Moniz conduit les Orioles à la victoire
Baseball jeudi, 29 mai 2008. 08:09 jeudi, 12 déc. 2024. 13:51
Montréal - Les Orioles de Montréal, menés à l'attaque par leur toute dernière acquisition, Carl Moniz (2-en-3, 3pp), ont remporté hier soir une victoire de 8-5, sans trop de difficultés, aux dépens des Aigles de Trois-Rivières. Les hommes de l'entraîneur-chef Richard Émond ont porté leur fiche depuis le début du calendrier 2008 à six gains contre deux revers, ce qui leur assure le deuxième rang au classement général du circuit Baillairgé, sur un pied d'égalité avec les Diamants de Québec.
Carl Moniz, le joueur de la dernière semaine dans la LBÉQ, a commencé le match en force ce soir, claquant un solide coup de circuit à titre de premier frappeur à se présenter à la plaque pour les Orioles de Montréal. Sébastien Richer viendra porter l'avance montréalaise à 2-0 lorsqu'il croisera le marbre, dans la même manche, sur un mauvais lancer.
Et Moniz continue à combler toutes les attentes de l'organisation qui l'a acquis des Associés de Laval il y a quelques jours. En deuxième manche, après que les Aigles eurent inscrit deux retraits, Jean-François Déry frappe un simple, il vole le deuxième but et Moniz, qui suit, frappe un simple pour pousser Déry à la plaque. Après deux manches de jeu, les Orioles mènent 3-0.
En quatrième manche, les Aigles répliquent timidement : simple d'Antoine Désilets et triple de Francis St-Louis qui fait compter Désilets, l'avance montréalaise est réduite à deux points, 3-1.
Mais les hommes de l'entraîneur-chef Richard Émond reprennent, et trois fois plutôt qu'une, le point qu'ils viennent de céder : but sur balles à Jonathan Tremblay, simple de Renaud Caron-Catellier, sacrifice de Dominique Samyn et simple de Jean-François Déry qui pousse Tremblay et Caron-Catellier à la plaque. Puis, s'amène au bâton, Carl Moniz qui a déjà deux coups sûrs dans le match et qui affiche une moyenne au bâton de plus de ,500. Il frappe un simple qui permet à Déry de croiser le marbre et qui porte l'avance des Orioles à 6-1!
En sixième manche, les Orioles envoient Luis Argumedes au monticule. Il a déjà lancé trois manches pour les Élites l'an passé. Après avoir inscrit un retrait, il cède un but sur balles à Antoine Désilets, puis un simple à Francis St-Louis. Il inscrit le deuxième retrait de la manche sur des prises, mais cède un double bon pour deux points à Mathieu Lépine. Avant que la manche ne se termine, une erreur du voltigeur de droite coûtera un autre point aux Orioles. Leur avance a fondu comme neige au soleil, et pourtant de soleil il n'y en a pas! C'est maintenant 6-4.
Sébastien Richer et Steve Robert, au retour des Orioles au bâton, se chargeront de remettre les leurs en piste. Après un simple de Dominique Samyn, un but sur balles intentionnel à Carl Moniz (sage décision) et un but sur balles non intentionnel à Dany Deschamps, Sébastien Richer frappe un ballon-sacrifice, c'est 7-4. Steve Robert suit avec un simple qui pousse Moniz et Deschamps à la plaque. Les Orioles ont repris les trois points qu'ils ont permis à la dernière frappe des Aigles.
Les hommes de l'entraîneur-chef Rémi Doucet ajouteront un point en début de septième pour en arriver à la marque finale de 8-5.
C'est l'artilleur Hugo Lalonde (2-1) qui reçoit le crédit de la victoire pour les Orioles. Il a accordé un point mérité sur trois coups sûrs et il a retiré sept frappeurs au bâton en cinq manches de travail.
