Hamilton n'a pas la voiture pour gagner
Course mercredi, 9 mars 2011. 16:32 jeudi, 12 déc. 2024. 03:41
BARCELONE - Le Britannique Lewis Hamilton a estimé que sa McLaren n'était pas actuellement en mesure de remporter le Championnat du monde de Formule 1, dans un entretien mercredi avec la presse britannique.
"Est-ce que je pense avoir une voiture pour remporter le Championnat en ce moment? Non, je ne l'ai pas", a affirmé le champion du monde 2008, avant d'ajouter : "mais cela ne veut pas dire que cela ne deviendra pas une voiture championne."
"À partir du moment où nous prenons de bons points durant les premières courses, nous ne serons pas des kilomètres derrière les autres. Si par exemple nous réussissons à terminer dans le top 5 les trois ou quatre premières courses, et si notre voiture s'améliore au point de jouer le titre ensuite, cela restera possible", a-t-il analysé.
"Je ne suis pas inquiet car je pilote depuis un bout de temps. Donc s'il y avait un Grand Prix demain, je pourrais monter dans la voiture et dire : 'pas de problème'. (...) Mais nous ne savons pas jusqu'où la voiture peut aller en terme de fiabilité à un rythme de course", a estimé Hamilton.
"Ce n'est la faute de personne. Ce sont simplement des questions qui se posent lors des essais, dont la raison d'être est de détecter les faiblesses (des monoplaces) et de les corriger. Nous nous sommes concentrés là-dessus, mais il y a plusieurs problèmes qui ne sont pas simples à rectifier", a-t-il constaté.
Mercredi, "je pensais réaliser une centaine de tours, l'équivalent d'une course. Normalement, à cette période de l'année, nous nous testons sur les arrêts aux stands et nous faisons l'équivalent d'une ou deux courses par journée. Mais là, nous en étions très loin", a regretté Lewis Hamilton.
"Est-ce que je pense avoir une voiture pour remporter le Championnat en ce moment? Non, je ne l'ai pas", a affirmé le champion du monde 2008, avant d'ajouter : "mais cela ne veut pas dire que cela ne deviendra pas une voiture championne."
"À partir du moment où nous prenons de bons points durant les premières courses, nous ne serons pas des kilomètres derrière les autres. Si par exemple nous réussissons à terminer dans le top 5 les trois ou quatre premières courses, et si notre voiture s'améliore au point de jouer le titre ensuite, cela restera possible", a-t-il analysé.
"Je ne suis pas inquiet car je pilote depuis un bout de temps. Donc s'il y avait un Grand Prix demain, je pourrais monter dans la voiture et dire : 'pas de problème'. (...) Mais nous ne savons pas jusqu'où la voiture peut aller en terme de fiabilité à un rythme de course", a estimé Hamilton.
"Ce n'est la faute de personne. Ce sont simplement des questions qui se posent lors des essais, dont la raison d'être est de détecter les faiblesses (des monoplaces) et de les corriger. Nous nous sommes concentrés là-dessus, mais il y a plusieurs problèmes qui ne sont pas simples à rectifier", a-t-il constaté.
Mercredi, "je pensais réaliser une centaine de tours, l'équivalent d'une course. Normalement, à cette période de l'année, nous nous testons sur les arrêts aux stands et nous faisons l'équivalent d'une ou deux courses par journée. Mais là, nous en étions très loin", a regretté Lewis Hamilton.