Une seule paire québécoise qualifiée
Amateurs mardi, 12 juin 2007. 16:57 jeudi, 12 déc. 2024. 12:44
Marie-Andrée Lessard et Sarah Maxwell seront les seules Québécoises à avancer dans le tableau principal de l'Omnium d'Espinho, cinquième arrêt du circuit mondial de volleyball de plage, qui est disputé au Portugal.
Après avoir bénéficié d'un laissez-passer en première ronde, le duo lavallois a eu le dessus sur les représentantes de l'Afrique du Sud, Vitalila Nel et Palesa Sekonyana, ravissant ainsi la victoire en deux manches de 21-7 et 21-14. « Ç'a été relativement facile, a déclaré Lessard. Disons qu'il s'agissait d'un match d'adaptation. De plus, ça nous a permis de renouer avec la victoire après une participation difficile au dernier tournoi. »
Elles ont ensuite récidivé, mais cette fois, aux dépens de leurs consœurs, Annie Martin et Dana Cooke, au terme d'une rencontre qui s'est conclue en deux manches identiques de 21-17. « Nous avons dû faire beaucoup de gestion d'émotions lors de ce match. C'était difficile parce que nous affrontions nos partenaires d'entraînement. Nous avons saisi toutes les opportunités qui se sont présentées, car nous savions qu'il n'y en aurait pas une tonne », a raconté Lessard.
Maxwell abondait dans le même sens que sa partenaire. « Ç'a été une bataille mentale, a commenté la volleyeuse. Nous étions très nerveuses, mais nous avions un bon plan de match et nous l'avons bien exécuté. Il y a eu certains moments d'incertitude, mais nous avons su tirer avantage des moments critiques, ce qui a été décisif. »
Fin de tournoi pour les autres Québécoises
De leur côté, Martin et sa partenaire torontoise, qui disposaient également d'un laissez-passer en première ronde, ont affronté les Suisses Isabelle Forrer et Tanya Schmocker, face auxquelles elles ont triomphé 21-14 et 21-16. « Nous avons bien contrôlé la première manche, mais nous sommes parties un peu en retard lors de la deuxième, ce qui ne nous a pourtant pas empêché de revenir en force », a fait savoir Martin, de Sherbrooke.
La paire québéco-ontarienne s'est par la suite heurtée à leurs compatriotes, Lessard et Maxwell. « Ç'a n'a pas été évident au point de vue émotionnel », a déclaré Martin, qui a toutefois dit avoir réussi à faire la part des choses.
Anouk Boileau et Marie-Christine Mondor ont quant à elles défaites 21-17, 20-22 et 16-14 les Canadiennes Rebecca Moskowitz et Lily Markovic lors de la qualification par pays. Les Québécoises ont dominé 21-8 et 21-9 l'affrontement les opposant aux Portugaises Raquel Sousa et Susana Monteiro. Elles ont par la suite signé une troisième victoire d'affilée, mais cette fois, face aux Bulgares Petia Yanchulova et Evelina Tcholakova, par la marque de 16-21, 21-14, 15-9. Les Japonaises Miwa Asao et Takemi Nishibori ont cependant mis un terme à la participation du duo Boileau-Mondor en l'emportant en deux manches de 21-12.
Forçant tout de même la tenue d'une troisième manche, Line Jomphe et Barbara Carson n'ont pour leur part pas été en mesure de vaincre la formation canadienne de Kara Zakrewski et Chelsea Grimson, qui sont sorties victorieuses 21-18, 16-21 et 14-16.
Les volleyeuses qui n'ont pas réussi à se hisser dans le tableau principal auront la chance de se reprendre lors du Grand Chelem de Paris, qui se tiendra en France du 19 au 24 juin.
Après avoir bénéficié d'un laissez-passer en première ronde, le duo lavallois a eu le dessus sur les représentantes de l'Afrique du Sud, Vitalila Nel et Palesa Sekonyana, ravissant ainsi la victoire en deux manches de 21-7 et 21-14. « Ç'a été relativement facile, a déclaré Lessard. Disons qu'il s'agissait d'un match d'adaptation. De plus, ça nous a permis de renouer avec la victoire après une participation difficile au dernier tournoi. »
Elles ont ensuite récidivé, mais cette fois, aux dépens de leurs consœurs, Annie Martin et Dana Cooke, au terme d'une rencontre qui s'est conclue en deux manches identiques de 21-17. « Nous avons dû faire beaucoup de gestion d'émotions lors de ce match. C'était difficile parce que nous affrontions nos partenaires d'entraînement. Nous avons saisi toutes les opportunités qui se sont présentées, car nous savions qu'il n'y en aurait pas une tonne », a raconté Lessard.
Maxwell abondait dans le même sens que sa partenaire. « Ç'a été une bataille mentale, a commenté la volleyeuse. Nous étions très nerveuses, mais nous avions un bon plan de match et nous l'avons bien exécuté. Il y a eu certains moments d'incertitude, mais nous avons su tirer avantage des moments critiques, ce qui a été décisif. »
Fin de tournoi pour les autres Québécoises
De leur côté, Martin et sa partenaire torontoise, qui disposaient également d'un laissez-passer en première ronde, ont affronté les Suisses Isabelle Forrer et Tanya Schmocker, face auxquelles elles ont triomphé 21-14 et 21-16. « Nous avons bien contrôlé la première manche, mais nous sommes parties un peu en retard lors de la deuxième, ce qui ne nous a pourtant pas empêché de revenir en force », a fait savoir Martin, de Sherbrooke.
La paire québéco-ontarienne s'est par la suite heurtée à leurs compatriotes, Lessard et Maxwell. « Ç'a n'a pas été évident au point de vue émotionnel », a déclaré Martin, qui a toutefois dit avoir réussi à faire la part des choses.
Anouk Boileau et Marie-Christine Mondor ont quant à elles défaites 21-17, 20-22 et 16-14 les Canadiennes Rebecca Moskowitz et Lily Markovic lors de la qualification par pays. Les Québécoises ont dominé 21-8 et 21-9 l'affrontement les opposant aux Portugaises Raquel Sousa et Susana Monteiro. Elles ont par la suite signé une troisième victoire d'affilée, mais cette fois, face aux Bulgares Petia Yanchulova et Evelina Tcholakova, par la marque de 16-21, 21-14, 15-9. Les Japonaises Miwa Asao et Takemi Nishibori ont cependant mis un terme à la participation du duo Boileau-Mondor en l'emportant en deux manches de 21-12.
Forçant tout de même la tenue d'une troisième manche, Line Jomphe et Barbara Carson n'ont pour leur part pas été en mesure de vaincre la formation canadienne de Kara Zakrewski et Chelsea Grimson, qui sont sorties victorieuses 21-18, 16-21 et 14-16.
Les volleyeuses qui n'ont pas réussi à se hisser dans le tableau principal auront la chance de se reprendre lors du Grand Chelem de Paris, qui se tiendra en France du 19 au 24 juin.