Vous allez rire, je ne l’avais pas remarqué. Comment se fait-il qu’un collègue ait dû me prévenir à ce sujet. Il s’est avancé vers moi et m’a lancé :

- « Te voilà rendu à plus de 50 000. »

« Mais pas du tout.» lui aije répliqué, « Tu as tout faux au sujet de mon salaire. »

Il m’a regardé, évaluant si je blaguais ou si j’étais sérieux.

- « Je te parle du nombre de visites sur ton blogue. Tu en as plus de 50 000. Bravo! »

C’est qu’il avait raison le sympathique collègue. Effectivement, un de vous, très chers lecteurs, est devenu il y a quelques jours, le cinquante millième visiteur sur mon blogue. Je vous remercie. Malheureusement, pas de cadeaux pour vous. Je n’ai pas le budget pour vous gâter.

Mais, question de vous montrer toute mon appréciation, j’ai fait imprimer la liste de mon réseau de coéquipiers. Et j’ai lu et relu, mais très attentivement, en portant une attention à vos maximes. Vous savez, la petite citation ou l’adage ou le dicton que vous avez inscrits sous votre nom. Dans mon cas, il s’agit de Anima Sana In Corpore Sano (Un esprit sain dans un corps sain). Et bien vous savez quoi, vous m’avez à la fois fait rire et fait pleurer. Voici donc le TOP 10 des maximes ou adages ou dictons de mes coéquipiers.

1- Soyons réalistes, tentons l’impossible. (Éric Bellavance)

2- Si on vous botte le derrière, c’est que vous êtes devant. (Claudine Douville)

3- La polyvalence, c’est le secret. Et un brin de folie, c’est la réussite. (Frédéric Gamache)

4- Un sportif rêve son rêve, un champion le vit. (Sabrina-Cloé Dussault)

5- La joie de l’âme réside dans l’action. (dcn5espeon)

6- Il faut cesser de rêver sa vie et commencer à vivre ses rêves. (Adam Brisson)

7- C’est par leurs petits gestes que les grands se distinguent. (Philippe Gagnon)

8- Le futur fera ce que tu en fais aujourd’hui. (Ford150)

9- Un rêve devient vite réalité si on y croit vraiment. (Mathieu Viau-Renaud)

10- Paniquer n’est pas une option. (Luc Rock)

J’espère que cela inspirera tous ceux qui souhaitent devenir mes coéquipiers. Étonnez-moi, soyez surprenants et originaux.

Voici maintenant ceux qui m’ont bien fait rire. Vous allez remarquer qu’un thème s’impose plus souvent qu’autrement.

1- Arriver dans la surface et ne pas pouvoir tirer au but, c’est comme embrasser sa sœur. (Joseph « the Messiah10 » Ejeil)

2- Une année sans hockey, c’est comme un été sans vacances. (Jean-François Harper)

3- Une journée hockey, c’est comme la fin du monde. (Rayaas Drafila)

4- Le hockey sans Carey Price, c’est comme une piscine sans eau! (Pascal Lessard)

5- Une finale sans Penguins, c’est comme une pizza sans fromage. (Antoine101)

6- Un party sans bière, c’est comme l’été sans hockey. (Michel Morin)

7- Une semaine sans hockey, c’est comme un party sans bière. (Marc-AntoineCharland)

8- Le Grand Club sans rumeurs, c’est comme Montréal sans hockey! (Tony5711)

9- Une femme, c’est comme une game de hockey, c’est toujours excitant. (Éric Lefebvre)

10- La partie n’est pas finie tant qu’on n’a pas vendu la charrue en avant des bœufs. (Luc Doiron-Jean)

Je me permets enfin de terminer en y allant du Top 10 de mes meilleurs billets. J’en ai écrit plus d’une quarantaine. Voici ceux que je préfère ou dont on m’a beaucoup parlé. Je vous invite à les lire ou les relire si cela vous intéresse.

1- Pourquoi je cours avec un cochonnet jaune.

2- Vous voulez savoir si j’aime les chiens?

3- La leçon de mon père, ce marcheur.

4- Ces enfants pour qui je cours.

5- Coureurs vieillissant demande de l’aide.

6- Yves Boisvert, le journaliste blogue trotteur.

7- Ma course avec George Laraque.

8- Le trésor du « Roy » de la montagne.

9- Éloge de la lenteur.

10- Douleurs aux côtes à Baie-Saint-Paul.

Alors voilà pour mes petits classements. Je vous en promets un autre après la cent millième visite sur mon blogue. D’ailleurs, je vais tout de suite aller rencontrer la direction du web pour savoir s’ils ont un budget cadeaux. Sinon, que diriez-vous d’une petite visite des studios de RDS en ma compagnie?

Faites vous connaître lorsque vous serez le cent millième. Ca me fera plaisir.