Pas de retraite pour Ron Dennis
Course jeudi, 13 mars 2008. 10:47 jeudi, 12 déc. 2024. 12:44
LONDRES - Le patron de l'écurie britannique McLaren-Mercedes, Ron Dennis, a reconnu jeudi avoir songé à la retraite, mais a expliqué avoir désormais changé d'avis.
"Je continue comme patron de l'équipe, même si cela représente la plus petite part de mon travail. C'est une part que Martin (ndlr: Whitmarsh, son bras droit) guigne depuis quelque temps. Il va devoir attendre encore un peu même si je vais avoir une approche un peu différente cette année", a déclaré Ron Dennis dans des propos rapportés par l'agence britannique Press Association.
"J'ai vraiment pensé au début de la saison dernière que cela allait être ma dernière année, tout simplement parce que cela fait longtemps que je fais ça", a-t-il reconnu.
"J'aime toujours autant le sport automobile. Si je ressentais que je n'avais plus rien de positif à apporter, je ne serais plus là", a insisté le Britannique, à la tête de l'écurie depuis plus d'un quart de siècle.
La position de Dennis a été fragilisée par l'affaire d'espionnage de Ferrari la saison passée, qui a valu à son équipe une amende record de 100 millions de dollars et l'exclusion du championnat du monde des constructeurs.
"Je continue comme patron de l'équipe, même si cela représente la plus petite part de mon travail. C'est une part que Martin (ndlr: Whitmarsh, son bras droit) guigne depuis quelque temps. Il va devoir attendre encore un peu même si je vais avoir une approche un peu différente cette année", a déclaré Ron Dennis dans des propos rapportés par l'agence britannique Press Association.
"J'ai vraiment pensé au début de la saison dernière que cela allait être ma dernière année, tout simplement parce que cela fait longtemps que je fais ça", a-t-il reconnu.
"J'aime toujours autant le sport automobile. Si je ressentais que je n'avais plus rien de positif à apporter, je ne serais plus là", a insisté le Britannique, à la tête de l'écurie depuis plus d'un quart de siècle.
La position de Dennis a été fragilisée par l'affaire d'espionnage de Ferrari la saison passée, qui a valu à son équipe une amende record de 100 millions de dollars et l'exclusion du championnat du monde des constructeurs.