Vettel trouve l'atmosphère fantastique
Course mardi, 7 juin 2011. 23:48 mercredi, 11 déc. 2024. 14:37
Le grand cirque de la Formule 1 s'amène à Montréal cette semaine et notre analyste Bertrand Houle en a profité pour réaliser une entrevue exclusive avec celui qui a remporté cinq des six premières courses de la saison, Sebastian Vettel.
Bien installé à l'hôtel Sacacomie situé près de Saint-Alexis-des-Monts en Mauricie, Vettel fait le vide en attendant de s'attaquer au circuit Gilles-Villeneuve.
« C'est devenu une tradition au fil des ans. Lorsque je viens au Canada, je viens ici pour relaxer quelques jours. »
« La nervosité est toujours présente dans le monde de la Formule 1. En venant ici, ça permet de faire le vide et oublier le bruit des moteurs. »
« Je suis un gars qui apprécie la nature et je suis bien servi en venant ici. Nous faisons toutes sortes d'activités. Nous nous sommes promenés dans la forêt en VTT et j'étais anxieux à l'idée de pêcher mon premier poisson. »
Du succès à Montréal
Après six courses, Vettel est bien seul en tête du classement des pilotes avec 143 points - 58 points d'avance sur Lewis Hamilton. Si l'on se fie à ses résultats antérieurs, Vettel devrait avoir ajouté des points à son avance en repartant de Montréal.
« J'ai obtenu des points au classement lors de mes deux courses à Montréal. J'aime le circuit Gilles-Villeneuve car c'est un défi d'y piloter avec les chicanes et la proximité des murets. »
C'est un cliché, mais tous les pilotes sont d'avis que Montréal forme l'une des plus belles villes où s'arrête le championnat automobile et Vettel n'y fait pas exception.
« Montréal est un des meilleurs endroits en F1 pour l'ambiance qui règne durant la semaine. Avec le support des spectateurs, ça en fait un Grand Prix magnifique. »
Comme c'est le cas chaque saison, des modifications sont apportées d'une année à l'autre et, en 2011, ce sont les pneus qui sont au cœur des discussions.
« Nous devons changer nos stratégies en raison de l'usure rapide des pneus. On ressent surtout la différence en début de course alors que la voiture est lourde en essence; nous sommes très loin de nos temps de qualification. »
« En qualification, les voitures sont légères et les pneus sont efficaces pour enregistrer des temps rapides. C'est en course qu'on doit s'adapter, tout comme les autres écuries. C'est à ce moment que l'on peut tirer avantage d'une stratégie. »
Bien installé à l'hôtel Sacacomie situé près de Saint-Alexis-des-Monts en Mauricie, Vettel fait le vide en attendant de s'attaquer au circuit Gilles-Villeneuve.
« C'est devenu une tradition au fil des ans. Lorsque je viens au Canada, je viens ici pour relaxer quelques jours. »
« La nervosité est toujours présente dans le monde de la Formule 1. En venant ici, ça permet de faire le vide et oublier le bruit des moteurs. »
« Je suis un gars qui apprécie la nature et je suis bien servi en venant ici. Nous faisons toutes sortes d'activités. Nous nous sommes promenés dans la forêt en VTT et j'étais anxieux à l'idée de pêcher mon premier poisson. »
Du succès à Montréal
Après six courses, Vettel est bien seul en tête du classement des pilotes avec 143 points - 58 points d'avance sur Lewis Hamilton. Si l'on se fie à ses résultats antérieurs, Vettel devrait avoir ajouté des points à son avance en repartant de Montréal.
« J'ai obtenu des points au classement lors de mes deux courses à Montréal. J'aime le circuit Gilles-Villeneuve car c'est un défi d'y piloter avec les chicanes et la proximité des murets. »
C'est un cliché, mais tous les pilotes sont d'avis que Montréal forme l'une des plus belles villes où s'arrête le championnat automobile et Vettel n'y fait pas exception.
« Montréal est un des meilleurs endroits en F1 pour l'ambiance qui règne durant la semaine. Avec le support des spectateurs, ça en fait un Grand Prix magnifique. »
Comme c'est le cas chaque saison, des modifications sont apportées d'une année à l'autre et, en 2011, ce sont les pneus qui sont au cœur des discussions.
« Nous devons changer nos stratégies en raison de l'usure rapide des pneus. On ressent surtout la différence en début de course alors que la voiture est lourde en essence; nous sommes très loin de nos temps de qualification. »
« En qualification, les voitures sont légères et les pneus sont efficaces pour enregistrer des temps rapides. C'est en course qu'on doit s'adapter, tout comme les autres écuries. C'est à ce moment que l'on peut tirer avantage d'une stratégie. »