'ont emporté en quatre manches.
« C'est ce qui fait le plus mal », a poursuivi la capitaine de l'équipe canadienne. « Lorsque tu perds contre la Russie, tu peux toujours te dire que c'est la meilleure équipe au monde, mais lorsque tu t'inclines contre la Thaïlande, il n'y a rien pour amoindrir la défaite, » expliquait-elle lorsque joint à Matera, en Italie.
La troupe de Lorne Sawula s'est pourtant bien battue. Les volleyeuses canadiennes ont perdu à l'arraché la première manche 28-26, puis le deuxième set en 25-18 avant de rebondir en troisième manche pour s'imposer 25-20. L'ultime partie s'est décidée à la faveur des Thaïlandaises par le compte de 25-22. Des résultats serrés qui ont fait dire à Anne-Marie Lemieux que l'équipe n'a jamais su capitaliser lorsque les possibilités se sont présentées à elle. « Lorsque nous avons analysé notre jeu après le match, certaines filles ont fait remarquer qu'au moment où il nous était possible de compter, notre jeu perdait de sa fluidité. On faisait des actions inattendues qui sortaient du plan de match. J'ajouterais que, lorsque les occasions de marquer se présentent, il faut tout donner, s'arracher l'épaule s'il le faut pour finir le jeu, et nous ne l'avons pas fait », a reconnu la passeuse.
Malgré tout, c'est un bagage d'expérience inestimable qu'a acquis le Canada lors de ce Grand prix maintenant que commence la course vers le tournoi de qualification olympique. Avant de rentrer au pays, les Canadiennes disputeront une série de matchs amicaux en France. Puis, de petites vacances attendent les joueuses afin de mieux repartir. Le programme sera chargé à l'automne : un tournoi à Hong Kong en septembre, le tournoi NORSECA (Amérique centrale et du nord) à la fin septembre, ensuite, peut-être, une tournée au Québec en octobre, entraînement intense en novembre et tournoi de qualification olympique en décembre. « Nous sommes affamées de victoire », a conclu Lemieux.