Alonso: Ferrari "anormalement" rapide
Course mardi, 3 mai 2005. 11:33 dimanche, 15 déc. 2024. 00:31
PARIS (AFP) - Le pilote espagnol Fernando Alonso (Renault), vainqueur le 24 avril du Grand Prix de Saint-Marin de Formule 1 après avoir résisté à Michael Schumacher, s'est étonné de l'efficacité de la Ferrari "anormalement" rapide de l'Allemand, qui roulait plus d'une seconde plus vite que lui.
"Si Ferrari a si bien réussi à Imola, c'est que les conditions lui étaient favorables, car je trouve anormal qu'une voiture soit tellement au-dessus de toutes les autres et pas seulement des nôtres", déclare Alonso dans un communiqué de Renault reçu mardi, à quelques jours du Grand Prix d'Espagne, dimanche à Barcelone.
"Évidemment, nous ne courons plus contre les mêmes Ferrari que nous avons vues lors des trois premières courses, mais je ne pense pas qu'elles soient partout aussi compétitives qu'à Imola. Avec un peu de chance, ils devraient souffrir un peu plus ce week-end", ajoute Alonso.
Parti de la treizième place sur la grille de départ à la suite d'une erreur de pilotage lors de la seconde séance de qualification, Michael Schumacher a terminé deuxième du GP de Saint-Marin après avoir effectué une remontée époustouflante en course, en particulier après son premier ravitaillement.
Jusqu'à ce qu'il le rattrape à 12 tours de l'arrivée, le septuple champion du monde roulait plus d'une seconde plus vite au tour qu'Alonso. Malgré la pression de l'Allemand, le pilote espagnol n'a cependant commis aucune erreur et passé la ligne en vainqueur.
Le Britannique Jenson Button (BAR-Honda) avait quant à lui été littéralement avalé par la Ferrari de Schumacher, alors qu'il était deuxième.
"Si Ferrari a si bien réussi à Imola, c'est que les conditions lui étaient favorables, car je trouve anormal qu'une voiture soit tellement au-dessus de toutes les autres et pas seulement des nôtres", déclare Alonso dans un communiqué de Renault reçu mardi, à quelques jours du Grand Prix d'Espagne, dimanche à Barcelone.
"Évidemment, nous ne courons plus contre les mêmes Ferrari que nous avons vues lors des trois premières courses, mais je ne pense pas qu'elles soient partout aussi compétitives qu'à Imola. Avec un peu de chance, ils devraient souffrir un peu plus ce week-end", ajoute Alonso.
Parti de la treizième place sur la grille de départ à la suite d'une erreur de pilotage lors de la seconde séance de qualification, Michael Schumacher a terminé deuxième du GP de Saint-Marin après avoir effectué une remontée époustouflante en course, en particulier après son premier ravitaillement.
Jusqu'à ce qu'il le rattrape à 12 tours de l'arrivée, le septuple champion du monde roulait plus d'une seconde plus vite au tour qu'Alonso. Malgré la pression de l'Allemand, le pilote espagnol n'a cependant commis aucune erreur et passé la ligne en vainqueur.
Le Britannique Jenson Button (BAR-Honda) avait quant à lui été littéralement avalé par la Ferrari de Schumacher, alors qu'il était deuxième.