Une victoire, mais pas de destruction
Amateurs mardi, 21 juil. 2009. 12:39 samedi, 14 déc. 2024. 02:02
Les poloïstes canadiennes ont inscrit une première victoire à leur fiche en ronde préliminaire des Championnats du monde de la FINA, s'imposant 12-6 face aux Néo-Zélandaises, mardi, à Rome.
Si les représentantes de la Nouvelle-Zélande ont été les premières à toucher le fond du filet, les joueuses canadiennes n'ont pas tardé à répliquer et n'ont plus jamais été inquiétées par la suite. Détenant une mince avance de 3-2 après la première demie, elles ont chargé à l'attaque marquant à neuf occasions à leur retour dans l'eau, limitant leurs adversaires à quatre buts.
Une victoire de 12-6 n'est cependant pas suffisante pour satisfaire la capitaine de l'équipe canadienne, Krystina Alogbo. « Nous nous serions attendues à un pointage de 20-6 », a avoué la Montréalaise, auteure d'un but dans la rencontre. « Ce n'était pas correct de juste gagner ce match, il fallait détruire. »
Carina Harache a été très occupée devant le filet néo-zélandais, elle qui a fait face à 28 lancers. Outre Alogbo, Joëlle Békhazi (Pointe-Claire, 2 buts), Emily Csikos (Calgary, 2 buts), Dominique Perreault (Montréal, 3 buts), Christine Robinson (Lachine, 1 but) et Rosanna Tomiuk (Montréal, 3 buts) ont réussi à la déjouer. La gardienne canadienne, Rachel Riddel (Vancouver), a pour sa part repoussé 7 des 13 tirs lancés dans sa direction.
Whitney Genoway (Montréal), Katrina Monton (Dorval), Marina Radu (Pointe-Claire) sont les autres Québécoises de la formation canadienne.
Manque de finition en première demie
Comme dans leur match nul contre les Australiennes dimanche, la première demie a fait défaut aux Canadiennes. « Encore une fois, nous n'étions pas prêtes mentalement à commencer la rencontre. Nous n'avons pas corrigé les erreurs que nous voulions corriger après notre match contre l'Australie », a raconté Alogbo.
La troupe de l'entraîneur Pat Oaten a pourtant obtenu plusieurs occasions de marquer, mais peu d'entre elles se sont concrétisées en but. « Ce n'est pas que les opportunités n'étaient pas là, c'est la finition qui nous manquait. Nous avons trop essayé de placer le ballon au lieu de rester avec ce qui était simple », a ajouté la capitaine canadienne.
« Dès la première attaque, nous aurions pu faire un but, mais j'ai mal géré mon lancer, a pour sa part admis Perreault. C'est sûr que ça n'a pas aidé, mais nous savions que nous pouvions revenir. »
En deuxième demie, les Canadiennes ont laissé de côté leurs lobs, et se sont mises à lancer directement devant le filet, ce qui leur a réussi. « Nous avons senti l'urgence. Nous avons arrêté de penser et nous nous sommes contentées de lancer. Il nous fallait des buts », a relevé Krystina Alogbo.
C'est que, pour se qualifier directement en quart de finale, le Canada doit terminer en tête de son groupe au terme du tour préliminaire. La course au premier rang est chaudement disputée entre les Canadiennes et les Australiennes, et l'équipe qui gagnera avec la plus grande marge de point contre la Nouvelle-Zélande devrait l'emporter. Le pays qui terminera deuxième ne sera pas éliminé pour autant, mais devra participer à un autre match afin d'atteindre les quarts de finale.
Le dernier match du tour préliminaire pour les poloïstes canadiennes aura lieu jeudi, contre les Sud-Africaines. Elles surveilleront d'abord le duel entre les Néo-Zélandaises et les Australiennes, qui joueront avant elles. « Nous allons exactement savoir où nous allons nous situer après ce match. Ce qui pourrait nous avantager, c'est que les deux équipes se connaissent bien, car elles jouent souvent l'une contre l'autre. Par leur proximité, ce sont deux équipes rivales un peu comme nous contre les États-Unis. Ça pourrait être plus serré », a conclu Alogbo.
