Rien n'est encore décidé pense Ferrari
Course samedi, 25 juin 2011. 14:13 jeudi, 12 déc. 2024. 09:40
VALENCE - Le « verdict » du Grand Prix d'Europe de Formule 1, dimanche à Valence (Est), « n'est pas encore écrit », a estimé samedi le directeur de Ferrari, Stefano Domenicali, après la 4e et la 5e place de ses pilotes Fernando Alonso et Felipe Massa en qualifications.
« Tout bien considéré, c'était de bonnes qualifications. Nous avons lutté jusqu'au bout avec McLaren pour une place dans les trois premiers et ils nous l'ont prise pour un souffle. À posteriori, en regardant les temps secteur par secteur, nous avions le potentiel pour mettre les deux voitures en deuxième ligne », a observé l'Italien.
« Depuis trois qualifications, nous réussissons à placer au moins un pilote en deuxième ligne, ce qui représente un progrès par rapport à la première moitié de la saison. Même l'écart avec les meilleurs s'est réduit, même si on peut considérer que les caractéristiques du circuit nous ont favorisés », a-t-il poursuivi.
Alonso a pourtant réalisé samedi sur le circuit valencien un meilleur tour 4/10e de seconde plus lent que celui du détenteur de la position de tête Sebastian Vettel, alors que le pilote Red Bull ne disposait que de 2/10e d'avance sur l'Espagnol lors des qualifications du dernier GP du Canada.
Dimanche, « la course sera très incertaine. Il y a évidemment un favori. Mais je ne pense pas que le verdict soit déjà écrit. Nous avons vu des courses plus disputées que les qualifications correspondantes. Je ne vois pas pourquoi cela ne se produirait pas" à Valence, a affirmé M. Domenicali, qui vise "le podium » pour au moins une Ferrari.
Un objectif partagé par Fernando Alonso, qui pense avoir « la possibilité de l'atteindre ». « Le favori était et reste Red Bull », a ajouté le double champion du monde, qui "ne pensait pas que la petite évolution réglementaire introduite ici puisse changer l'ordre des choses".
La Fédération internationale de l'automobile (FIA) a interdit les changements de réglages moteurs entre les qualifications et la course à partir du GP d'Europe, une mesure qui aurait pu ralentir l'avance de Red Bull. La position de tête de Vettel samedi a prouvé qu'il n'en était rien.
« Tout bien considéré, c'était de bonnes qualifications. Nous avons lutté jusqu'au bout avec McLaren pour une place dans les trois premiers et ils nous l'ont prise pour un souffle. À posteriori, en regardant les temps secteur par secteur, nous avions le potentiel pour mettre les deux voitures en deuxième ligne », a observé l'Italien.
« Depuis trois qualifications, nous réussissons à placer au moins un pilote en deuxième ligne, ce qui représente un progrès par rapport à la première moitié de la saison. Même l'écart avec les meilleurs s'est réduit, même si on peut considérer que les caractéristiques du circuit nous ont favorisés », a-t-il poursuivi.
Alonso a pourtant réalisé samedi sur le circuit valencien un meilleur tour 4/10e de seconde plus lent que celui du détenteur de la position de tête Sebastian Vettel, alors que le pilote Red Bull ne disposait que de 2/10e d'avance sur l'Espagnol lors des qualifications du dernier GP du Canada.
Dimanche, « la course sera très incertaine. Il y a évidemment un favori. Mais je ne pense pas que le verdict soit déjà écrit. Nous avons vu des courses plus disputées que les qualifications correspondantes. Je ne vois pas pourquoi cela ne se produirait pas" à Valence, a affirmé M. Domenicali, qui vise "le podium » pour au moins une Ferrari.
Un objectif partagé par Fernando Alonso, qui pense avoir « la possibilité de l'atteindre ». « Le favori était et reste Red Bull », a ajouté le double champion du monde, qui "ne pensait pas que la petite évolution réglementaire introduite ici puisse changer l'ordre des choses".
La Fédération internationale de l'automobile (FIA) a interdit les changements de réglages moteurs entre les qualifications et la course à partir du GP d'Europe, une mesure qui aurait pu ralentir l'avance de Red Bull. La position de tête de Vettel samedi a prouvé qu'il n'en était rien.