F. Alonso vit pleinement son rêve
Course jeudi, 14 janv. 2010. 11:11 jeudi, 12 déc. 2024. 04:40
ROME - L'Espagnol Fernando Alonso, double champion du monde de F1 qui courra pour Ferrari cette saison, a déclaré jeudi que la Scuderia sera "à 100% (sa) dernière écurie".
"Ce sera à 100% ma dernière écurie. J'arrive ici bien mieux préparé qu'à l'époque chez Renault", a affirmé lors d'une conférence de presse d'avant-saison à Madonna di Campiglio (Italie) Alonso, qui a rejoint Ferrari pour trois ans après deux saisons peu convaincantes chez Renault.
"Conduire une Ferrari était mon rêve depuis tout petit et il est devenu réalité. C'est génial d'être dans cette équipe car on sent qu'on appartient à une famille, ce qu'on ne ressent nulle part ailleurs", a ajouté l'Espagnol, champion du monde avec Renault en 2005 et 2006.
Interrogé sur le retour sur le circuit (chez Mercedes) de Michael Schumacher, septuple champion du monde et ancien pilote Ferrari, Alonso a estimé que cela "ne pouvait que faire du bien" à la F1.
Il en a également profité pour ironiser sur sa rivalité éventuelle avec son coéquipier, le Brésilien Felipe Massa: "Il n'y a aucun problème entre nous puisque nous ne pouvons nous rencontrer qu'en finale", a-t-il dit en référence au Mondial-2010 de football.
En fait, le Brésil et l'Espagne pourront se rencontrer en finale seulement si les deux équipes finissent première de leur groupe.
"Ce sera à 100% ma dernière écurie. J'arrive ici bien mieux préparé qu'à l'époque chez Renault", a affirmé lors d'une conférence de presse d'avant-saison à Madonna di Campiglio (Italie) Alonso, qui a rejoint Ferrari pour trois ans après deux saisons peu convaincantes chez Renault.
"Conduire une Ferrari était mon rêve depuis tout petit et il est devenu réalité. C'est génial d'être dans cette équipe car on sent qu'on appartient à une famille, ce qu'on ne ressent nulle part ailleurs", a ajouté l'Espagnol, champion du monde avec Renault en 2005 et 2006.
Interrogé sur le retour sur le circuit (chez Mercedes) de Michael Schumacher, septuple champion du monde et ancien pilote Ferrari, Alonso a estimé que cela "ne pouvait que faire du bien" à la F1.
Il en a également profité pour ironiser sur sa rivalité éventuelle avec son coéquipier, le Brésilien Felipe Massa: "Il n'y a aucun problème entre nous puisque nous ne pouvons nous rencontrer qu'en finale", a-t-il dit en référence au Mondial-2010 de football.
En fait, le Brésil et l'Espagne pourront se rencontrer en finale seulement si les deux équipes finissent première de leur groupe.