Ferrari recherche la baguette magique
Course mardi, 28 juin 2011. 11:24 dimanche, 15 déc. 2024. 15:39
PARIS - L'écurie de Formule 1 Ferrari a indiqué mardi ne pas disposer d'une "baguette magique" lui permettant de renverser Red Bull et Sebastian Vettel au Grand Prix de Grand-Bretagne, malgré la 2e place de Fernando Alonso, dimanche à Valence (Espagne), où Felipe Massa s'est classé 5e.
Ce résultat, « le meilleur des huit premières courses de l'année 2011, est positif, mais il ne peut représenter un aboutissement, a commenté la Scuderia sur son site internet. Il confirme ce qui s'était déjà vu à Monaco et Montréal. »
« Mais il ne suffit pas. Le prochain défi est d'essayer d'être tout aussi compétitif sur des circuits où l'efficacité aérodynamique est le facteur décisif, comme à Silverstone », où Red Bull s'annonce dominateur, a poursuivi l'écurie italienne.
« La Scuderia apportera en Angleterre quelques nouveautés à caractère aérodynamique. Mais il est irréaliste de penser que celles-ci pourront être suffisantes pour renverser les rapports de force vus jusqu'ici », a-t-elle remarqué.
« La baguette magique n'existe pas. Personne ne l'a. La recette est donc la même pour tous : travail, travail, travail », a affirmé Ferrari, rappelant qu'une nouvelle directive technique interdisant les échappements soufflés - qui procurent adhérence et donc performance - entrera en vigueur à Silverstone.
« Personne ne peut encore dire si ce changement constituera un facteur significatif. On commencera à le comprendre le vendredi durant les séances d'essais libres », a observé l'écurie italienne, qui avec 129 points au classement constructeurs, compte 166 longueurs de retard sur Red Bull.
Dans le même temps, l'Espagnol Fernando Alonso (87 pts) doit reprendre 99 points à l'Allemand Sebastian Vettel (186) au classement général des pilotes. Une tâche là aussi presque insurmontable.
Ce résultat, « le meilleur des huit premières courses de l'année 2011, est positif, mais il ne peut représenter un aboutissement, a commenté la Scuderia sur son site internet. Il confirme ce qui s'était déjà vu à Monaco et Montréal. »
« Mais il ne suffit pas. Le prochain défi est d'essayer d'être tout aussi compétitif sur des circuits où l'efficacité aérodynamique est le facteur décisif, comme à Silverstone », où Red Bull s'annonce dominateur, a poursuivi l'écurie italienne.
« La Scuderia apportera en Angleterre quelques nouveautés à caractère aérodynamique. Mais il est irréaliste de penser que celles-ci pourront être suffisantes pour renverser les rapports de force vus jusqu'ici », a-t-elle remarqué.
« La baguette magique n'existe pas. Personne ne l'a. La recette est donc la même pour tous : travail, travail, travail », a affirmé Ferrari, rappelant qu'une nouvelle directive technique interdisant les échappements soufflés - qui procurent adhérence et donc performance - entrera en vigueur à Silverstone.
« Personne ne peut encore dire si ce changement constituera un facteur significatif. On commencera à le comprendre le vendredi durant les séances d'essais libres », a observé l'écurie italienne, qui avec 129 points au classement constructeurs, compte 166 longueurs de retard sur Red Bull.
Dans le même temps, l'Espagnol Fernando Alonso (87 pts) doit reprendre 99 points à l'Allemand Sebastian Vettel (186) au classement général des pilotes. Une tâche là aussi presque insurmontable.