Dans le camp des Aigles, la défaite a été portée à la fiche du lanceur Sébastien Houle (1-2) qui, en quatre manches de travail, a cédé six points résultat de six coups sûrs et quatre buts sur balles en quatre manches.
Au sommaire, les Orioles ont marqué huit fois sur huit coups sûrs et ils ont commis deux erreurs. Pour les Aigles, les cinq points ont été inscrits sur sept coups sûrs et la défensive a gaffé deux fois.
Carl Moniz, le joueur de la dernière semaine dans la LBÉQ, a commencé le match en force ce soir, claquant un solide coup de circuit à titre de premier frappeur à se présenter à la plaque pour les Orioles de Montréal. Sébastien Richer viendra porter l'avance montréalaise à 2-0 lorsqu'il croisera le marbre, dans la même manche, sur un mauvais lancer.
Et Moniz continue à combler toutes les attentes de l'organisation qui l'a acquis des Associés de Laval il y a quelques jours. En deuxième manche, après que les Aigles eurent inscrit deux retraits, Jean-François Déry frappe un simple, il vole le deuxième but et Moniz, qui suit, frappe un simple pour pousser Déry à la plaque. Après deux manches de jeu, les Orioles mènent 3-0.
En quatrième manche, les Aigles répliquent timidement : simple d'Antoine Désilets et triple de Francis St-Louis qui fait compter Désilets, l'avance montréalaise est réduite à deux points, 3-1.
Mais les hommes de l'entraîneur-chef Richard Émond reprennent, et trois fois plutôt qu'une, le point qu'ils viennent de céder : but sur balles à Jonathan Tremblay, simple de Renaud Caron-Catellier, sacrifice de Dominique Samyn et simple de Jean-François Déry qui pousse Tremblay et Caron-Catellier à la plaque. Puis, s'amène au bâton, Carl Moniz qui a déjà deux coups sûrs dans le match et qui affiche une moyenne au bâton de plus de ,500. Il frappe un simple qui permet à Déry de croiser le marbre et qui porte l'avance des Orioles à 6-1!
En sixième manche, les Orioles envoient Luis Argumedes au monticule. Il a déjà lancé trois manches pour les Élites l'an passé. Après avoir inscrit un retrait, il cède un but sur balles à Antoine Désilets, puis un simple à Francis St-Louis. Il inscrit le deuxième retrait de la manche sur des prises, mais cède un double bon pour deux points à Mathieu Lépine. Avant que la manche ne se termine, une erreur du voltigeur de droite coûtera un autre point aux Orioles. Leur avance a fondu comme neige au soleil, et pourtant de soleil il n'y en a pas! C'est maintenant 6-4.
Sébastien Richer et Steve Robert, au retour des Orioles au bâton, se chargeront de remettre les leurs en piste. Après un simple de Dominique Samyn, un but sur balles intentionnel à Carl Moniz (sage décision) et un but sur balles non intentionnel à Dany Deschamps, Sébastien Richer frappe un ballon-sacrifice, c'est 7-4. Steve Robert suit avec un simple qui pousse Moniz et Deschamps à la plaque. Les Orioles ont repris les trois points qu'ils ont permis à la dernière frappe des Aigles.
Les hommes de l'entraîneur-chef Rémi Doucet ajouteront un point en début de septième pour en arriver à la marque finale de 8-5.
C'est l'artilleur Hugo Lalonde (2-1) qui reçoit le crédit de la victoire pour les Orioles. Il a accordé un point mérité sur trois coups sûrs et il a retiré sept frappeurs au bâton en cinq manches de travail.
Dans le camp des Aigles, la défaite a été portée à la fiche du lanceur Sébastien Houle (1-2) qui, en quatre manches de travail, a cédé six points résultat de six coups sûrs et quatre buts sur balles en quatre manches.
Au sommaire, les Orioles ont marqué huit fois sur huit coups sûrs et ils ont commis deux erreurs. Pour les Aigles, les cinq points ont été inscrits sur sept coups sûrs et la défensive a gaffé deux fois.