Si les représentantes de la Nouvelle-Zélande ont été les premières à toucher le fond du filet, les joueuses canadiennes n'ont pas tardé à répliquer et n'ont plus jamais été inquiétées par la suite. Détenant une mince avance de 3-2 après la première demie, elles ont chargé à l'attaque marquant à neuf occasions à leur retour dans l'eau, limitant leurs adversaires à quatre buts.
Une victoire de 12-6 n'est cependant pas suffisante pour satisfaire la capitaine de l'équipe canadienne, Krystina Alogbo. « Nous nous serions attendues à un pointage de 20-6 », a avoué la Montréalaise, auteure d'un but dans la rencontre. « Ce n'était pas correct de juste gagner ce match, il fallait détruire. »
Carina Harache a été très occupée devant le filet néo-zélandais, elle qui a fait face à 28 lancers. Outre Alogbo, Joëlle Békhazi (Pointe-Claire, 2 buts), Emily Csikos (Calgary, 2 buts), Dominique Perreault (Montréal, 3 buts), Christine Robinson (Lachine, 1 but) et Rosanna Tomiuk (Montréal, 3 buts) ont réussi à la déjouer. La gardienne canadienne, Rachel Riddel (Vancouver), a pour sa part repoussé 7 des 13 tirs lancés dans sa direction.
Whitney Genoway (Montréal), Katrina Monton (Dorval), Marina Radu (Pointe-Claire) sont les autres Québécoises de la formation canadienne.
Manque de finition en première demie
Comme dans leur match nul contre les Australiennes dimanche, la première demie a fait défaut aux Canadiennes. « Encore une fois, nous n'étions pas prêtes mentalement à commencer la rencontre. Nous n'avons pas corrigé les erreurs que nous voulions corriger après notre match contre l'Australie », a raconté Alogbo.
La troupe de l'entraîneur Pat Oaten a pourtant obtenu plusieurs occasions de marquer, mais peu d'entre elles se sont concrétisées en but. « Ce n'est pas que les opportunités n'étaient pas là, c'est la finition qui nous manquait. Nous avons trop essayé de placer le ballon au lieu de rester avec ce qui était simple », a ajouté la capitaine canadienne.
« Dès la première attaque, nous aurions pu faire un but, mais j'ai mal géré mon lancer, a pour sa part admis Perreault. C'est sûr que ça n'a pas aidé, mais nous savions que nous pouvions revenir. »
En deuxième demie, les Canadiennes ont laissé de côté leurs lobs, et se sont mises à lancer directement devant le filet, ce qui leur a réussi. « Nous avons senti l'urgence. Nous avons arrêté de penser et nous nous sommes contentées de lancer. Il nous fallait des buts », a relevé Krystina Alogbo.
C'est que, pour se qualifier directement en quart de finale, le Canada doit terminer en tête de son groupe au terme du tour préliminaire. La course au premier rang est chaudement disputée entre les Canadiennes et les Australiennes, et l'équipe qui gagnera avec la plus grande marge de point contre la Nouvelle-Zélande devrait l'emporter. Le pays qui terminera deuxième ne sera pas éliminé pour autant, mais devra participer à un autre match afin d'atteindre les quarts de finale.
Le dernier match du tour préliminaire pour les poloïstes canadiennes aura lieu jeudi, contre les Sud-Africaines. Elles surveilleront d'abord le duel entre les Néo-Zélandaises et les Australiennes, qui joueront avant elles. « Nous allons exactement savoir où nous allons nous situer après ce match. Ce qui pourrait nous avantager, c'est que les deux équipes se connaissent bien, car elles jouent souvent l'une contre l'autre. Par leur proximité, ce sont deux équipes rivales un peu comme nous contre les États-Unis. Ça pourrait être plus serré », a conclu Alogbo.