"Nous ne baissons pas les bras"
Course mercredi, 22 avr. 2009. 11:34 dimanche, 15 déc. 2024. 04:37
FRANCFORT - L'ancien champion de Formule 1 Michael Schumacher affirme qu'il ne faut jamais compter Ferrari pour battue, même si son ancienne équipe n'a toujours pas récolté un seul point en trois courses jusqu'ici cette saison.
"Nous reconnaissons la situation telle qu'elle est, mais nous ne baissons pas les bras", a déclaré Schumacher, qui travaille toujours pour Ferrari à titre de conseiller.
"Ferrari ne l'a jamais fait dans le passé. Il ne faut jamais compter Ferrari pour battue", a affirmé Schumacher dans une entrevue avec l'agence de presse allemande DPA qui a été diffusée mercredi. "C'est là le bon côté de la F1, il n'y a pas de temps pour mijoter sa frustration, il faut toujours aller de l'avant."
Schumacher a toutefois concédé qu'il n'y a peut-être pas grand-chose que Ferrari puisse faire pour améliorer les performances de sa voiture actuelle, étant donné que l'utilisation de la soufflerie et les simulations sur ordinateur sont limitées par les nouvelles règles visant à réduire les dépenses.
"Avant, nous doublions ou triplions les heures de travail, mais cette année ce n'est pas possible", a-t-il noté.
A un certain moment, a dit Schumacher, l'écurie devra décider si elle veut continuer à essayer d'améliorer la voiture ou commencer à travailler tôt sur la version 2010.
Schumacher a ajouté que les écuries qui ont connu le plus de succès jusqu'ici, Brawn GP et Red Bull, ont amorcé très tôt les travaux sur la voiture actuelle. Les voitures Brawn ont remporté les deux premières courses et leurs succès ne peuvent être seulement attribués à leur diffuseur, selon Schumacher.
"La fiabilité de leurs voitures est la chose la plus étonnante que j'aie jamais vue", a dit l'Allemand au cours de l'entrevue accordée dans sa résidence en Suisse.
Une autre raison permettant d'expliquer les succès des équipes dites "modestes", c'est qu'elles "ne sont plus aussi modestes qu'avant. Elles ont bâti des structures qui ne sont pas différentes de celles des écuries de tête. Elles ont réduit l'écart".
A propos de son avenir avec Ferrari, Schumacher a indiqué qu'une décision quant à la prolongation ou non de son contrat ne viendrait probablement pas avant la fin de l'été. Son contrat à titre de conseiller sera échu à la fin de l'année.
"Nous reconnaissons la situation telle qu'elle est, mais nous ne baissons pas les bras", a déclaré Schumacher, qui travaille toujours pour Ferrari à titre de conseiller.
"Ferrari ne l'a jamais fait dans le passé. Il ne faut jamais compter Ferrari pour battue", a affirmé Schumacher dans une entrevue avec l'agence de presse allemande DPA qui a été diffusée mercredi. "C'est là le bon côté de la F1, il n'y a pas de temps pour mijoter sa frustration, il faut toujours aller de l'avant."
Schumacher a toutefois concédé qu'il n'y a peut-être pas grand-chose que Ferrari puisse faire pour améliorer les performances de sa voiture actuelle, étant donné que l'utilisation de la soufflerie et les simulations sur ordinateur sont limitées par les nouvelles règles visant à réduire les dépenses.
"Avant, nous doublions ou triplions les heures de travail, mais cette année ce n'est pas possible", a-t-il noté.
A un certain moment, a dit Schumacher, l'écurie devra décider si elle veut continuer à essayer d'améliorer la voiture ou commencer à travailler tôt sur la version 2010.
Schumacher a ajouté que les écuries qui ont connu le plus de succès jusqu'ici, Brawn GP et Red Bull, ont amorcé très tôt les travaux sur la voiture actuelle. Les voitures Brawn ont remporté les deux premières courses et leurs succès ne peuvent être seulement attribués à leur diffuseur, selon Schumacher.
"La fiabilité de leurs voitures est la chose la plus étonnante que j'aie jamais vue", a dit l'Allemand au cours de l'entrevue accordée dans sa résidence en Suisse.
Une autre raison permettant d'expliquer les succès des équipes dites "modestes", c'est qu'elles "ne sont plus aussi modestes qu'avant. Elles ont bâti des structures qui ne sont pas différentes de celles des écuries de tête. Elles ont réduit l'écart".
A propos de son avenir avec Ferrari, Schumacher a indiqué qu'une décision quant à la prolongation ou non de son contrat ne viendrait probablement pas avant la fin de l'été. Son contrat à titre de conseiller sera échu à la fin de l'année.