Les Steelers débordent de confiance
Football lundi, 26 janv. 2009. 20:26 jeudi, 12 déc. 2024. 07:28
TAMPA, Floride - La grande question qui pèse sur les Steelers de Pittsburth au moment où leur semaine d'entraînement s'amorce en vue du Super Bowl est simple: est-ce que le receveur Hines Ward sera de la partie malgré une entorse à un ligament du genou ?
Voici la réponse.
"Je vais jouer, a affirmé Ward lundi, après son arrivée à Tampa avec ses coéquipiers. J'aurais aussi joué si le match avait eu lieu la semaine dernière."
Le quart arrière des Steelers, Ben Roethlisberger, est surpris que quiconque doute que l'un des joueurs les plus robustes et au jeu le plus physique de la NFL - et le joueur le plus utile du Super Bowl il y a trois ans - puisse jouer.
"Quand les gens me posent la question j'ai envie de les frapper", confie Roethlisberger. C'est Hines Ward, alors il va y être. C'est le Super Bowl après tout."
Ward s'est blessé pendant le premier quart du match de championnat de l'Association américaine, contre les Ravens de Baltimore. Il n'est pas revenu au jeu et sa présence au Super Bowl a été mise en doute.
L'entraîneur-chef Mike Tomlin a annoncé que Ward ne s'entraînerait pas mercredi, tout en précisant qu'il n'y avait là rien d'exceptionnel.
Les Steelers en seront à une septième participation au Super Bowl - une de moins que le record détenu par les Cowboys de Dallas. Ils seront à la recherche d'une sixième conquête, plus que tout autre club.
Il était difficile de différencier les recrues des vétérans lorsque l'équipe est arrivée en vue de la rencontre de dimanche contre les Cardinals de l'Arizona. La meute de journalistes n'a pas semblé déranger les joueurs, qui ont en outre bien réagi aux hordes d'amateurs des Steelers défilant devant leur hôtel de Tampa en criant des "Here we go, Steelers."
"Nous apprécions tout ce qui entoure le Super Bowl, a souligné Tomlin. Nous sommes ici pour jouer, nous sommes ici pour gagner."
La moitié des partants, dont Roethlisberger, étaient de l'alignement des Steelers lors de leur dernière conquête du Super Bowl en 2006 à Detroit, lorsqu'ils avaient battu les Seahakws de Seattle.
"L'une des toutes premières choses que l'entraîneur-chef Tomlin nous ait demandé, c'est 'Est-ce que tout le monde ici croit que nous pouvons gagner le trophée Vince Lombardi ?', rappelle le joueur de ligne défensive Brett Keisel.
"Tout le monde a répondu que oui. Et c'est ce qu'il ne cesse de nous répéter depuis. Nous voici maintenant à Tampa et nous avons une excellence occasion de réussir l'exploit. Il ne nous reste qu'à la saisir."
Le demi de sûreté Troy Polamalu explique l'attitude des Steelers par leur discipline. L'une des exigences auxquelles les nouveaux venus font face est de se soumettre au concept d'équipe. C'est là un facteur qui tend à être absent à une époque où le succès n'est pas toujours mesuré en nombre de championnats mais en importance des contrats.
"Les leaders de notre équipe - James Farrior, Deshea Townsend, Hines Ward - savent ce qu'il faut pour obtenir du succès. Et ce qu'il faut, c'est la volonté de se conformer à ce qui est bien pour l'équipe. C'est comme ça que nous sommes, ajoute Polamalu.
"Nous ferons tout ce que notre coach nous dit, que ce soit bien ou pas. Le fait de se conformer à ses ordres rapproche les joueurs."
Voici la réponse.
"Je vais jouer, a affirmé Ward lundi, après son arrivée à Tampa avec ses coéquipiers. J'aurais aussi joué si le match avait eu lieu la semaine dernière."
Le quart arrière des Steelers, Ben Roethlisberger, est surpris que quiconque doute que l'un des joueurs les plus robustes et au jeu le plus physique de la NFL - et le joueur le plus utile du Super Bowl il y a trois ans - puisse jouer.
"Quand les gens me posent la question j'ai envie de les frapper", confie Roethlisberger. C'est Hines Ward, alors il va y être. C'est le Super Bowl après tout."
Ward s'est blessé pendant le premier quart du match de championnat de l'Association américaine, contre les Ravens de Baltimore. Il n'est pas revenu au jeu et sa présence au Super Bowl a été mise en doute.
L'entraîneur-chef Mike Tomlin a annoncé que Ward ne s'entraînerait pas mercredi, tout en précisant qu'il n'y avait là rien d'exceptionnel.
Les Steelers en seront à une septième participation au Super Bowl - une de moins que le record détenu par les Cowboys de Dallas. Ils seront à la recherche d'une sixième conquête, plus que tout autre club.
Il était difficile de différencier les recrues des vétérans lorsque l'équipe est arrivée en vue de la rencontre de dimanche contre les Cardinals de l'Arizona. La meute de journalistes n'a pas semblé déranger les joueurs, qui ont en outre bien réagi aux hordes d'amateurs des Steelers défilant devant leur hôtel de Tampa en criant des "Here we go, Steelers."
"Nous apprécions tout ce qui entoure le Super Bowl, a souligné Tomlin. Nous sommes ici pour jouer, nous sommes ici pour gagner."
La moitié des partants, dont Roethlisberger, étaient de l'alignement des Steelers lors de leur dernière conquête du Super Bowl en 2006 à Detroit, lorsqu'ils avaient battu les Seahakws de Seattle.
"L'une des toutes premières choses que l'entraîneur-chef Tomlin nous ait demandé, c'est 'Est-ce que tout le monde ici croit que nous pouvons gagner le trophée Vince Lombardi ?', rappelle le joueur de ligne défensive Brett Keisel.
"Tout le monde a répondu que oui. Et c'est ce qu'il ne cesse de nous répéter depuis. Nous voici maintenant à Tampa et nous avons une excellence occasion de réussir l'exploit. Il ne nous reste qu'à la saisir."
Le demi de sûreté Troy Polamalu explique l'attitude des Steelers par leur discipline. L'une des exigences auxquelles les nouveaux venus font face est de se soumettre au concept d'équipe. C'est là un facteur qui tend à être absent à une époque où le succès n'est pas toujours mesuré en nombre de championnats mais en importance des contrats.
"Les leaders de notre équipe - James Farrior, Deshea Townsend, Hines Ward - savent ce qu'il faut pour obtenir du succès. Et ce qu'il faut, c'est la volonté de se conformer à ce qui est bien pour l'équipe. C'est comme ça que nous sommes, ajoute Polamalu.
"Nous ferons tout ce que notre coach nous dit, que ce soit bien ou pas. Le fait de se conformer à ses ordres rapproche les joueurs."