Montoya critique son ancien patron
Course mercredi, 2 mars 2005. 13:49 jeudi, 12 déc. 2024. 03:52
(RDS) - Le pilote de l'écurie McLaren, Juan Pablo Montoya, a critiqué son ancien patron, Frank Williams, qu'il accuse de ne pas l'avoir suffisamment supporté et d'avoir déclaré qu'il avait un surplus de poids.
Montoya, qui disputera son premier Grand Prix avec McLaren ce dimanche, en Australie, a aussi déclaré qu'il se sentait sous-évalué avec Williams.
"Je ne sais pas ce qu'ils voulaient. Je gagnais des courses pour eux, je me défonçais à chaque épreuve", a mentionné le Colombien. "Il (Williams) se plaignait que j'avais un surplus de poids et il ne cessait de se lamenter sur ce sujet. C'est très démotivant de travailler fort et de se faire dire des choses de la sorte."
Montoya a admis qu'il était soucieux lorsqu'il a rapidement signé son entente avec McLaren pour la saison 2005, puisque l'écurie Williams était très rapide en début de saison en 2004.
"Au début de l'année, c'était effrayant car nous étions rapides, alors que McLaren connaissait des ennuis. La presse me demandait si j'étais certain d'avoir pris la bonne décision. Certains croyaient que je le regretterais. À la fin de la saison, tous sont revenus me voir pour me féliciter du choix que j'avais pris."
Montoya, qui disputera son premier Grand Prix avec McLaren ce dimanche, en Australie, a aussi déclaré qu'il se sentait sous-évalué avec Williams.
"Je ne sais pas ce qu'ils voulaient. Je gagnais des courses pour eux, je me défonçais à chaque épreuve", a mentionné le Colombien. "Il (Williams) se plaignait que j'avais un surplus de poids et il ne cessait de se lamenter sur ce sujet. C'est très démotivant de travailler fort et de se faire dire des choses de la sorte."
Montoya a admis qu'il était soucieux lorsqu'il a rapidement signé son entente avec McLaren pour la saison 2005, puisque l'écurie Williams était très rapide en début de saison en 2004.
"Au début de l'année, c'était effrayant car nous étions rapides, alors que McLaren connaissait des ennuis. La presse me demandait si j'étais certain d'avoir pris la bonne décision. Certains croyaient que je le regretterais. À la fin de la saison, tous sont revenus me voir pour me féliciter du choix que j'avais pris."