Un Villeneuve calme et reposé
Course jeudi, 30 mars 2006. 13:39 samedi, 14 déc. 2024. 02:53
MELBOURNE (PC) - C'est le visage reposé après quelques jours de vacances que Jacques Villeneuve a fait une entrée remarquée dans le paddock de Melbourne. Pour un peu, on se serait cru revenu en 1996 quand il avait créé la sensation en signant la pole-position à l'occasion de son tout premier Grand Prix.
"Je garde un super souvenir de ce premier Grand Prix, a raconté le pilote d'origine québécoise à l'évocation de ce 10e anniversaire. A l'époque, il avait répondu à pas mal d'interrogations me concernant même si, moi, je savais que j'allais être compétitif après les nombreux kilomètres couverts au cours de l'hiver.
"Bon, mais tout cela commence tout de même à dater. Cette année encore, il ne faudra pas attendre la même prestation de ma part qu'en 96 simplement parce que nous sommes moins compétitifs que ne l'était Williams à cette époque", a prévenu le pilote réaliste.
Présentement, c'est Renault qui domine.
"Renault possède actuellement un avantage, mais il n'est pas aussi important que celui que possédait Williams au milieu des années 90, estime Villeneuve. Pour moi, ce début de saison est très excitant, bien plus en tous les cas que lors des dernières années avec Renault, McLaren, Honda et Ferrari assez proches en performances. Nous (Sauber BMW), il nous en manque un peu pour nous battre régulièrement dans le top cinq. Mais je peux vous dire que ça travaille fort, tant à la soufflerie de l'usine que sur le moteur. Notre monoplace réagit bien aux réglages, et même quand elle n'est pas réglée de manière optimum, elle permet tout de même de piloter avec agressivité."
Une agressivité qui devrait pouvoir s'exprimer pleinement ce week-end sur ce circuit de l'Albert Park que Jacques apprécie.
"C'est un circuit d'accélérations et de freinages qui comporte quelques enchaînements très intéressants. De plus, l'ambiance est géniale! C'est un peu comme à Montréal ici, en ce sens que la F1 est une occasion de faire la fête. Moi, j'aime bien ce tracé où l'on roule entre les murs. D'où une impression accrue de vitesse. C'est aussi un circuit difficile pour les freins qui chauffent énormément. C'est un peu bosselé et comme la route est ouverte à la circulation le reste de l'année, c'est aussi très glissant."
Les pièges et les difficultés ne sont pas sans déplaire à l'ancien champion du monde.
"Je garde un super souvenir de ce premier Grand Prix, a raconté le pilote d'origine québécoise à l'évocation de ce 10e anniversaire. A l'époque, il avait répondu à pas mal d'interrogations me concernant même si, moi, je savais que j'allais être compétitif après les nombreux kilomètres couverts au cours de l'hiver.
"Bon, mais tout cela commence tout de même à dater. Cette année encore, il ne faudra pas attendre la même prestation de ma part qu'en 96 simplement parce que nous sommes moins compétitifs que ne l'était Williams à cette époque", a prévenu le pilote réaliste.
Présentement, c'est Renault qui domine.
"Renault possède actuellement un avantage, mais il n'est pas aussi important que celui que possédait Williams au milieu des années 90, estime Villeneuve. Pour moi, ce début de saison est très excitant, bien plus en tous les cas que lors des dernières années avec Renault, McLaren, Honda et Ferrari assez proches en performances. Nous (Sauber BMW), il nous en manque un peu pour nous battre régulièrement dans le top cinq. Mais je peux vous dire que ça travaille fort, tant à la soufflerie de l'usine que sur le moteur. Notre monoplace réagit bien aux réglages, et même quand elle n'est pas réglée de manière optimum, elle permet tout de même de piloter avec agressivité."
Une agressivité qui devrait pouvoir s'exprimer pleinement ce week-end sur ce circuit de l'Albert Park que Jacques apprécie.
"C'est un circuit d'accélérations et de freinages qui comporte quelques enchaînements très intéressants. De plus, l'ambiance est géniale! C'est un peu comme à Montréal ici, en ce sens que la F1 est une occasion de faire la fête. Moi, j'aime bien ce tracé où l'on roule entre les murs. D'où une impression accrue de vitesse. C'est aussi un circuit difficile pour les freins qui chauffent énormément. C'est un peu bosselé et comme la route est ouverte à la circulation le reste de l'année, c'est aussi très glissant."
Les pièges et les difficultés ne sont pas sans déplaire à l'ancien champion du monde.