Les Ravens avaient vu venir les Bengals
Football samedi, 19 nov. 2011. 15:39 jeudi, 12 déc. 2024. 09:30
BALTIMORE - Les Bengals de Cincinnati en ont surpris plusieurs avec leur rendement, cette saison, mais les Ravens de Baltimore s'en méfiaient déjà.
L'an dernier, les Bengals ont battu les Ravens au fil d'une saison de 4-12, alors ces derniers ne sont pas surpris de voir que la confrontation de dimanche aura comme enjeu le premier rang de la section Nord de l'Américaine. Les deux équipes vont s'y présenter avec une fiche de 6-3, et les Steelers (7-3) sont en congé ce week-end.
«Je pense qu'ils étaient sur le point d'être une bonne équipe et que maintenant, ils concrétisent ça en gagnant des matches,», dit le secondeur Terrell Suggs, des Ravens.
Suggs est le meneur des Ravens pour les sacs en carrière, mais il n'en a pas obtenu contre les Bengals l'an dernier. Dimanche, il tentera de se frayer un chemin jusqu'à Andy Dalton, dont les 14 passes de touché représentent un sommet pour un quart de première année depuis 1970.
Quatre ailiers des Bengals ont au moins 26 réceptions et deux touchés - notamment A.J. Green avec 41 passes captées, dont six touchés. Green s'est toutefois blessé au genou droit lors du revers de 24-17 contre les Steelers, le week-end dernier, et on va décider à la dernière minute s'il affrontera les Ravens ou pas.
«Ils ont de bonnes options et ils jouent avec beaucoup de confiance, a confié Suggs. Nous avons du travail à faire c'est certain, surtout après le week-end dernier.»
Après une grosse victoire à Pittsburgh le 6 novembre, les Ravens en ont échappé une à Seattle, s'inclinant 22-17.
«Ça nous a laissés un goût amer mais en même temps, nous ne pouvons pas nous attarder aux sentiments du match précédent, a dit le quart Joe Flacco. Il faut être prêts pour le match de dimanche, qui est très important.»
Les Ravens ont déjà battu les Steelers deux fois et auraient le bris d'impasse en leur faveur si nécessaire, à la fin de la saison. Les Bengals se compliqueraient beaucoup la tâche s'ils perdaient, en tenant compte de la récente défaite contre Pittsburgh.
«C'est un gros match. Si vous voulez être champions de section, il vous faut gagner contre les équipes de la section», a résumé l'entraîneur des Bengals, Marvin Lewis.
Les Bengals ont prévalu quatre fois sur cinq à l'étranger cette saison, mais le stade des Ravens est leur défi le plus coriace jusqu'ici. Ces derniers ont remporté leurs six derniers matches devant leurs partisans.
«C'est un défi de continuer à gagner dans les stades adverses, a concédé Lewis. Nous devons être efficaces en attaque et très rigoureux en défense.»
Les Bengals ont récolté leurs gains contre des clubs à la fiche combinée de 22-36, mais ne sentent pas le besoin de s'en excuser après la belle tenue contre les Steelers.
Dalton a subi neuf interceptions mais les Bengals n'ont perdu qu'un seul échappé, et leur différentiel de revirements est de plus trois.
Les Ravens ont gagné leurs 11 derniers matches qui ont suivi un revers. C'est la plus longue séquence du genre en cours dans la ligue.
L'an dernier, les Bengals ont battu les Ravens au fil d'une saison de 4-12, alors ces derniers ne sont pas surpris de voir que la confrontation de dimanche aura comme enjeu le premier rang de la section Nord de l'Américaine. Les deux équipes vont s'y présenter avec une fiche de 6-3, et les Steelers (7-3) sont en congé ce week-end.
«Je pense qu'ils étaient sur le point d'être une bonne équipe et que maintenant, ils concrétisent ça en gagnant des matches,», dit le secondeur Terrell Suggs, des Ravens.
Suggs est le meneur des Ravens pour les sacs en carrière, mais il n'en a pas obtenu contre les Bengals l'an dernier. Dimanche, il tentera de se frayer un chemin jusqu'à Andy Dalton, dont les 14 passes de touché représentent un sommet pour un quart de première année depuis 1970.
Quatre ailiers des Bengals ont au moins 26 réceptions et deux touchés - notamment A.J. Green avec 41 passes captées, dont six touchés. Green s'est toutefois blessé au genou droit lors du revers de 24-17 contre les Steelers, le week-end dernier, et on va décider à la dernière minute s'il affrontera les Ravens ou pas.
«Ils ont de bonnes options et ils jouent avec beaucoup de confiance, a confié Suggs. Nous avons du travail à faire c'est certain, surtout après le week-end dernier.»
Après une grosse victoire à Pittsburgh le 6 novembre, les Ravens en ont échappé une à Seattle, s'inclinant 22-17.
«Ça nous a laissés un goût amer mais en même temps, nous ne pouvons pas nous attarder aux sentiments du match précédent, a dit le quart Joe Flacco. Il faut être prêts pour le match de dimanche, qui est très important.»
Les Ravens ont déjà battu les Steelers deux fois et auraient le bris d'impasse en leur faveur si nécessaire, à la fin de la saison. Les Bengals se compliqueraient beaucoup la tâche s'ils perdaient, en tenant compte de la récente défaite contre Pittsburgh.
«C'est un gros match. Si vous voulez être champions de section, il vous faut gagner contre les équipes de la section», a résumé l'entraîneur des Bengals, Marvin Lewis.
Les Bengals ont prévalu quatre fois sur cinq à l'étranger cette saison, mais le stade des Ravens est leur défi le plus coriace jusqu'ici. Ces derniers ont remporté leurs six derniers matches devant leurs partisans.
«C'est un défi de continuer à gagner dans les stades adverses, a concédé Lewis. Nous devons être efficaces en attaque et très rigoureux en défense.»
Les Bengals ont récolté leurs gains contre des clubs à la fiche combinée de 22-36, mais ne sentent pas le besoin de s'en excuser après la belle tenue contre les Steelers.
Dalton a subi neuf interceptions mais les Bengals n'ont perdu qu'un seul échappé, et leur différentiel de revirements est de plus trois.
Les Ravens ont gagné leurs 11 derniers matches qui ont suivi un revers. C'est la plus longue séquence du genre en cours dans la ligue.