Vitaly Petrov mérite-t-il de rester?
Course lundi, 4 oct. 2010. 10:42 jeudi, 12 déc. 2024. 06:51
PARIS - Le second pilote de Renault, le Russe Vitaly Petrov, a affirmé vouloir montrer lors des quatre dernières courses de la saison qu'il "mérite de rester" chez Renault en 2011, après une première année assez décevante en terme de résultats.
"Les dernières courses n'ont pas été faciles pour moi. Je pense que cela est dû principalement à mon manque d'expérience, ainsi qu'à de la malchance", a estimé Petrov.
"Je travaille dur, je progresse, particulièrement en ce qui concerne mon feedback (l'analyse de sa monoplace, qu'il livre aux ingénieurs) ainsi que ma compréhension de la voiture", a poursuivi le Russe.
"Malheureusement, cela ne s'est pas traduit par de bons résultats. Maintenant, je dois montrer ce dont je suis capable à l'équipe afin de lui prouver que je mérite de rester l'année prochaine", a observé Vitaly Petrov, dont la position chez Renault semble contestée.
Pierre angulaire du développement de Renault et des autres sponsors de l'écurie sur le marché russe, Petrov, ouvertement choisi pour sa nationalité à l'intersaison, souffre de performances insuffisantes.
Visiblement rapide, il perd régulièrement ses chances d'entrer dans les points sur des incidents de course dont il est à l'origine.
"C'est assez frustrant, car il continue à faire des erreurs", s'agaçait Eric Boullier, le directeur de l'écurie Renault, après le Grand Prix de Singapour, où Petrov s'était d'abord accidenté en qualifications, puis fait tamponner en course.
Après quinze épreuves, le Russe figure à la 13e place du classement général avec 19 points, à près de 100 longueurs de son coéquipier Robert Kubica (114).
"Les dernières courses n'ont pas été faciles pour moi. Je pense que cela est dû principalement à mon manque d'expérience, ainsi qu'à de la malchance", a estimé Petrov.
"Je travaille dur, je progresse, particulièrement en ce qui concerne mon feedback (l'analyse de sa monoplace, qu'il livre aux ingénieurs) ainsi que ma compréhension de la voiture", a poursuivi le Russe.
"Malheureusement, cela ne s'est pas traduit par de bons résultats. Maintenant, je dois montrer ce dont je suis capable à l'équipe afin de lui prouver que je mérite de rester l'année prochaine", a observé Vitaly Petrov, dont la position chez Renault semble contestée.
Pierre angulaire du développement de Renault et des autres sponsors de l'écurie sur le marché russe, Petrov, ouvertement choisi pour sa nationalité à l'intersaison, souffre de performances insuffisantes.
Visiblement rapide, il perd régulièrement ses chances d'entrer dans les points sur des incidents de course dont il est à l'origine.
"C'est assez frustrant, car il continue à faire des erreurs", s'agaçait Eric Boullier, le directeur de l'écurie Renault, après le Grand Prix de Singapour, où Petrov s'était d'abord accidenté en qualifications, puis fait tamponner en course.
Après quinze épreuves, le Russe figure à la 13e place du classement général avec 19 points, à près de 100 longueurs de son coéquipier Robert Kubica (114).