Clark s'est fait un nom
Football mardi, 23 janv. 2007. 19:29 samedi, 14 déc. 2024. 22:38
INDIANAPOLIS (AP) - Peyton Manning, Marvin Harrison et Reggie Wayne sont sans doute les joueurs en attaque les mieux connus des Colts d'Indianapolis.
Mais les défensives adverses qui ne tiennent pas compte de l'ailier rapproché Dallas Clark le font souvent à leurs dépens.
Clark, qui en est à sa quatrième saison, a donné à l'attaque des Colts une nouvelle dimension. Il permet aux Colts d'opposer de rapides receveurs de passes aux secondeurs et aux demis de sûreté et d'ainsi créer de bonnes chances de marquer pour les siens.
"C'est dans cette position qu'on veut se retrouver, a dit Clark après la victoire des siens dimanche. On veut être celui qui donne plus de temps à Peyton pour réaliser ses jeux."
Et comme d'habitude, Clark a réalisé plusieurs jeux importants contre la Nouvelle-Angleterre.
Il a dominé tous les receveurs des Colts en captant six passes pour des gains de 137 verges. Il a réalisé un jeu de 52 verges en fin de rencontre qui a préparé un touché qui a permis aux siens d'égaler les chances 31-31 et les Colts l'ont éventuellement emporté 38-34.
Il n'est pas surprenant de constater que les succès de Clark en matches d'après saison ont coincidé avec les succès des Colts.
Au sein d'une équipe qui compte deux receveurs qui s'en vont au Pro Bowl et un joueur qui a été choisi deux fois joueur par excellence, Manning a pu exploiter les tracés courts en lançant le ballon très souvent à ses ailiers rapprochés. Il en résulte que Clark a capté 17 passes, un sommet chez les Colts, pour des gains de 281 verges en trois matches éliminatoires et les Colts ont encore un autre match à disputer.
Pourtant, on a tendance à l'oublier puisqu'il évolue aux côtés de joueurs qui participeront au match des étoiles comme Manning, Harrison, Wayne et les joueurs de ligne à l'attaque Jeff Saturday et Tarik Glenn.
Mais les Colts savent fort bien toute l'importance de Clark, qui est parfois utilisé comme troisième receveur éloigné.
Il est assez fort pour bloquer avec efficacité le long de la ligne, assez agile pour jouer comme demi inséré et assez rapide pour distancer secondeurs et demis de sûreté. Parfois, Clark semble malhabile, mais après avoir capté le ballon, il est difficile à rattraper.
Ce sont ces atouts qui ont fait que le président Bill Polian a choisi Clark au premier tour du repêchage de 2003. Il apprécie les progrès réalisés par l'ailier rapproché.
"Nous avons sans doute une meilleure attaque que nous avions à Buffalo parce que nous pouvons compter sur Dallas Clark, qui est déjà du calibre du Pro Bowl," a commenté Polian.
Si Clark n'a pas encore été invité au Pro Bowl, c'est que l'Association américaine compte trois des meilleurs ailiers rapprochés de tout le football en Tony Gonzalez, de Kansas City, Antonio Gates, de San Diego, et Todd Heap, de Baltimore. Et contrairement à eux, Clark n'est pas le receveur numéro un au sein de son équipe.
Mais Clark, originaire de l'Iowa, qui a toujours un sourire contagieux, ne s'en fait pas, même s'il n'ira pas à Hawai. Il aime mieux se préparer pour un match plus important.
"C'est une sensation incroyable, a-t-il dit au sujet de la première participation des Colts au Super Bowl en 36 ans. C'est formidable pour l'organisation et pour notre entraîneur Tony Dungy. C'est énorme."
L'apport de Clark a été énorme cette saison. Quand il a joué, les Colts ont présenté une fiche de 14-1. Quand il a raté quatre matches à cause de ligaments étiré à un genou, les Colts ont perdu trois fois.
