Le cirque est fini
Boxe samedi, 24 nov. 2007. 12:30 jeudi, 12 déc. 2024. 07:51
Enfin, le cirque est passé en ville. À Los Angeles, plus précisément, où un mal engueulé du nom de Ricardo Mayorga a peté la margoulette et envoyé à la retraite à tout jamais
El Feroz, mieux connu sous le nom de Fernando Vargas.
Ce combat me rappelle le travail des anciens "doormen" de clubs de nuit des années 50 qui faisaient respecter l'ordre à l'intérieur de leurs bars. Un mot de trop, un regard récalcitrant et c'était la guerre. Quelques claques sur le nez. Un coup de pied pour attendrir l'adversaire et ensuite on le projettait en bas de l'escalier.
L'autre soir à Los Angeles, il n'y a pas eu de coup de pied, mais deux chutes au tapis ont été suffisantes pour obliger Vargas à crier "Mon oncle" et finalement admettre qu'il était rendu au bout du rouleau.
Au moins dans le bon vieux temps, les videurs de clubs ne se targuaient pas d'éloges après une intervention musclée de leur part. Ca faisait partie de leur travail et c'est tout. D'ailleurs, dans leur contrat non écrit, il leur était défendu de subir la défaite, sinon c'était la porte et la fin de leur gagne-pain.
À la suite de ce triomphe, Mayorga ne tient plus en place. Il anticipe même des affrontements contre Miguel Cotto ou bien Floyd Mayweather.
Hey le "Zouave" arrête de boire de la bagosse et de fumer de la doublure de "bogey"
J'aime ça un gars qui n'a pas peur de la mort. Mais il y a une limite
Je veux bien croire que Mayorga a eu le meilleur sur Vargas, mais de là à envisager se mesurer à deux des meilleurs puglistes de l'heure, il y a une marge.
Je ne peux même pas m'imaginer que des gens paieraient pour assister ou encore visionner de tels affrontements, tellement la lutte serait inégale.
Ce qui me console dans tout ça, c'est que Vargas met un terme à sa carrière, si bien commencée, mais si mal finie.
Malheureusement, il n'est pas totalement responsable de ses déboires. C'est cette fameuse maladie de la glande thyroide il y a quelques années qui a totalement miné ses forces. Mais là, il est temps d'accrocher ses gants.
C'est malheureux de finir de cette façon mais que voulez-vous, ainsi va la vie. Surtout, ainsi va la boxe.
Bonne chance El Feroz et va collecter tes loyers. Je sais que tu es riche à millions et que tu ne manqueras jamais d'argent.
Ce combat me rappelle le travail des anciens "doormen" de clubs de nuit des années 50 qui faisaient respecter l'ordre à l'intérieur de leurs bars. Un mot de trop, un regard récalcitrant et c'était la guerre. Quelques claques sur le nez. Un coup de pied pour attendrir l'adversaire et ensuite on le projettait en bas de l'escalier.
L'autre soir à Los Angeles, il n'y a pas eu de coup de pied, mais deux chutes au tapis ont été suffisantes pour obliger Vargas à crier "Mon oncle" et finalement admettre qu'il était rendu au bout du rouleau.
Au moins dans le bon vieux temps, les videurs de clubs ne se targuaient pas d'éloges après une intervention musclée de leur part. Ca faisait partie de leur travail et c'est tout. D'ailleurs, dans leur contrat non écrit, il leur était défendu de subir la défaite, sinon c'était la porte et la fin de leur gagne-pain.
À la suite de ce triomphe, Mayorga ne tient plus en place. Il anticipe même des affrontements contre Miguel Cotto ou bien Floyd Mayweather.
Hey le "Zouave" arrête de boire de la bagosse et de fumer de la doublure de "bogey"
J'aime ça un gars qui n'a pas peur de la mort. Mais il y a une limite
Je veux bien croire que Mayorga a eu le meilleur sur Vargas, mais de là à envisager se mesurer à deux des meilleurs puglistes de l'heure, il y a une marge.
Je ne peux même pas m'imaginer que des gens paieraient pour assister ou encore visionner de tels affrontements, tellement la lutte serait inégale.
Ce qui me console dans tout ça, c'est que Vargas met un terme à sa carrière, si bien commencée, mais si mal finie.
Malheureusement, il n'est pas totalement responsable de ses déboires. C'est cette fameuse maladie de la glande thyroide il y a quelques années qui a totalement miné ses forces. Mais là, il est temps d'accrocher ses gants.
C'est malheureux de finir de cette façon mais que voulez-vous, ainsi va la vie. Surtout, ainsi va la boxe.
Bonne chance El Feroz et va collecter tes loyers. Je sais que tu es riche à millions et que tu ne manqueras jamais d'argent.