Joël Landry dirigera « Équipe Québec » aux Jeux du Canada
Baseball dimanche, 22 juin 2008. 19:06 dimanche, 15 déc. 2024. 07:29
Voilà! Les jeux sont faits. C'est Joël Landry qui aura la mission de mener l'équipe du Québec à la conquête de la médaille d'or lors des Jeux du Canada qui se tiendront à l'Île du-Prince-Édouard, l'an prochain, du 22 au 29 août 2009. Et le principal intéressé est on ne peut plus fier de sa nomination : « Les Jeux du Canada, ce sont les plus importantes compétitions de sports au pays. Il faut voir cela comme nos propres Jeux olympiques », précise-t-il. « C'est un grand honneur que me font les dirigeants du baseball au Québec en me confiant cette équipe et c'est certain que je vais redoubler d'ardeur pour mettre sur pied l'équipe qui reviendra avec l'or! »
Celui qui succède à Martin Pouliot à la tête de la formation des meilleurs joueurs de baseball de 19 ans et moins de la province, présente un impressionnant cv baseball. Et qui plus est, il connaît personnellement tous les joueurs susceptibles de faire partie de l'équipe. Il les a dirigés soit avec les Ailes du Québec où il est entraîneur-chef depuis 2006, soit à l'Académie Baseball Canada (ABC) où il est également le grand manitou ou encore, il les a connus lorsqu'il a procédé au cours de l'hiver dernier à l'évaluation des joueurs du réseau de développement midget AAA de Baseball Québec.
Et Joël, qui sera épaulé par Alex Agostino, le directeur technique de Baseball Québec, dans ce dossier, n'a pas perdu de temps pour se mettre à la tâche, car il sait fort bien que la clé du succès d'une telle aventure repose sur la qualité de la préparation qu'on y a consacrée.
Déjà, les principales activités visant à former la meilleure équipe ont été planifiées de même qu'une liste d'une quarantaine de noms de joueurs potentiels a été confectionnée. Pour lui cependant, impossible de prédire aujourd'hui qui seront les 18 joueurs qui formeront Équipe Québec 2009 : « Il y a tellement de choses qui peuvent survenir en un an. De plus, les athlètes à ces âges (16 à 19 ans) peuvent se développer à une vitesse fulgurante, sans qu'on s'y attende. C'est pourquoi le camp d'évaluation va durer pratiquement une année. Et ce n'est qu'à la toute fin que nous saurons qui sont les athlètes qui nous accompagneront à l'Île-du-Prince-Édouard.
En 1999 Joël Landry a tout chamboulé son plan de carrière
Avant de devenir employé de Baseball Québec au début de l'an 2000, Joël Landry poursuivait une brillante carrière dans une entreprise privée de la métropole. Mais, malgré un emploi des plus intéressant et fort rémunérateur, sa passion pour le baseball l'empêchait d'être totalement heureux. Un jour, il a donc pris tout le monde par surprise en quittant son emploi pour se consacrer à temps complet à sa passion : le baseball!
Il devient alors employé de Baseball Québec. « Les gens ont vraiment pensé que j'étais tombé sur la tête », laisse-t-il tomber. « Laisser un emploi où je gagnais alors plus de 40,000 $ par année pour en accepter un à moins de 20,000 $ ! C'est vrai, quand on y pense, que ça pouvait avoir l'air fou! Mais, je ne l'ai jamais regretté et aujourd'hui, je constate que j'ai vraiment pris la bonne décision.»
Mais, cette année 1999 n'est pas l'année où Landry s'est impliqué dans le baseball pour la première fois. Déjà depuis une dizaine d'années il consacrait tous ses temps de loisirs à sa passion pour le baseball. En 1991, il oeuvrait en tant qu'entraîneur au sein de la Ligue de Baseball Montréal Junior (le circuit qui est devenu en 1998, la Ligue de Baseball Élite du Québec). À l'époque, il était membre du personnel d'entraîneurs de Sylvain Saindon chez les Bisons de Saint-Eustache. Puis, en 1993, il s'est transporté en France, à Saint-Lô, pour diriger une équipe. De retour, au pays en 1994, il est retourné avec les Bisons, desquels il est devenu l'entraîneur-chef en 1997 et en 1998 avant de passer la saison 1999 avec les « nouveaux » Élites de Montréal.
Puis, la même année, il a joint les rangs d'une toute nouvelle formation de Baseball Québec, les Ailes, qui venait tout juste de voir le jour. Partant de là, sa progression dans le monde du baseball a été ultra rapide.
Les Ailes, l'Académie Baseball Canada (ABC), l'équipe nationale, avec laquelle il est entraîneur des frappeurs de 2002 à 2004, les Capitales de Québec en 2005, une équipe professionnelle où il est entraîneur au troisième but en plus d'être responsable des frappeurs et de la défensive. Puis, en 2006, il succède à Richard Émond comme grand manitou des Ailes du Québec et de l'ABC.