On croyait au début que la blessure était très sérieuse, mais il a pu effectuer un retour au jeu lors du dernier match de la saison contre Miami, un match qui l'a préparé les séries.
Mais les défensives adverses qui ne tiennent pas compte de l'ailier rapproché Dallas Clark le font souvent à leurs dépens.
Clark, qui en est à sa quatrième saison, a donné à l'attaque des Colts une nouvelle dimension. Il permet aux Colts d'opposer de rapides receveurs de passes aux secondeurs et aux demis de sûreté et d'ainsi créer de bonnes chances de marquer pour les siens.
"C'est dans cette position qu'on veut se retrouver, a dit Clark après la victoire des siens dimanche. On veut être celui qui donne plus de temps à Peyton pour réaliser ses jeux."
Et comme d'habitude, Clark a réalisé plusieurs jeux importants contre la Nouvelle-Angleterre.
Il a dominé tous les receveurs des Colts en captant six passes pour des gains de 137 verges. Il a réalisé un jeu de 52 verges en fin de rencontre qui a préparé un touché qui a permis aux siens d'égaler les chances 31-31 et les Colts l'ont éventuellement emporté 38-34.
Il n'est pas surprenant de constater que les succès de Clark en matches d'après saison ont coincidé avec les succès des Colts.
Au sein d'une équipe qui compte deux receveurs qui s'en vont au Pro Bowl et un joueur qui a été choisi deux fois joueur par excellence, Manning a pu exploiter les tracés courts en lançant le ballon très souvent à ses ailiers rapprochés. Il en résulte que Clark a capté 17 passes, un sommet chez les Colts, pour des gains de 281 verges en trois matches éliminatoires et les Colts ont encore un autre match à disputer.
Pourtant, on a tendance à l'oublier puisqu'il évolue aux côtés de joueurs qui participeront au match des étoiles comme Manning, Harrison, Wayne et les joueurs de ligne à l'attaque Jeff Saturday et Tarik Glenn.
Mais les Colts savent fort bien toute l'importance de Clark, qui est parfois utilisé comme troisième receveur éloigné.
Il est assez fort pour bloquer avec efficacité le long de la ligne, assez agile pour jouer comme demi inséré et assez rapide pour distancer secondeurs et demis de sûreté. Parfois, Clark semble malhabile, mais après avoir capté le ballon, il est difficile à rattraper.
Ce sont ces atouts qui ont fait que le président Bill Polian a choisi Clark au premier tour du repêchage de 2003. Il apprécie les progrès réalisés par l'ailier rapproché.
"Nous avons sans doute une meilleure attaque que nous avions à Buffalo parce que nous pouvons compter sur Dallas Clark, qui est déjà du calibre du Pro Bowl," a commenté Polian.
Si Clark n'a pas encore été invité au Pro Bowl, c'est que l'Association américaine compte trois des meilleurs ailiers rapprochés de tout le football en Tony Gonzalez, de Kansas City, Antonio Gates, de San Diego, et Todd Heap, de Baltimore. Et contrairement à eux, Clark n'est pas le receveur numéro un au sein de son équipe.
Mais Clark, originaire de l'Iowa, qui a toujours un sourire contagieux, ne s'en fait pas, même s'il n'ira pas à Hawai. Il aime mieux se préparer pour un match plus important.
"C'est une sensation incroyable, a-t-il dit au sujet de la première participation des Colts au Super Bowl en 36 ans. C'est formidable pour l'organisation et pour notre entraîneur Tony Dungy. C'est énorme."
L'apport de Clark a été énorme cette saison. Quand il a joué, les Colts ont présenté une fiche de 14-1. Quand il a raté quatre matches à cause de ligaments étiré à un genou, les Colts ont perdu trois fois.
On croyait au début que la blessure était très sérieuse, mais il a pu effectuer un retour au jeu lors du dernier match de la saison contre Miami, un match qui l'a préparé les séries.
