Botté en or de Gould
Football dimanche, 14 janv. 2007. 16:23 jeudi, 12 déc. 2024. 09:28
(RDS.ca) - Un placement de 49 verges de Robbie Gould en prolongation a permis aux Bears de Chicago de défaire les Seahawks de Seattle 27-24, dimanche après-midi.
Les Bears affronteront les Saints de la Nouvelle-Orléans la semaine prochaine dans le match de championnat de l'Association nationale.
"Je n'ai pas regardé la fin du botté. J'ai bien frappé le ballon, en plein où je voulais qu'il aille", a indiqué Gould.
Les Seahawks ont bénéficié de la première possession en prolongation, mais ils ont été forcés de dégager et la pression appliquée par Israel Idonije a empêché Ryan Plackemeier de faire mieux qu'un botté de 18 verges.
Critiqué plus souvent qu'à son tour pour son jeu erratique durant la saison régulière, Rex Grossman a servi une passe parfaite de 30 verges à Rashied Davis sur un troisième jeu qui a amené les Bears à la ligne de 36 des Seahawks.
Une position parfaite pour Gould, un botteur étoile qui n'a pourtant jamais été repêché, qui est venu finir le travail quelques jeux plus tard.
"J'ai appris avec le temps qu'il sait comment rebondir après des moments difficiles, a dit l'entraîneur Lovie Smith de Grossman. On l'a malmené ces dernières semaines, à propos de plusieurs choses. Il est notre quart. Il y avait beaucoup de pression sur ses épaules et sur l'équipe au complet, et j'ai trouvé que tout le monde a bien réagi."
Grossman n'a pas disputé un match parfait, mais il a joué à l'intérieur de ses moyens et a réussi les gros jeux en temps opportun. Il a gardé sa plus belle passe pour sa cible préférée dans les zones profondes, Bernard Berrian, qui a marqué un touché de 68 verges qui faisait 14-7 Chicago au deuxième quart. Il a terminé le match avec 21 passes complétées en 38 tentatives, une interception et un échappé lorsque plaqué derrière sa ligne de mêlée par Julian Peterson.
Pour éviter de mettre leur destinée entre les mains de leur jeune quart, les Bears devaient pouvoir compter sur un jeu au sol efficace. Le duo Thomas Jones-Cedric Benson a livré la marchandise, se partageant 33 portées pour des gains totaux de 111 verges. Jones a aussi inscrit des touchés sur des courses de neuf et sept verges.
Matt Hasselbeck était peut-être plus expérimenté que son jeune vis-à-vis, mais les Seahawks savaient que leur général en attaque, qui cache peut-être quelques blessures, était capable des pires crampes au cerveau. À l'image de ce qu'il a montré en saison régulière, Hasselbeck n'a pas été le plus précis, souvent forcé de réagir à la hâte en raison de la pression exercée par les Bears.
Hasselbeck a complété 18 des 33 passes qu'il a tentées pour des gains de 195 verges avec un touché et une interception.
Shaun Alexander a fait ce qu'il avait à faire, récoltant 108 verges et deux touchés.
"C'est difficile de dire que si nous avions fait ceci ou cela... Nous n'en avons tout simplement pas fait assez", a déclaré Alexander.
Les Bears n'avaient pas gagné un match éliminatoire à domicile depuis 1991 et n'ont pas participé au Super Bowl depuis 1986.
"Nous en gagnons une autre et nous allons au Super Bowl, et nous sommes à deux victoires d'avoir une bague au doigt pour le reste de nos vies", a souligné Grossman.
Les Bears affronteront les Saints de la Nouvelle-Orléans la semaine prochaine dans le match de championnat de l'Association nationale.
"Je n'ai pas regardé la fin du botté. J'ai bien frappé le ballon, en plein où je voulais qu'il aille", a indiqué Gould.
Les Seahawks ont bénéficié de la première possession en prolongation, mais ils ont été forcés de dégager et la pression appliquée par Israel Idonije a empêché Ryan Plackemeier de faire mieux qu'un botté de 18 verges.
Critiqué plus souvent qu'à son tour pour son jeu erratique durant la saison régulière, Rex Grossman a servi une passe parfaite de 30 verges à Rashied Davis sur un troisième jeu qui a amené les Bears à la ligne de 36 des Seahawks.
Une position parfaite pour Gould, un botteur étoile qui n'a pourtant jamais été repêché, qui est venu finir le travail quelques jeux plus tard.
"J'ai appris avec le temps qu'il sait comment rebondir après des moments difficiles, a dit l'entraîneur Lovie Smith de Grossman. On l'a malmené ces dernières semaines, à propos de plusieurs choses. Il est notre quart. Il y avait beaucoup de pression sur ses épaules et sur l'équipe au complet, et j'ai trouvé que tout le monde a bien réagi."
Grossman n'a pas disputé un match parfait, mais il a joué à l'intérieur de ses moyens et a réussi les gros jeux en temps opportun. Il a gardé sa plus belle passe pour sa cible préférée dans les zones profondes, Bernard Berrian, qui a marqué un touché de 68 verges qui faisait 14-7 Chicago au deuxième quart. Il a terminé le match avec 21 passes complétées en 38 tentatives, une interception et un échappé lorsque plaqué derrière sa ligne de mêlée par Julian Peterson.
Pour éviter de mettre leur destinée entre les mains de leur jeune quart, les Bears devaient pouvoir compter sur un jeu au sol efficace. Le duo Thomas Jones-Cedric Benson a livré la marchandise, se partageant 33 portées pour des gains totaux de 111 verges. Jones a aussi inscrit des touchés sur des courses de neuf et sept verges.
Matt Hasselbeck était peut-être plus expérimenté que son jeune vis-à-vis, mais les Seahawks savaient que leur général en attaque, qui cache peut-être quelques blessures, était capable des pires crampes au cerveau. À l'image de ce qu'il a montré en saison régulière, Hasselbeck n'a pas été le plus précis, souvent forcé de réagir à la hâte en raison de la pression exercée par les Bears.
Hasselbeck a complété 18 des 33 passes qu'il a tentées pour des gains de 195 verges avec un touché et une interception.
Shaun Alexander a fait ce qu'il avait à faire, récoltant 108 verges et deux touchés.
"C'est difficile de dire que si nous avions fait ceci ou cela... Nous n'en avons tout simplement pas fait assez", a déclaré Alexander.
Les Bears n'avaient pas gagné un match éliminatoire à domicile depuis 1991 et n'ont pas participé au Super Bowl depuis 1986.
"Nous en gagnons une autre et nous allons au Super Bowl, et nous sommes à deux victoires d'avoir une bague au doigt pour le reste de nos vies", a souligné Grossman.