Et c'est vraiment parce qu'il affiche une si vaste expérience du baseball que ceux qui lui ont offert le poste lui ont également confié une mission : et cette mission n'est pas d'améliorer la performance décevante du Québec lors des deux derniers Jeux le Québec a terminé au cinquième rang en 2001 et 2005 , mais bien de ramener l'or. Rien de moins!
Celui qui succède à Martin Pouliot à la tête de la formation des meilleurs joueurs de baseball de 19 ans et moins de la province, présente un impressionnant cv baseball. Et qui plus est, il connaît personnellement tous les joueurs susceptibles de faire partie de l'équipe. Il les a dirigés soit avec les Ailes du Québec où il est entraîneur-chef depuis 2006, soit à l'Académie Baseball Canada (ABC) où il est également le grand manitou ou encore, il les a connus lorsqu'il a procédé au cours de l'hiver dernier à l'évaluation des joueurs du réseau de développement midget AAA de Baseball Québec.
Et Joël, qui sera épaulé par Alex Agostino, le directeur technique de Baseball Québec, dans ce dossier, n'a pas perdu de temps pour se mettre à la tâche, car il sait fort bien que la clé du succès d'une telle aventure repose sur la qualité de la préparation qu'on y a consacrée.
Déjà, les principales activités visant à former la meilleure équipe ont été planifiées de même qu'une liste d'une quarantaine de noms de joueurs potentiels a été confectionnée. Pour lui cependant, impossible de prédire aujourd'hui qui seront les 18 joueurs qui formeront Équipe Québec 2009 : « Il y a tellement de choses qui peuvent survenir en un an. De plus, les athlètes à ces âges (16 à 19 ans) peuvent se développer à une vitesse fulgurante, sans qu'on s'y attende. C'est pourquoi le camp d'évaluation va durer pratiquement une année. Et ce n'est qu'à la toute fin que nous saurons qui sont les athlètes qui nous accompagneront à l'Île-du-Prince-Édouard.
En 1999 Joël Landry a tout chamboulé son plan de carrière
Avant de devenir employé de Baseball Québec au début de l'an 2000, Joël Landry poursuivait une brillante carrière dans une entreprise privée de la métropole. Mais, malgré un emploi des plus intéressant et fort rémunérateur, sa passion pour le baseball l'empêchait d'être totalement heureux. Un jour, il a donc pris tout le monde par surprise en quittant son emploi pour se consacrer à temps complet à sa passion : le baseball!
Il devient alors employé de Baseball Québec. « Les gens ont vraiment pensé que j'étais tombé sur la tête », laisse-t-il tomber. « Laisser un emploi où je gagnais alors plus de 40,000 $ par année pour en accepter un à moins de 20,000 $ ! C'est vrai, quand on y pense, que ça pouvait avoir l'air fou! Mais, je ne l'ai jamais regretté et aujourd'hui, je constate que j'ai vraiment pris la bonne décision.»
Mais, cette année 1999 n'est pas l'année où Landry s'est impliqué dans le baseball pour la première fois. Déjà depuis une dizaine d'années il consacrait tous ses temps de loisirs à sa passion pour le baseball. En 1991, il oeuvrait en tant qu'entraîneur au sein de la Ligue de Baseball Montréal Junior (le circuit qui est devenu en 1998, la Ligue de Baseball Élite du Québec). À l'époque, il était membre du personnel d'entraîneurs de Sylvain Saindon chez les Bisons de Saint-Eustache. Puis, en 1993, il s'est transporté en France, à Saint-Lô, pour diriger une équipe. De retour, au pays en 1994, il est retourné avec les Bisons, desquels il est devenu l'entraîneur-chef en 1997 et en 1998 avant de passer la saison 1999 avec les « nouveaux » Élites de Montréal.
Puis, la même année, il a joint les rangs d'une toute nouvelle formation de Baseball Québec, les Ailes, qui venait tout juste de voir le jour. Partant de là, sa progression dans le monde du baseball a été ultra rapide.
Les Ailes, l'Académie Baseball Canada (ABC), l'équipe nationale, avec laquelle il est entraîneur des frappeurs de 2002 à 2004, les Capitales de Québec en 2005, une équipe professionnelle où il est entraîneur au troisième but en plus d'être responsable des frappeurs et de la défensive. Puis, en 2006, il succède à Richard Émond comme grand manitou des Ailes du Québec et de l'ABC.
Et c'est vraiment parce qu'il affiche une si vaste expérience du baseball que ceux qui lui ont offert le poste lui ont également confié une mission : et cette mission n'est pas d'améliorer la performance décevante du Québec lors des deux derniers Jeux le Québec a terminé au cinquième rang en 2001 et 2005 , mais bien de ramener l'or. Rien de moins!