Fin de semaine à oublier pour McLaren
Course dimanche, 26 juin 2011. 15:51 samedi, 14 déc. 2024. 21:50
VALENCE - McLaren, qui gonflait les muscles avant le Grand Prix d'Europe, ses deux pilotes britannique Lewis Hamilton et Jenson Button se voyant en mesure de détrôner l'Allemand Sebastian Vettel et Red Bull, ont connu une sérieuse déconvenue dimanche à Valence (Est), terminant 4e et 6e du Grand Prix d'Europe de Formule 1.
L'écurie de Woking (40 km de Londres) s'imaginait revenir, et même dépasser Red Bull à la faveur du changement de règles intervenu ce week-end, l'interdiction de toucher aux réglages moteurs entre qualifications et course étant censé nuire avant tout à la structure austro-britannique.
Mais Vettel a ravi samedi sa 7e position de tête en huit courses, avec un meilleur tour 4/10e de seconde plus rapide que celui d'Hamilton, 3e. Button s'est de son côté élancé de la 6e place dimanche.
"Après un pauvre départ, les deux Ferrari m'ont dépassé. Après ça, je me suis battu avec le survirage de ma voiture et je ne me suis pas senti totalement bien avec les pneus", a raconté Hamilton, quand Button a indiqué "avoir perdu son Kers à mi-course", dans un GP qu'il a trouvé "pas marrant du tout".
"Nous avions la voiture la plus rapide à Barcelone, Monaco et Montréal, mais plus à Valence. Mais vous pouvez vous assurer que nous travaillerons à fond dans les dix jours à venir pour nous assurer d'avoir une monoplace aussi rapide que possible à Silverstone", où se tient le prochain GP de Grande-Bretagne, a assuré leur patron, Martin Whitmarsh.
"Nous sommes en manque d'appuis. Nous n'avons pas apporté d'amélioration à la partie arrière depuis des semaines. Nous avons vraiment eu du mal avec cela, a révélé Hamilton, observant que McLaren allait "vraiment souffrir" avec l'interdiction à Silverstone de l'échappement soufflé, qui procure de l'adhérence.
"Nous avons besoin d'améliorations aérodynamiques. On n'avance plus à ce sujet. C'est ce sur quoi nous devons nous concentrer", a observé Button, qui a appelé McLaren à "prendre plus de risques" parce que "si l'écart à l'arrière avec les Mercedes est grand", "les Ferrari étaient devant (McLaren à Valence) et les Red Bull ont des kilomètres d'avance".
L'écurie de Woking (40 km de Londres) s'imaginait revenir, et même dépasser Red Bull à la faveur du changement de règles intervenu ce week-end, l'interdiction de toucher aux réglages moteurs entre qualifications et course étant censé nuire avant tout à la structure austro-britannique.
Mais Vettel a ravi samedi sa 7e position de tête en huit courses, avec un meilleur tour 4/10e de seconde plus rapide que celui d'Hamilton, 3e. Button s'est de son côté élancé de la 6e place dimanche.
"Après un pauvre départ, les deux Ferrari m'ont dépassé. Après ça, je me suis battu avec le survirage de ma voiture et je ne me suis pas senti totalement bien avec les pneus", a raconté Hamilton, quand Button a indiqué "avoir perdu son Kers à mi-course", dans un GP qu'il a trouvé "pas marrant du tout".
"Nous avions la voiture la plus rapide à Barcelone, Monaco et Montréal, mais plus à Valence. Mais vous pouvez vous assurer que nous travaillerons à fond dans les dix jours à venir pour nous assurer d'avoir une monoplace aussi rapide que possible à Silverstone", où se tient le prochain GP de Grande-Bretagne, a assuré leur patron, Martin Whitmarsh.
"Nous sommes en manque d'appuis. Nous n'avons pas apporté d'amélioration à la partie arrière depuis des semaines. Nous avons vraiment eu du mal avec cela, a révélé Hamilton, observant que McLaren allait "vraiment souffrir" avec l'interdiction à Silverstone de l'échappement soufflé, qui procure de l'adhérence.
"Nous avons besoin d'améliorations aérodynamiques. On n'avance plus à ce sujet. C'est ce sur quoi nous devons nous concentrer", a observé Button, qui a appelé McLaren à "prendre plus de risques" parce que "si l'écart à l'arrière avec les Mercedes est grand", "les Ferrari étaient devant (McLaren à Valence) et les Red Bull ont des kilomètres d'avance".