Les Cards veulent prolonger leur rêve
Football lundi, 26 janv. 2009. 22:15 dimanche, 15 déc. 2024. 16:31
TAMPA, Floride - Le pilote de l'avion tenait un fanion des Cardinals de l'Arizona après que l'appareil se soit posé dans un endroit que personne n'aurait imaginé au début de la saison.
L'équipe dont les partisans ne touchent plus à terre depuis le début des séries éliminatoires, est arrivée dans la ville du Super Bowl, lundi. Les joueurs, eux-mêmes étonnés, avaient presque tous des appareils vidéo pour immortaliser la scène.
"C'est un grand moment, a dit le demi sûreté Adrian Wilson. Le fait d'être ici représente énormément pour l'organisation. C'est aussi un moment très spécial pour les joueurs qui font actuellement partie de l'équipe.
"On ne sait jamais quel type d'équipe on possède, comme on ignore les circonstances. Cette équipe et ce groupe de joueurs, je crois que c'est spécial."
Les Steelers, qui seront à la recherche d'une sixième victoire au Super Bowl, vivent eux aussi un moment spécial. Même si bien des joueurs ont déjà participé à l'événement, plusieurs d'entre-eux avaient leur caméra, heureux de se retrouver au soleil.
"Il fait très beau à Tampa", a commenté le receveur éloigné Hines Ward, joueur par excellence du Super Bowl 2006 dans la victoire des Steelers contre Seattle. "Il neigeait en se rendant ici. On a dû dégivrer l'appareil tellement il y avait de neige au sol.
"C'est le Super Bowl et c'est un grand événement. Personnellement, j'adore le sud, a ajouté Ward, qui a grandi en Georgie. En Floride, le climat est formidable. C'est beaucoup mieux que Pittsburgh."
Il n'y a pas d'entraînement avant mercredi. D'ici là, les joueurs pourront s'amuser et profiter de la belle température.
Les entraîneurs n'ont pas l'intention d'imposer un couvre-feu à leurs joueurs. C'est ce qu'avait fait Dick Vermeil, des Eagles de Philadelphie, dans les années 80. Avec un résultat catastrophique. Alors que les Eagles étaient confinés à leur chambre, les Raiders d'Oakland profitaient de la vie dans un autre quartier de la Nouvelle-Orléans. Le match venu, les Eagles étaient tendus alors qu'ils avaient peine à respirer. Les Raiders, plus détendus, l'ont facilement emporté.
"On n'a pas de menottes aux mains, dit James Harrison, un joueur de la brigade défensive des Steelers. On a autant de liberté que si on jouait un match de saison à Pittsburgh."
L'équipe dont les partisans ne touchent plus à terre depuis le début des séries éliminatoires, est arrivée dans la ville du Super Bowl, lundi. Les joueurs, eux-mêmes étonnés, avaient presque tous des appareils vidéo pour immortaliser la scène.
"C'est un grand moment, a dit le demi sûreté Adrian Wilson. Le fait d'être ici représente énormément pour l'organisation. C'est aussi un moment très spécial pour les joueurs qui font actuellement partie de l'équipe.
"On ne sait jamais quel type d'équipe on possède, comme on ignore les circonstances. Cette équipe et ce groupe de joueurs, je crois que c'est spécial."
Les Steelers, qui seront à la recherche d'une sixième victoire au Super Bowl, vivent eux aussi un moment spécial. Même si bien des joueurs ont déjà participé à l'événement, plusieurs d'entre-eux avaient leur caméra, heureux de se retrouver au soleil.
"Il fait très beau à Tampa", a commenté le receveur éloigné Hines Ward, joueur par excellence du Super Bowl 2006 dans la victoire des Steelers contre Seattle. "Il neigeait en se rendant ici. On a dû dégivrer l'appareil tellement il y avait de neige au sol.
"C'est le Super Bowl et c'est un grand événement. Personnellement, j'adore le sud, a ajouté Ward, qui a grandi en Georgie. En Floride, le climat est formidable. C'est beaucoup mieux que Pittsburgh."
Il n'y a pas d'entraînement avant mercredi. D'ici là, les joueurs pourront s'amuser et profiter de la belle température.
Les entraîneurs n'ont pas l'intention d'imposer un couvre-feu à leurs joueurs. C'est ce qu'avait fait Dick Vermeil, des Eagles de Philadelphie, dans les années 80. Avec un résultat catastrophique. Alors que les Eagles étaient confinés à leur chambre, les Raiders d'Oakland profitaient de la vie dans un autre quartier de la Nouvelle-Orléans. Le match venu, les Eagles étaient tendus alors qu'ils avaient peine à respirer. Les Raiders, plus détendus, l'ont facilement emporté.
"On n'a pas de menottes aux mains, dit James Harrison, un joueur de la brigade défensive des Steelers. On a autant de liberté que si on jouait un match de saison à Pittsburgh."