Villeneuve abandonne au 52e tour
Course dimanche, 8 mai 2005. 15:05 dimanche, 15 déc. 2024. 09:58
BARCELONE (PC) - Parti du 12e rang sur la grille de départ, Jacques Villeneuve comptait sur sa stratégie pour se frayer un chemin vers les points mais il a abandonné au 52e tour du Grand Prix d'Espagne de Formule-1 en raison d'une fuite d'eau.
"Nous avons décelé une fuite d'eau pratiquement dès le début de la course. Le moteur a surchauffé, puis fini par casser au 52e tour, a-t-il expliqué. Cette fin était inévitable car nous perdions de plus en plus de puissance.
"C'est dommage, a-t-il poursuivi. Nous avions un bon rythme par rapport aux séances qualificatives et, surtout, nous étions très tendres avec les pneus. Je n'avais aucun problème de bullage contrairement à beaucoup de mes adversaires et ça aurait pu être payant en fin de course!"
Ironie du sort, c'est cet avantage en course qui, lors des qualifications, avait causé ses malheurs.
"Si je suis mal lors des séances qualificatives, c'est parce que je ne chauffe pas assez mes gommes, a-t-il précisé. Par contre, en course, c'est un avantage! Pour Felipe Massa, mon équipier, c'est l'inverse. Il chauffe mieux ses pneus lors des qualifications mais il les détruit plus en course. Chaque médaille à son revers. Moi, il me faut deux ou trois tours pour les mettre en température, mais maintenant c'est uniquement le premier qui compte."
A peine avait-il mis pied à terre que, déjà, Villeneuve regardait vers Monaco.
"Cela fait deux semaines déjà que je suis impatient d'y être. J'adore Monaco et je pense que nous allons y être mieux. Nous sommes bien dans les virages lents et en difficultés dans les virages rapides. A priori, on devrait donc être en mesure de faire quelque chose en Principauté."
"Nous avons décelé une fuite d'eau pratiquement dès le début de la course. Le moteur a surchauffé, puis fini par casser au 52e tour, a-t-il expliqué. Cette fin était inévitable car nous perdions de plus en plus de puissance.
"C'est dommage, a-t-il poursuivi. Nous avions un bon rythme par rapport aux séances qualificatives et, surtout, nous étions très tendres avec les pneus. Je n'avais aucun problème de bullage contrairement à beaucoup de mes adversaires et ça aurait pu être payant en fin de course!"
Ironie du sort, c'est cet avantage en course qui, lors des qualifications, avait causé ses malheurs.
"Si je suis mal lors des séances qualificatives, c'est parce que je ne chauffe pas assez mes gommes, a-t-il précisé. Par contre, en course, c'est un avantage! Pour Felipe Massa, mon équipier, c'est l'inverse. Il chauffe mieux ses pneus lors des qualifications mais il les détruit plus en course. Chaque médaille à son revers. Moi, il me faut deux ou trois tours pour les mettre en température, mais maintenant c'est uniquement le premier qui compte."
A peine avait-il mis pied à terre que, déjà, Villeneuve regardait vers Monaco.
"Cela fait deux semaines déjà que je suis impatient d'y être. J'adore Monaco et je pense que nous allons y être mieux. Nous sommes bien dans les virages lents et en difficultés dans les virages rapides. A priori, on devrait donc être en mesure de faire quelque chose en Principauté."