Beaucoup d'humilité chez Toro Rosso
Course lundi, 1 févr. 2010. 10:00 samedi, 14 déc. 2024. 23:45
VALENCE - L'équipe italienne Toro Rosso, qui par nécessité réglementaire s'est détachée de son écurie-soeur Red Bull, aborde la saison 2010 de Formule 1 avec beaucoup d'humilité en raison de ses faibles moyens financiers, ont indiqué lundi à Valence ses dirigeants.
"L'objectif pratique, l'objectif décent, économique, serait d'arriver 10e. C'est ce qu'on devrait faire. Et on serait content", a déclaré le directeur technique Giorgio Ascanelli, lors de la présentation de la monoplace 2010, la STR5.
"Faire des prédictions pour la saison à venir est un piège, mais si j'y suis forcé, je dirais que notre but est de finir dans le Top 8 du classement constructeurs", a estimé le directeur d'écurie Franz Tost, quand treize équipes composent le plateau, dont quatre nouvelles (Campos, Virgin, Lotus et USF1).
"2010 est une date clé pour Toro Rosso car les nouveaux règlements nous demandent de dessiner et de fabriquer seuls notre voiture. Après quatre années de collaboration avec Red Bull, la STR5 est la première monoplace issue à 100% de nos efforts", a commenté Franz Tost.
"C'est un défi. On prend notre destin en main. Ce que nous aurons dans la voiture, c'est ce que nous saurons y mettre. La beauté du sport, c'est que si nous n'y mettons rien, nous ferons pale figure. Mais si nous faisons du bon boulot, le mérite nous en reviendra", a souligné Giorgio Ascanelli.
"Cette année, on ne pourra compter que sur nous-mêmes. On est l'écurie la plus petite de la F1" au nombre de ses salariés, a-t-il avancé, ajoutant n'avoir "aucun avantage sur les nouvelles écuries".
"On ne sait pas encore de quoi elles seront faites. Il me semble que Lotus embauche cinquante personnes par semaine. On verra", a remarqué l'Italien.
Toro Rosso, au budget évalué à 80 millions d'euros la saison dernière, a recruté une cinquantaine de salariés pour faire passer ses effectifs à environ 200 personnes.
L'écurie italienne basée à Faenza conserve ses deux pilotes de 2009, le Suisse Sébastien Buemi "qui a fait du bon travail" et l'Espagnol Jaime Alguersuari, qui est "intelligent" et "sait piloter", mais "manque de kilomètres" au volant d'une F1, selon Giorgio Ascanelli.
"L'objectif pratique, l'objectif décent, économique, serait d'arriver 10e. C'est ce qu'on devrait faire. Et on serait content", a déclaré le directeur technique Giorgio Ascanelli, lors de la présentation de la monoplace 2010, la STR5.
"Faire des prédictions pour la saison à venir est un piège, mais si j'y suis forcé, je dirais que notre but est de finir dans le Top 8 du classement constructeurs", a estimé le directeur d'écurie Franz Tost, quand treize équipes composent le plateau, dont quatre nouvelles (Campos, Virgin, Lotus et USF1).
"2010 est une date clé pour Toro Rosso car les nouveaux règlements nous demandent de dessiner et de fabriquer seuls notre voiture. Après quatre années de collaboration avec Red Bull, la STR5 est la première monoplace issue à 100% de nos efforts", a commenté Franz Tost.
"C'est un défi. On prend notre destin en main. Ce que nous aurons dans la voiture, c'est ce que nous saurons y mettre. La beauté du sport, c'est que si nous n'y mettons rien, nous ferons pale figure. Mais si nous faisons du bon boulot, le mérite nous en reviendra", a souligné Giorgio Ascanelli.
"Cette année, on ne pourra compter que sur nous-mêmes. On est l'écurie la plus petite de la F1" au nombre de ses salariés, a-t-il avancé, ajoutant n'avoir "aucun avantage sur les nouvelles écuries".
"On ne sait pas encore de quoi elles seront faites. Il me semble que Lotus embauche cinquante personnes par semaine. On verra", a remarqué l'Italien.
Toro Rosso, au budget évalué à 80 millions d'euros la saison dernière, a recruté une cinquantaine de salariés pour faire passer ses effectifs à environ 200 personnes.
L'écurie italienne basée à Faenza conserve ses deux pilotes de 2009, le Suisse Sébastien Buemi "qui a fait du bon travail" et l'Espagnol Jaime Alguersuari, qui est "intelligent" et "sait piloter", mais "manque de kilomètres" au volant d'une F1, selon Giorgio Ascanelli.