Chicago ne veut pas rater sa chance
Football samedi, 13 janv. 2007. 18:51 jeudi, 12 déc. 2024. 07:55
CHICAGO (AP) - Une affiche plutôt mystérieuse a été plantée près de l'entrée du complexe d'entraînement des Bears de Chicago cette semaine. Sur celle-ci, on demandait à l'équipe de "Jouer en colère". Les Bears seront-ils en mesure de le faire? Chose certaine, vous pourrez suivre toute l'action de cette rencontre sur les ondes de RDS dès 13 heures.
Ce qui n'assurera pas nécessairement la victoire aux Bears, dimanche, sur un terrain gelé et peut-être enneigé à Soldier Field. Il sera sans doute plus important de bien jouer face aux Seahawks de Seattle, les champions en titre dans l'Association nationale.
Depuis que le début du camp d'entraînement, il y a six mois, les joueurs des Bears n'ont que deux mots à la bouche: Super Bowl.
"Je ne veux pas être l'un de ces joueurs qui se satisfait d'attendre à l'année suivante, a lancé le demi défensif des Bears Charles Tillman. Parce que la prochaine chance ne viendra peut-être jamais. Peut-être que l'équipe ne se rendra plus jamais aussi loin. Qui sait? Maintenant que nous sommes en séries, c'est le temps de saisir l'occasion."
Ce que les Bears n'ont pas réussi à faire, il y a un an, dans un contexte similaire.
Après avoir remporté le titre de section, décroché un laissez-passer au premier tour et affronté un équipe qu'ils avaient déjà battue en saison régulière, les Bears ont été éliminés par les Panthers de la Caroline et un Steve Smith en pleine forme.
Le joueur que Smith a déjoué à quelques reprises durant ce match est Tillman. Le receveur des Panthers a ainsi marqué un touché en début de match, puis capté une passe qui a permis à sa formation de réussir un placement.
Tillman, qui a raté les deux dernières semaines du calendrier régulier à cause de maux de dos, a une chance de se racheter. Il devrait être fort occupé contre les Seahawks, qui aiment déployer plusieurs receveurs.
Le désir de se racheter le motivera donc, dimanche, jusqu'à un certain point.
"Je ne vais pas dire 'J'ai mal joué et, euh, je dois mieux jouer maintenant', a dit Tillman. La déception est ce qui me motive sur une base quotidienne, alors oui, dans un certain sens, c'est le carburant qui me donnera plus d'énergie."
Les Bears savent qu'ils seront jugés sévèrement à la lumière du résultat du match de dimanche, surtout après avoir subi ce revers de 29-21 à domicile il y a un an en séries.
"Ce n'était pas très joli même si nous étions sur notre terrain et c'est ce dont tout le monde se souvient au moment d'amorcer les séries - d'avoir obtenu le laissez-passer au premier tour et l'avantage du terrain, pour finalement perdre, a souligné l'ailier espacé des Bears Bernard Berrian. Nous ne voulons pas revivre la même chose."
Les Seahawks se sont présentés à Soldier Field, le 1er octobre dernier, sans certains de leurs joueurs-clés à l'attaque, dont le demi offensif Shaun Alexander et l'ailier rapproché Jerramy Stevens, si bien qu'ils ont quitté Chicago avec une défaite sans appel de 37-6. Ils s'attendent à une meilleure performance cette fois, en espérant donner à Matt Hasselbeck l'occasion de lancer le ballon plus souvent après avoir victime de cinq sacs lors du premier affrontement.
"L'an dernier, tout a semblé bien tourner pour nous, de A à Z, a indiqué Hasselbeck. Tout a tourné à notre avantage. Cette année a été très différente. Nous avons dû surmonter plusieurs obstacles, plusieurs blessures, plusieurs choses étranges."
Ce qui n'assurera pas nécessairement la victoire aux Bears, dimanche, sur un terrain gelé et peut-être enneigé à Soldier Field. Il sera sans doute plus important de bien jouer face aux Seahawks de Seattle, les champions en titre dans l'Association nationale.
Depuis que le début du camp d'entraînement, il y a six mois, les joueurs des Bears n'ont que deux mots à la bouche: Super Bowl.
"Je ne veux pas être l'un de ces joueurs qui se satisfait d'attendre à l'année suivante, a lancé le demi défensif des Bears Charles Tillman. Parce que la prochaine chance ne viendra peut-être jamais. Peut-être que l'équipe ne se rendra plus jamais aussi loin. Qui sait? Maintenant que nous sommes en séries, c'est le temps de saisir l'occasion."
Ce que les Bears n'ont pas réussi à faire, il y a un an, dans un contexte similaire.
Après avoir remporté le titre de section, décroché un laissez-passer au premier tour et affronté un équipe qu'ils avaient déjà battue en saison régulière, les Bears ont été éliminés par les Panthers de la Caroline et un Steve Smith en pleine forme.
Le joueur que Smith a déjoué à quelques reprises durant ce match est Tillman. Le receveur des Panthers a ainsi marqué un touché en début de match, puis capté une passe qui a permis à sa formation de réussir un placement.
Tillman, qui a raté les deux dernières semaines du calendrier régulier à cause de maux de dos, a une chance de se racheter. Il devrait être fort occupé contre les Seahawks, qui aiment déployer plusieurs receveurs.
Le désir de se racheter le motivera donc, dimanche, jusqu'à un certain point.
"Je ne vais pas dire 'J'ai mal joué et, euh, je dois mieux jouer maintenant', a dit Tillman. La déception est ce qui me motive sur une base quotidienne, alors oui, dans un certain sens, c'est le carburant qui me donnera plus d'énergie."
Les Bears savent qu'ils seront jugés sévèrement à la lumière du résultat du match de dimanche, surtout après avoir subi ce revers de 29-21 à domicile il y a un an en séries.
"Ce n'était pas très joli même si nous étions sur notre terrain et c'est ce dont tout le monde se souvient au moment d'amorcer les séries - d'avoir obtenu le laissez-passer au premier tour et l'avantage du terrain, pour finalement perdre, a souligné l'ailier espacé des Bears Bernard Berrian. Nous ne voulons pas revivre la même chose."
Les Seahawks se sont présentés à Soldier Field, le 1er octobre dernier, sans certains de leurs joueurs-clés à l'attaque, dont le demi offensif Shaun Alexander et l'ailier rapproché Jerramy Stevens, si bien qu'ils ont quitté Chicago avec une défaite sans appel de 37-6. Ils s'attendent à une meilleure performance cette fois, en espérant donner à Matt Hasselbeck l'occasion de lancer le ballon plus souvent après avoir victime de cinq sacs lors du premier affrontement.
"L'an dernier, tout a semblé bien tourner pour nous, de A à Z, a indiqué Hasselbeck. Tout a tourné à notre avantage. Cette année a été très différente. Nous avons dû surmonter plusieurs obstacles, plusieurs blessures, plusieurs choses étranges."