Le rêve des Saints se poursuivra-t-il?
Football samedi, 20 janv. 2007. 00:06 dimanche, 15 déc. 2024. 02:42
CHICAGO (AP) - Deux décennies d'un côté, et deux fois plus longtemps de l'autre. C'est là le temps qui s'est écoulé sans une participation au Super Bowl des Bears de Chicago et des Saints de la Nouvelle-Orléans, respectivement. Cette partie sera présentée à RDS à 15 heures.
Les Bears ont atteint le match ultime pour la dernière fois en 1986, avec comme vedettes les Payton, Singletary, Hampton et McMahon. La défense était intraitable, et l'entraîneur Mike Ditka était des plus autoritaires. Les Saints, de leur côté, n'ont jamais pris part au Super Bowl depuis leur entrée dans la NFL en 1967.
Le match de championnat de l'association Nationale, dimanche, pourrait donc donner lieu à des célébrations encore plus exubérantes qu'à l'habitude.
"Quand on a grandi en aimant tellement le football et en suivant autant les matches de la NFL, ça représente beaucoup d'avoir la chance de jouer au Super Bowl, a dit le quart Rex Grossman des Bears. J'approche le match de dimanche avec énormément d'intensité, mais dans un sens, ça reste un match de football comme un autre, où les Saints viennent nous affronter au Soldier Field."
Cinq joueurs des Bears ont déjà participé au match de championnat de la ligue: l'ailier espacé Muhsin Muhammad, les demis défensifs Ricky Manning fils et Dante Wesley, le plaqueur Fred Miller et le botteur de dégagement Brad Maynard.
"Je crois que l'expérience vous apprend beaucoup, a mentionné l'entraîneur des Bears Lovie Smith, qui était le coordonnateur défensif des Rams de St. Louis, en 2001, quand ces derniers ont perdu face aux Patriots de la Nouvelle-Angleterre lors du Super Bowl.
"Mais au-delà de l'attention médiatique, une fois que le botté d'engagement sera fait dimanche, ce sera pour moi un match comme n'importe quel autre autre."
Le vis-à-vis de Smith, Sean Payton, a mené les Saints à un dossier de 10-6 cette saison, ce qui lui a valu d'être nommé l'entraîneur de l'année par l'Associated Press. Grâce notamment aux performances de Drew Brees, Reggie Bush, Marques Colston, Joe Horn et John Carney, les Saints ont fortement contribué à remonter le moral de la Nouvelle-Orléans à la suite de l'ouragan Katrina.
"Je n'ai jamais fait partie d'une équipe qui fait autant partie de la communauté, a dit le secondeur Scott Fujita des Saints. L'atmosphère est contagieuse, et les joueurs autant que les entraîneurs recoivent vraiment l'énergie de la foule."
Les Bears ont remporté le titre de la section Nord avec une fiche de 13-3, la meilleure de l'association, mais ils savent qu'ils ne sont pas perçus comme aussi dominants que l'équipe championne de 1985.
Retourner au Super Bowl et le remporter serait donc une source additionnelle de satisfaction pour la formation.
"Nous avons un dossier de 13-3 et nous entendons des commentaires qui conviendraient plutôt à une équipe de 8-8, a dit l'ailier défensif Alex Brown. Nous n'avons pas tout le respect qui nous serait dû, mais peu importe, ça ne me dérange pas du tout. Certains faisaient ce genre de commentaires même quand nous remportions six ou sept matches de suite en début de saison."
Les Bears ont atteint le match ultime pour la dernière fois en 1986, avec comme vedettes les Payton, Singletary, Hampton et McMahon. La défense était intraitable, et l'entraîneur Mike Ditka était des plus autoritaires. Les Saints, de leur côté, n'ont jamais pris part au Super Bowl depuis leur entrée dans la NFL en 1967.
Le match de championnat de l'association Nationale, dimanche, pourrait donc donner lieu à des célébrations encore plus exubérantes qu'à l'habitude.
"Quand on a grandi en aimant tellement le football et en suivant autant les matches de la NFL, ça représente beaucoup d'avoir la chance de jouer au Super Bowl, a dit le quart Rex Grossman des Bears. J'approche le match de dimanche avec énormément d'intensité, mais dans un sens, ça reste un match de football comme un autre, où les Saints viennent nous affronter au Soldier Field."
Cinq joueurs des Bears ont déjà participé au match de championnat de la ligue: l'ailier espacé Muhsin Muhammad, les demis défensifs Ricky Manning fils et Dante Wesley, le plaqueur Fred Miller et le botteur de dégagement Brad Maynard.
"Je crois que l'expérience vous apprend beaucoup, a mentionné l'entraîneur des Bears Lovie Smith, qui était le coordonnateur défensif des Rams de St. Louis, en 2001, quand ces derniers ont perdu face aux Patriots de la Nouvelle-Angleterre lors du Super Bowl.
"Mais au-delà de l'attention médiatique, une fois que le botté d'engagement sera fait dimanche, ce sera pour moi un match comme n'importe quel autre autre."
Le vis-à-vis de Smith, Sean Payton, a mené les Saints à un dossier de 10-6 cette saison, ce qui lui a valu d'être nommé l'entraîneur de l'année par l'Associated Press. Grâce notamment aux performances de Drew Brees, Reggie Bush, Marques Colston, Joe Horn et John Carney, les Saints ont fortement contribué à remonter le moral de la Nouvelle-Orléans à la suite de l'ouragan Katrina.
"Je n'ai jamais fait partie d'une équipe qui fait autant partie de la communauté, a dit le secondeur Scott Fujita des Saints. L'atmosphère est contagieuse, et les joueurs autant que les entraîneurs recoivent vraiment l'énergie de la foule."
Les Bears ont remporté le titre de la section Nord avec une fiche de 13-3, la meilleure de l'association, mais ils savent qu'ils ne sont pas perçus comme aussi dominants que l'équipe championne de 1985.
Retourner au Super Bowl et le remporter serait donc une source additionnelle de satisfaction pour la formation.
"Nous avons un dossier de 13-3 et nous entendons des commentaires qui conviendraient plutôt à une équipe de 8-8, a dit l'ailier défensif Alex Brown. Nous n'avons pas tout le respect qui nous serait dû, mais peu importe, ça ne me dérange pas du tout. Certains faisaient ce genre de commentaires même quand nous remportions six ou sept matches de suite en début de saison."
