Ferrari critique sévèrement la FIA
Course mardi, 23 févr. 2010. 17:21 jeudi, 12 déc. 2024. 15:56
PARIS - Ferrari a sévèrement critiqué mardi la gestion par la Fédération internationale de l'automobile (FIA) de la saison 2010 de Formule 1, que plusieurs écuries inscrites semblent incapables de disputer.
"Sur les treize équipes qui se sont inscrites au Championnat, seules onze ont pour l'instant répondu à l'appel et se sont présentées en pistes (aux essais d'avant-saison), plus ou moins tard, certains n'ayant parcouru que quelques centaines de kilomètres, d'autres en ayant effectué davantage, mais à rythme réduit", épingle la Scuderia sur son site internet.
"La douzième, Campos Meta, a vu changer son management et son actionnariat, avec une soudaine injection de cash par un généreux chevalier blanc, habitué à ce genre de sauvetage in extremis, préalable à une fidèle sujétion", observe Ferrari, alors que José Carabante est devenu vendredi le nouvel actionnaire majoritaire de la structure.
"La treizième, USF1, est dispersée à Charlotte (Etats-Unis), entre l'effroi de l'Argentin Lopez (annoncé comme pilote d'USF1), qui semblait avoir trouvé le moyen de débarquer en F1 et doit tout recommencer à zéro, et l'impudeur de ceux qui continuent à dire que tout va bien sous un ciel étoilé", pointe l'écurie italienne.
"Les hiboux"
"Et puis, il y a les hiboux, dont le nid se trouve en Serbie", ironise Ferrari, se référant à l'écurie Stefan GP, qui a racheté la technologie et les monoplaces Toyota, retiré de la F1 fin 2009, et postule à une place sur la grille.
"D'abord, ils se sont lancés dans une donquichottesque bataille légale contre la FIA, puis ils ont vampirisé l'agonisante Toyota (...) Et maintenant, il espèrent récupérer la première place qui se libèrera", remarque la Scuderia dans un billet d'humeur.
"Voilà l'héritage laissé par la guerre sainte conduite par l'ancien président de la FIA (Max Mosley). On voulait baisser les coûts pour permettre aux petites équipes d'entrer en Formule 1 ? Voilà le résultat", s'indigne Ferrari.
"Deux écuries arrivent clopin-clopant en début de Championnat, la troisième y arrive poussée par une main invisible, et on cherche la quatrième parmi les +portés disparus+. Au même moment, on a perdu deux constructeurs comme BMW et Toyota et il reste peu d'un troisième, Renault. Le jeu en valait-il la chandelle ?"
"Sur les treize équipes qui se sont inscrites au Championnat, seules onze ont pour l'instant répondu à l'appel et se sont présentées en pistes (aux essais d'avant-saison), plus ou moins tard, certains n'ayant parcouru que quelques centaines de kilomètres, d'autres en ayant effectué davantage, mais à rythme réduit", épingle la Scuderia sur son site internet.
"La douzième, Campos Meta, a vu changer son management et son actionnariat, avec une soudaine injection de cash par un généreux chevalier blanc, habitué à ce genre de sauvetage in extremis, préalable à une fidèle sujétion", observe Ferrari, alors que José Carabante est devenu vendredi le nouvel actionnaire majoritaire de la structure.
"La treizième, USF1, est dispersée à Charlotte (Etats-Unis), entre l'effroi de l'Argentin Lopez (annoncé comme pilote d'USF1), qui semblait avoir trouvé le moyen de débarquer en F1 et doit tout recommencer à zéro, et l'impudeur de ceux qui continuent à dire que tout va bien sous un ciel étoilé", pointe l'écurie italienne.
"Les hiboux"
"Et puis, il y a les hiboux, dont le nid se trouve en Serbie", ironise Ferrari, se référant à l'écurie Stefan GP, qui a racheté la technologie et les monoplaces Toyota, retiré de la F1 fin 2009, et postule à une place sur la grille.
"D'abord, ils se sont lancés dans une donquichottesque bataille légale contre la FIA, puis ils ont vampirisé l'agonisante Toyota (...) Et maintenant, il espèrent récupérer la première place qui se libèrera", remarque la Scuderia dans un billet d'humeur.
"Voilà l'héritage laissé par la guerre sainte conduite par l'ancien président de la FIA (Max Mosley). On voulait baisser les coûts pour permettre aux petites équipes d'entrer en Formule 1 ? Voilà le résultat", s'indigne Ferrari.
"Deux écuries arrivent clopin-clopant en début de Championnat, la troisième y arrive poussée par une main invisible, et on cherche la quatrième parmi les +portés disparus+. Au même moment, on a perdu deux constructeurs comme BMW et Toyota et il reste peu d'un troisième, Renault. Le jeu en valait-il la chandelle ?"